35 research outputs found

    Quelle eau choisir pour la préparation des biberons destinés aux nourrissons ?

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    La source d'eau pour le nourrisson est quasi-exclusivement l'eau contenue dans le lait qu'on lui prépare. La proportion de nourrissons qui vont consommer du lait infantile dans leur première année de vie est très importante. Dans la plupart des pays, les laits infantiles sont présentés sous forme de poudre à reconstituer avec de l'eau. La composition de l'eau doit être prise en compte car l'apport final en électrolytes que va consommer le nourrisson en dépend. L'objectif de ce travail est d'établir un état des lieux des eaux disponibles en France afin d'aboutir à des recommandations pour le choix de l'eau à utiliser. Les informations concernant les critères de qualité des eaux embouteillées portant une mention nourrisson, des eaux minérales naturelles, des eaux de source et des eaux de distribution publique ont été regroupées dans un tableau pour permettre leur comparaison. Ensuite, ont été réalisés des tableaux de composition des eaux embouteillées plates commercialisées en France, et des eaux de distribution publique, pour permettre de dresser une liste des eaux convenant pour les nourrissons. Ont été analysées la composition et la qualité de 30 eaux minérales naturelles, 52 eaux de sources, 22 eaux de distribution publique des grandes villes de France avec un focus sur l'Isère. Pour conclure, concernant l'eau de distribution publique, ne peuvent être recommandées que les eaux pour lesquelles la composition et la qualité sont conformes aux recommandations pour nourrissons. A défaut de ces renseignements, il est plus licite de recommander une eau embouteillée faiblement minéralisée et portant une mention "nourrisson" attestant de sa conformité aux exigences de qualité.GRENOBLE1-BU Médecine pharm. (385162101) / SudocSudocFranceF

    Quelle eau choisir pour la préparation des biberons destinés aux nourrissons ?

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    La source d'eau pour le nourrisson est quasi-exclusivement l'eau contenue dans le lait qu'on lui prépare. La proportion de nourrissons qui vont consommer du lait infantile dans leur première année de vie est très importante. Dans la plupart des pays, les laits infantiles sont présentés sous forme de poudre à reconstituer avec de l'eau. La composition de l'eau doit être prise en compte car l'apport final en électrolytes que va consommer le nourrisson en dépend. L'objectif de ce travail est d'établir un état des lieux des eaux disponibles en France afin d'aboutir à des recommandations pour le choix de l'eau à utiliser. Les informations concernant les critères de qualité des eaux embouteillées portant une mention nourrisson, des eaux minérales naturelles, des eaux de source et des eaux de distribution publique ont été regroupées dans un tableau pour permettre leur comparaison. Ensuite, ont été réalisés des tableaux de composition des eaux embouteillées plates commercialisées en France, et des eaux de distribution publique, pour permettre de dresser une liste des eaux convenant pour les nourrissons. Ont été analysées la composition et la qualité de 30 eaux minérales naturelles, 52 eaux de sources, 22 eaux de distribution publique des grandes villes de France avec un focus sur l'Isère. Pour conclure, concernant l'eau de distribution publique, ne peuvent être recommandées que les eaux pour lesquelles la composition et la qualité sont conformes aux recommandations pour nourrissons. A défaut de ces renseignements, il est plus licite de recommander une eau embouteillée faiblement minéralisée et portant une mention "nourrisson" attestant de sa conformité aux exigences de qualité.GRENOBLE1-BU Médecine pharm. (385162101) / SudocSudocFranceF

    Effectiveness of a starch thickened infant formula with reduced lactose content, probiotics and prebiotics on quality of life and clinical outcome in infants with regurgitation and/or colic

