7 research outputs found

    What Is It All For? : The Intentions and Priorities for Study Abroad in Canadian Teacher Education

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    Within the research literature and in public discourse on higher education, attention has focused on the need for new graduates to develop 21st century skills for success in an increasingly globalized world. Calls for institutions of higher education to support student mobility abound, with intentions that some have categorized as neoliberal and others ascribe to notions of global citizenship. In this paper, we bring together literature from the fields of internationalization, teacher education, and study abroad to provide a conceptual framing and response to an inquiry into the following research question: In what ways does a study abroad experience support the development of preservice teachers? Through a multi-phase, multiple-perspective case study approach, we draw on qualitative interview data to illuminate how faculties of education and their students conceptualize the role of study abroad in the development of preservice teachers. The intentions for these programs cluster under four themes: global citizenship, personal growth, professional development, and employability. The concept of structured encounters with difference emerges out of these themes as a conceptual frame for future study abroad initiatives

    Perspectives des étudiants étrangers sur les facteurs améliorant ou entravant la phase initiale de la relation thérapeutique

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    Using interpersonal process recall, 8 international student participants (6 men, 2 women) described what they thought was helpful or hindering to the therapeutic relationship during an analogue initial counselling session. A thematic qualitative analysis revealed that the participants found 5 counsellor qualities and techniques to be helpful to the therapeutic relationship: (a) active listening, (b) casualness, (c) direction, (d) enthusiasm, and (e) connection with client’s culture. Three factors were identified as hindering to the therapeutic relationship: (a) language barriers, (b) fast pace, and (c) counsellor disengagement. Limitations and future directions are discussed.En utilisant la méthode du rappel des processus interpersonnels, 8 étudiants étrangers (6 hommes, 2 femmes) ont décrit ce qu’ils pensaient être utile ou entravant pour l’alliance thérapeutique au cours d’une première séance de counseling analogique. Une analyse qualitative thématique a révélé que les participants ont trouvé 5 qualités et techniques du conseiller utiles à l’alliance thérapeutique : (a) l’écoute active, (b) la décontraction, (c) la direction, (d) l’enthousiasme, et (e) le rapport avec la culture du client. Trois facteurs ont été identifiés comme faisant obstacle à la relation thérapeutique : (a) les barrières linguistiques, (b) le rythme rapide, et (c) le désengagement de le part du conseiller. Les limites et orientations futures sont discutées

    Promotion et défense des intérêts des étudiantes et étudiants inscrits aux programmes canadiens de psychologie du counseling : résultats du groupe de travail du Congrès canadien 2018 de psychologie du counseling

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    The second Canadian Counselling Psychology Conference, held in Calgary in October 2018, provided an opportunity for conference attendees to participate in one of seven working groups that met over the course of 2 days. Members of one group were tasked with delving into the topic of student advocacy in Canadian counselling psychology. Student advocacy was defined as students speaking up for themselves about what they need in their various graduate programs and educational experiences across Canada. The resulting discussion identified the following broad areas of need and potential program improvement: (a) practicum process and opportunities, (b) preparation for the “real world,” (c) partnerships between university programs and professional communities, (d) increased student funding, and (e) clarity and consistency in program requirements and professional credentialing. Members of the working group developed detailed recommendations and plans of action for each of these areas. This paper reviews the relevant literature on the above topics and expands upon the group’s recommendations for addressing the needs of counselling psychology students in Canada.Le deuxième Congrès canadien de psychologie du counseling, tenu Ă  Calgary en octobre 2018, fut l’occasion pour les participants de se joindre Ă  l’un des sept groupes de travail rĂ©unis au cours des 2 jours de l’évĂ©nement. Un groupe s’est vu attribuer la tâche de fouiller le dossier de la promotion et de la dĂ©fense des intĂ©rĂŞts des Ă©tudiants inscrits en psychologie du counseling au Canada. On a dĂ©fini la promotion et la dĂ©fense des intĂ©rĂŞts comme Ă©tant la possibilitĂ© des Ă©tudiantes et Ă©tudiants d’exprimer eux-mĂŞmes ce dont ils avaient besoin dans le cadre des divers programmes universitaires et expĂ©riences Ă©ducatives Ă  l’échelle du Canada. Les discussions ont permis de cerner les grands enjeux suivants concernant les besoins et les amĂ©liorations possibles aux programmes : (a) l’organisation des stages et des placements, (b) la prĂ©paration Ă  la « vie rĂ©elle Â», (c) les partenariats entre les programmes universitaires et les collectivitĂ©s professionnelles, (d) la bonification du financement Ă©tudiant, et (e) la clartĂ© et la cohĂ©rence des exigences des programmes et de l’accrĂ©ditation professionnelle. Le groupe de travail a Ă©laborĂ© des recommandations dĂ©taillĂ©es et des plans d’action pour chacun de ces enjeux. Le prĂ©sent article passe en revue la documentation pertinente en lien avec ces questions et explique les recommandations du groupe en rĂ©ponse aux besoins exprimĂ©s par les Ă©tudiantes et Ă©tudiants en psychologie du counseling au Canada

