The Capitoline Temple of Jupiter.: The Best, the Greatest, but not Colossal

It is generally assumed that the temple of Jupiter Optimus Maximus was hexastyle, colossal, and occupied a rectangular platform consisting of a grid of cappellaccio walls that matched the measurements provided by Dionysius of Halicarnassus. Yet neither the Greek historian nor any other sources provide this information explicitly. We argue for a smaller, yet still huge, Capitoline temple that occupied one sector of the platform and was eventually framed by a colonnaded portico. The plan of our Tuscan temple matches the surviving foundations, is in accordance with Vitruvius and other sources, and follows the principles of Roman architecture. Its elevation takes into account the latest investigations and the recent finds of terracotta revetments from the Capitoline temple, is consistent with its depictions on coins and marble reliefs, and is supported by the first structural verification of the imperial entablature ever made to date. Finally we re-assess the cultural exchanges between Rome, Etruria, and the broader Mediterranean area in the light of the new reconstruction

Présentation des DHP

Les Documents d’histoire parisienne ont vu le jour en 1992 pour offrir aux chercheurs la possibilité de mettre rapidement à la disposition du public, en les accompagnant d’une courte présentation, des documents de toutes sortes apportant un éclairage nouveau sur l’histoire de la capitale. Trois numéros ont paru entre 1992 et 1995. Ils sont actuellement épuisés. Après une interruption de dix ans, leur publication a repris en 2005 avec une présentation matérielle améliorée et un contenu large..

N° 1. Le théâtre à Paris au XVIe siècle (2018)

Guy-Michel Leproux, Le théâtre à Paris au XVIe siècle, Paris, 2018, 520 p., 34 ill., 49 euros Ce livre retrace l’histoire du théâtre populaire à Paris au XVIe siècle, depuis les grands mystères religieux joués en plein air qui, sous le règne de François Ier, pouvaient durer tout l’été et attirer des milliers de spectateurs, jusqu’à l’arrivée des compagnies italiennes sous les derniers Valois. Pendant cette période, les confrères de la Passion jouèrent un rôle de premier plan, notamment après..

Nouveau numéro des DHP - n° 22 (2020)

Nouveau numéro des Documents d’histoire parisienne - n° 22 (2020), 25 euros Sommaire : « La salle éphémère de Philibert Delorme pour les fêtes de l’entrée de Henri II à Paris en 1549 » par Étienne FAISANT  « Un éclairage sur la diffusion des livres et pourtraictures de Jacques Androuet du Cerceau : le cas du marchand Barthélemy Jourdain » par Soersha DYON  « Le cuir doré à Paris sous les derniers Valois : à propos d’une commande d’Antoine de Clermont à Noël Guérin en 1574 » par Audr..

Parution : Les Cinq livres de Marin Le Bourgeois

Nouvelle parution  : Guy-Michel Leproux, Audrey Nassieu Maupas et Élisabeth Pillet, Les Cinq Livres de Marin Le Bourgeois, Paris, 2020, 432 pages, XVI planches en couleurs et 34 illustrations en noir et blanc, 49 euros Diffusion : Éditions de Boccard4, rue de Lanneau 75005 Paris+33 (0)1 43 26 00 37 - [email protected]

Anciens sommaires des DHP

n° 22 (2020), 25 euros « La salle éphémère de Philibert Delorme pour les fêtes de l’entrée de Henri II à Paris en 1549 » par Étienne FAISANT  « Un éclairage sur la diffusion des livres et pourtraictures de Jacques Androuet du Cerceau : le cas du marchand Barthélemy Jourdain » par Soersha DYON  « Le cuir doré à Paris sous les derniers Valois : à propos d’une commande d’Antoine de Clermont à Noël Guérin en 1574 » par Audrey NASSIEU MAUPAS  « Dominique Miraille, brodeur et magicien » par Guy-Mic..

DHP - Index cumulatifs des lieux et des noms

Index cumulatif lieux n° 1 à 21Télécharger Index cumulatif noms personnes n° 1 à 21Télécharge

Les transferts et les remplois de l’art grec à Rome dans l’Antiquité et le cas de Lucius Mummius

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Cicéron, collectionnisme et connaissance de l´art grec: (projet « Pillages de guerre vs. culture esthétique : les œuvres d'art grecques dans le contexte romain pendant la période de la République »)

This study aims to show, by highlighting the importance of the combination of archaeological evidence and literary sources, the aspects of the transfer of Greek works of art by the Romans at the end of the Republic and specifically at the time of Cicero. The orator and man of letters, who officially disapproves all interest in art, considered as excessive, is actually a passionate collector of Greek art and what’s more, his treatises on rhetoric even attests a thorough knowledge of art history in his case as well as in his contemporaries’.L'étude tente de faire apparaître, en soulignant l’importance d’une association des documents archéologiques et des sources littéraires, les aspects du transfert des œuvres d’art grec par les Romains à la fin de la République et plus précisément au temps de Cicéron. L'orateur et homme de lettres, qui désapprouve officiellement l’intérêt pour l’art considéré comme excessif, est en réalité un collectionneur passionné d’œuvres grecques et, de plus, ses traités de rhétorique attestent même une connaissance approfondie de l’histoire de l’art dans son propre cas, mais aussi dans celui de ses contemporains

Sensus e Perturbationes nei ritratti degli imperatori

The aim of this contribution is to question the representation of “emotions” in the effigies of Roman emperors that constitute an important medium of their self-promotion. The starting point of the study consists of several passages of ancient authors touching on the reflection of character (ethē, sensus) and of feelings/passions (pathē, perturbationes) in the figurative arts. The following paragraphs contain an insight in the ancient lectures of the physiognomy of emperors, real or depicted, and a critical review of their modern interpretations. These allow us to reevaluate the possible presence of adfectus in the portraits of emperors that are presented chronologically, and the way they are expressed visually, particularly in the case of Caracalla where emotivity seems particularly important.Lo scopo di questo contributo è quello di indagare la rappresentazione delle “emozioni” nelle effigi degli imperatori romani come un mezzo importante della loro autopromozione. Il punto di partenza dello studio consiste nei pochi passaggi degli autori antichi che affrontano il riflesso del carattere (ethē, sensus) e dei sentimenti/passioni (pathē, perturbationes) nelle arti figurative. Seguono una panoramica delle letture antiche delle fisionomie degli imperatori, reali o raffigurate, e una rassegna critica delle loro interpretazioni moderne. Queste consentono di rivalutare la possibile presenza degli adfectus nei ritratti degli imperatori, i quali sono presentati cronologicamente, e il modo in cui sono espressi visivamente, soprattutto nel caso di Caracalla, dove l’emotività sembra particolarmente importante.Le but de la contribution est de s’interroger sur la représentation des «émotions» dans les effigies des empereurs romains qui constitue un moyen important de leur autopromotion. Le point de départ de l’étude repose sur quelques passages chez les auteurs antiques abordant le reflet du caractère (ethē, sensus) et des sentiments/passions (pathē, perturbationes) dans les arts figurés. Suivent un aperçu sur les lectures antiques des physionomies des empereurs, réelles ou représentées et une revue critique de leurs interprétations modernes. Celles-ci permettent, par la suite, de réévaluer une possible présence des adfectus dans les portraits des empereurs, qui sont présentés de manière chronologique, et montrer la manière de les exprimer visuellement, et ce notamment dans le cas de Caracalla où l’émotivité paraît particulièrement importante.Papini Massimiliano, Kaderka Karolina. Sensus e Perturbationes nei ritratti degli imperatori. In: Dialogues d'histoire ancienne, vol. 48, n°1, 2022. pp. 71-100