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    BackgroundRegurgitation and colic are quite common in young infants, leading to a reduced quality of life (QoL) and to parental distress. Their management is challenging and aims to effectively reassure and relieve symptoms. This study aimed to assess the effectiveness over 30 days of a starch thickened formula with a reduced lactose content, Limosilactobacillus reuteri (Lactobacillus reuteri) DSM 17938 and FOS/GOS.MethodsA real-world prospective multicenter experimental study was conducted in a before-after design within subject. Full term infants 0−5 months with regurgitation or colic or both symptoms and without intercurrent illness were included after parental informed consent and received the studied formula. The primary endpoint was the improvement in QoL using the QUALIN infant’s questionnaire. Secondary endpoints were the symptoms outcome and the formula tolerance.ResultsOf the 101 infants included (age: 6.2 ± 4.3  weeks), 33 had regurgitation, 34 colic and 34 had both. At D30, the QoL score was improved in 75% of infants in per protocol analysis (n = 68; +8.2 ± 13.7; p < 0.001), more in those with colic or both symptoms. Meanwhile, in intention to treat analysis (all p < 0.001), the daily number of regurgitations decreased by 61% and the weekly number of days with colic by 63% while the daily cumulative duration of crying decreased by 82 ± 106 mn. These improvements were observed within the first week by 89 and 76% of parents, respectively.ConclusionThe study formula associated with reassurance is shown to be quickly effective in the management of infant’s regurgitation or/and colic in routine clinical practice.Clinical trial registrationhttps://clinicaltrials.gov/, identifier NCT04462640

    Risk Assessment of Micronutrients Deficiency in Vegetarian or Vegan Children: Not So Obvious

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    Vegetarian diets have gained in popularity worldwide and therefore an increasing number of children may be exposed to the resulting nutritional consequences. Among them, the risk of micronutrient shortfall is particularly of concern. This narrative review aims to assess and discuss the relevance of micronutrient deficiency risk based on the available data. It mainly draws attention to iron, zinc, iodine, and vitamins B12 and D intake. Diets that are more restrictive in animal source foods, such as vegan diets, have a greater likelihood of nutritional deficiencies. However, the actual risk of micronutrient deficiency in vegetarian children is relatively difficult to assert based on the limitations of evidence due to the lack of well-designed studies. The risk of vitamin B12 deficiency must be considered in newborns from vegan or macrobiotic mothers and children with the most restrictive diet, as well as the risk of iron, zinc, and iodine deficiency, possibly by performing the appropriate tests. A lacto-ovo-vegetarian diet exposes a low risk if it uses a very varied diet with a sufficient intake of dairy products. Vegan and macrobiotic diets should be avoided during pregnancy and childhood. There is a need for education and nutrition guidance and the need for supplementation should be assessed individually

    Dietary Approaches to Iron Deficiency Prevention in Childhood—A Critical Public Health Issue

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    Iron is an essential nutrient, and individual iron status is determined by the regulation of iron absorption, which is driven by iron requirements. Iron deficiency (ID) disproportionately affects infants, children, and adolescents, particularly those who live in areas with unfavorable socioeconomic conditions. The main reason for this is that diet provides insufficient bioavailable iron to meet their needs. The consequences of ID include poor immune function and response to vaccination, and moderate ID anemia is associated with depressed neurodevelopment and impaired cognitive and academic performances. The persistently high prevalence of ID worldwide leads to the need for effective measures of ID prevention. The main strategies include the dietary diversification of foods with more bioavailable iron and/or the use of iron-fortified staple foods such as formula or cereals. However, this strategy may be limited due to its cost, especially in low-income countries where biofortification is a promising approach. Another option is iron supplementation. In terms of health policy, the choice between mass and targeted ID prevention depends on local conditions. In any case, this remains a critical public health issue in many countries that must be taken into consideration, especially in children under 5 years of age

    Traitements de la constipation fonctionnelle aiguë et chronique du nourrisson et de l'enfant (de la théorie au conseil officinal)