    Perceptions and Incidence of Test Anxiety

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    Test anxiety (TA) can lower student GPA and increase dropout rates in populations of university students. Despite numerous treatment options, many students still suffer from TA. The stigma attached to this type of anxiety and the incidence rates and perceptions of TA were quantified through surveys distributed to 1,099 students at a Canadian university. Results of this study indicated that 38.5% of students (30.0 % of males, 46.3 % of females) suffered from self-reported TA at some point over the course of their university career. The prevalence of TA varied by faculty, with the highest incidence among those students enrolled concurrently in Arts and Science, and Nursing students. While student perceptions varied by age, sex, and experience with TA, one third of students expressed negative and inaccurate views about TA. These negative perceptions may explain why 11.3% of surveyed students indicated they would not seek help for their TA as, for many, to do so would make them seem weak in the eyes of their colleagues. Further, 20.5% of students surveyed reported that they believe professors would be unable or unwilling to help. It may be the case that this negative perception towards TA makes it difficult for faculty and helping professionals to identify and intervene effectively. Faculty specific educational campaigns designed to educate students about TA, in particular about its prevalence and severity, are suggested as a method to circumvent the negative stigma surrounding this condition. Implementation of such educational policies will likely improve the educational experience and performance of students with TA, as well as improve student retention. L’anxiété due aux examens peut faire baisser la moyenne cumulative des étudiants et augmenter le nombre de décrocheurs parmi les étudiants universitaires. Malgré les nombreuses options qui existent pour remédier à cela, un grand nombre d’étudiants souffrent de cette anxiété. La stigmatisation de ce type d’anxiété, ainsi que le taux d’incidence et les perceptions de l’anxiété due aux examens ont été quantifiés grâce à des sondages distribués à 1.099 étudiants dans une université canadienne. Les résultats de cette étude indiquent que 38,5 % d’étudiants (30,0 % d’hommes et 46,3 % de femmes) ont déclaré avoir souffert d’anxiété due aux examens à un moment ou à un autre au cours de leurs études universitaires. La prévalence de cette anxiété variait selon les facultés et la plus haute incidence se trouvait parmi les étudiants inscrits simultanément en lettres et sciences et en soins infirmiers. Les perceptions des étudiants variaient selon l’âge, le sexe et l’expérience préalable d’avoir souffert d’anxiété, toutefois un tiers des étudiants ont exprimé des opinions négatives et inexactes à propos de l’anxiété due aux examens. Ces perceptions négatives pourraient peut-être expliquer pourquoi 11,3 % des étudiants qui ont participé au sondage ont indiqué qu’ils n’allaient pas chercher à se faire aider pour réduire leur anxiété car, s’ils le faisaient, cela les ferait paraître encore plus faibles aux yeux de leurs collègues. De plus, 20,5 % des étudiants interrogés ont rapporté qu’ils pensaient que leurs professeurs seraient incapables de les aider ou peu disposés à le faire. Il est possible que cette perception négative à l’égard de l’anxiété due aux examens explique pourquoi il est difficile pour les professeurs et les autres professionnels aidants d’identifier le problème et d’intervenir efficacement. Les campagnes éducatives qui s’adressent spécifiquement aux professeurs et qui sont conçues pour éduquer les étudiants sur l’anxiété due aux examens, en particulier sur la prévalence et la gravité de cette anxiété, ont été suggérées comme moyen de circonvenir les stigmates négatifs qui entourent cette condition. La mise en oeuvre de telles politiques éducatives pourrait probablement améliorer l’expérience éducative et la réussite des étudiants qui souffrent d’anxiété due aux examen, elle pourrait également améliorer la rétention des étudiants

