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    L’effet du lean interne et externe sur la performance : une approche orientée sur les entreprises

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    International audienceThe aim of this paper is to enhance the understanding of the relationship between lean practices and both operational and financial performance. A sample of 171 French manufacturing firms shows a direct effect of external lean practices on financial performance. A firm-centered approach identified three profiles. “Full achievers” present significant differences in both operational and financial performance compare to “weak achievers”. Even if the difference in operational performance is significant between “full achievers” and “internal lean dominant”, there is not a significant difference in financial performance.Este artículo tiene como objetivo mejorar la comprensión de la relaciones que unen lean y desempeño operacional y financiero. Una muestra de 171 fábricas francesas revela un efecto directo del lean externo sobre el financiera. Un estudio basado en las fábricas nos permite identificar 3 perfiles distintos. El grupo de los "lean intensivos" muestra significativas diferencias en los desempeños operacional y financiero con respeto al grupo de los "lean débiles". Sin embargo, la diferencia entre el grupo de los "lean intensivos" y de los " lean Internos dominantes" sólo se puede notar a nivel del desempeño operacional.L’objectif de cet article est d’améliorer la compréhension des relations qui unissent le lean et les performances opérationnelles et financières. Un échantillon de 171 usines françaises montre un effet direct du lean externe sur la performance financière. Une approche centrée sur les usines nous permet d’identifier 3 profils distincts. Le groupe des «Lean Intensif» montre des différences significatives de performances financières et opérationnelles par rapport au groupe des «Faible Lean». En revanche, la différence entre le groupe des «Lean Intensif» et des «Lean Interne Dominant» ne se fait qu’au niveau de la performance opérationnelle

    Proposition d’une échelle de mesure positive du bien-être au travail (EPBET)

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    Analyse comparative des méthodes de classifications : l'exemple du bien-être au travail

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    International audienceDe nombreux travaux de recherche en gestion des ressources en humaines, en marketing ou en stratégie établissent des profils. La finalité commune est de préciser les liens existants entre différents concepts. Cet engouement pour la création de profils permet de dépasser l’aspect monolithique des échantillons utilisés par les chercheurs. Les résultats obtenus sont plus précis. Cette approche centrée sur les personnes débouche sur des clarifications conceptuelles et des préconisations d’actions davantage adaptées au contexte étudié que celles obtenues à partir d’estimations moyennes. Pour mener à bien ces projets, plusieurs méthodes de classification sont disponibles. Il s’agit entre autre de méthodes « traditionnelles » qui regroupent les méthodes simples comme le split par la moyenne, la médiane ou le centre d’échelle, de méthodes non hiérarchiques comme les nuées dynamiques, de méthodes hiérarchiques ou encore de méthodes « avancées » comme la méthode mêlée. Plusrécemment, une nouvelle génération est apparue dans les travaux de recherche nord-américains : les « mixture models ». La première partie de cet article est consacrée à une présentation et une analyse critique de ces deux générations de méthodes. Elle permet de montrer leurs limites respectives. Elle aboutit également à présenter les avantages théoriques des « mixture models ». Ils tiennent en particulier à la batterie d’indicateurs proposée pour arrêter le nombre final de profils. La part d’arbitraire de cette phase clé du processus est réduite sans toutefois disparaître complètement. Pour illustrer empiriquement les avantages comparatifs de ces modèles mixtes, un concept multidimensionnel issu du champ de « l’organizational behavior » est mobilisé : le bien-être autravail. Il est mesuré grâce à l’EPBET (Echelle de mesure Positive du Bien-Etre au Travail) sur un échantillon de 865 salariés français. Cette échelle appréhende le bien-être au travail au travers de quatre rapports : un rapport au management, aux collègues, à l’environnement physique de travail et enfin aux temps. Cette illustration montre que le nombre de profils et l’affectation d’une partie des personnes à ces profils dépend de la méthode traditionnelle utilisée. Ce nombre va de quatre à seize selon les cas. Grâce à la batterie d’indicateurs fournis, les « latente profil analysis » et les « factor mixture analysis » permettent d’aboutir une partition stable de l’échantillon. Ils répondent ce faisant à l’enjeu de connaissance et de décision sous-jacent aux travaux de classification réalisés dans lessciences de gestion

    East versus West: A multi-level explanation of commitment profiles in European contexts

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    Identification des mérites respectifs des classifications par LPA/FMA et des méthodes traditionnelles : une illustration par l'étude du bien-être au travail

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    International audienceDe nombreux travaux de recherche en gestion des ressources en humaines, en marketing ou en stratégie établissent des profils. La finalité commune est de préciser les liens existants entre différents concepts. Cet engouement pour la création de profils permet de dépasser l'aspect monolithique des échantillons utilisés par les chercheurs. Les résultats obtenus sont plus précis. Cette approche centrée sur les personnes débouche sur des clarifications conceptuelles et des préconisations d'actions davantage adaptées au contexte étudié que celles obtenues à partir d'estimations moyennes. Pour mener à bien ces projets, plusieurs méthodes de classification sont disponibles. Il s'agit entre autre de méthodes « traditionnelles » qui regroupent les méthodes simples comme le split par la moyenne, la médiane ou le centre d'échelle, de méthodes non hiérarchiques comme les nuées dynamiques, de méthodes hiérarchiques ou encore de méthodes « avancées » comme la méthode mêlée. Plus récemment, une nouvelle génération est apparue dans les travaux de recherche nord-américains : les « mixture models ». La première partie de cet article est consacrée à une présentation et une analyse critique de ces deux générations de méthodes. Elle permet de montrer leurs limites respectives. Elle aboutit également à présenter les avantages théoriques des « mixture models ». Ils tiennent en particulier à la batterie d'indicateurs proposée pour arrêter le nombre final de profils. La part d'arbitraire de cette phase clé du processus est réduite sans toutefois disparaître complètement

    East versus West: A multi-level explanation of commitment profiles in European contexts

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    East versus West: A multi-level explanation of commitment profiles in European contexts

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