    Post-Secondary Educators’ Perceptions of Students’ Test Anxiety

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    Student test anxiety (TA) is a far-reaching concern in many post-secondary institutions as it can have a negative impact on student performance and retention. Educator perceptions of TA may influence the incidence of TA as well as treatment success. As such, we surveyed educators at a medium-sized Canadian university about their perceptions and experiences with TA. In total, 90% of surveyed educators (n=50) were willing to accommodate students with TA, and 69% of educators were aware of TA support services on campus, whereas only 40% could identify symptoms of TA. Two principal components were extracted from survey responses: the importance of TA on campus, and the importance of institutional commitment to managing TA. Perceived importance of TA varied by educator age and sex, with female and older educators perceiving TA as a more serious condition than male and younger educators. Educators that were aware of TA services had a more positive view of institutional commitment to TA. In addition, 42% of educators felt limited in their ability to assist students with TA, and only 40% believed their classes were structured in such a way as to minimize or address TA. Providing information to educators about the symptoms and treatability of TA, as well as available support services is recommended. L’anxiété des étudiants face aux examens est une préoccupation qui a des implications importantes dans de nombreux établissements d’enseignement post-secondaire car elle peut avoir des effets négatifs sur les résultats des étudiants et sur leur rétention. Les perceptions des éducateurs concernant l’anxiété face aux examens risquent d’influencer l’incidence de l’anxiété ainsi que la réussite du traitement. C’est pourquoi nous avons fait un sondage auprès d’éducateurs dans une université canadienne de taille moyenne à propos de leurs perceptions et de leurs expériences concernant l’anxiété face aux examens. Au total, 90 % des éducateurs qui ont participé au sondage (n=50) étaient disposés à répondre aux besoins des étudiants souffrant d’anxiété et 69 % des éducateurs connaissaient l’existence des services de soutien disponibles sur le campus, alors que 40 % d’entre eux pouvaient identifier les symptômes de l’anxiété. Deux composantes principales ont découlé des réponses au sondage : l’importance de l’anxiété face aux examens sur le campus et l’importance de la volonté de l’établissement à gérer cette anxiété. L’importance perçue de l’anxiété variait d’un éducateur à l’autre selon l’âge et le sexe : les femmes et les enseignants plus âgés percevaient l’anxiété comme une condition plus grave par rapport aux hommes et aux enseignants plus jeunes. Les éducateurs qui connaissaient l’existence des services de soutien avaient une perception plus positive de la volonté de l’établissement à gérer l’anxiété. De plus, 42 % des éducateurs se sentaient limités dans leur aptitude à aider les étudiants qui souffraient d’anxiété et seulement 40 % d’entre eux pensaient que leurs cours étaient structurés de manière à minimiser l’anxiété ou à y remédier. Il est recommandé de fournir aux éducateurs l’information pertinente sur les symptômes et le traitement de l’anxiété ainsi que sur les services de soutien disponibles
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