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    La constipation, pathologie fréquente en pédiatrie à l origine de 3 à 10% des consultations d un pédiatre et de 10 à 25% de celles d un gastropédiatre. Elle est caractérisée par une réduction de la fréquence de défécation souvent associée à une encoprésie, une exonération de selles volumineuses et dures, une rétention et des douleurs lors de la défécation. Pour soulager l enfant, le pharmacien se trouve être souvent le premier interlocuteur des parents qui attendent de lui des conseils simples, efficaces et non délétères ou une orientation vers un médecin si cela s avère nécessaire. Parmi les étiologies organiques médicales, anatomiques, médicamenteuses et fonctionnelles, seules les deux dernières ont été abordées. Dans un premier temps, le traitement repose sur l application de règles hygiéno-diététiques. Si ces conseils s avèrent insuffisants, l administration conjointe d un traitement médicamenteux doit être envisagée. Il existe de nombreux traitements à disposition. Cependant, la littérature scientifique très abondante sur ce sujet constate, pour la plupart des molécules utilisées, un niveau de preuve souvent faible. Toutes les recommandations font état de l intérêt de l utilisation du polyéthylène glycol, seule molécule ayant réellement démontré son efficacité dans la prise en charge de la constipation de l enfant. Pour obtenir un bénéfice maximum, ce traitement doit être accompagné d une rééducation. Le but de ce travail de thèse a été d orienter le pharmacien d officine dans l optimisation de la prise en charge des enfants souffrant de constipation tant au niveau pharmacologique qu éducationnel.GRENOBLE1-BU Médecine pharm. (385162101) / SudocSudocFranceF

    Intérêt du breath test à l'amidon dans le diagnostic de l'insuffisance pancréatique externe chez des enfants atteints de mucoviscidose

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    GRENOBLE1-BU Médecine pharm. (385162101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Valeurs prédictives du dosage des IgE spécifiques sur l acquisition de la tolérance chez les enfants allergiques aux protéines du lait de vache

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    Les tests de provocation orale sont considérés comme le gold-standard dans le diagnostic des allergies alimentaires, en particulier aux protéines de lait de vache. Des concentrations d IgE spécifiques prédictives d une réaction allergique lors des tests de provocation orale ont été souvent recherchées, sans aboutir à un consensus à ce jour. Le but de cette étude est de déterminer des concentrations seuil d IgE spécifiques prédictives d une réussite ou d un échec aux tests de réintroduction, qui permettraient ainsi d éviter des hospitalisations inutiles. L étude a été menée sur une cohorte de 303 enfants hospitalisés pour test de provocation orale aux protéines du lait de vache. Les taux d IgE dosés dans les semaines précédant les tests ont été comparés aux résultats des tests de provocation orale. Nous avons pu montrer qu en deçà de 0,15kUI/l, la valeur prédictive négative des IgE spécifiques était de 100%. Un dosage de RAST inférieur à ce seuil permettrait donc d envisager une réintroduction du lait de vache à domicile sans risque. Aucune recommandation concernant un seuil maximal de RAST toléré pour envisager une réintroduction n a pu être faite.GRENOBLE1-BU Médecine pharm. (385162101) / SudocSudocFranceF

    Devenir à moyen et long terme des enfants allergiques aux protéines du lait de vache

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    Objectif : Décrire le devenir à moyen et long terme des enfants présentant une allergie aux protéines du lait de vache. Méthode : Etude rétrospective incluant les 192 patients "allergiques vrais" sélectionnés parmi les 434 enfants suivis pour suspicion d APLV au CHU de Grenoble entre 1990 et 2009. Un taux de réponse de 81% a été obtenu au questionnaire téléphonique. Résultats : L âge médian au diagnostic est de 3.25 mois [0 à 16] et l âge médian aux dernières nouvelles de 8,6 ans [0,4 à 23,3]. A la DDN, 91,1% des patients sont devenus tolérants aux PLV (âge médian 23 mois). La probabilité cumulée d acquisition de la tolérance est de 26% à 15 mois, 50% à 24 mois puis 75% à 42 mois et de 97% à 16 ans. Cette acquisition est plus tardive en cas d allergie IgE médiée (p=0,0017). Les indicateurs anthropométriques se normalisent au fur et à mesure de l histoire de l enfant. Parmi les 143 enfants considérés comme tolérants pour qui nous avons pu obtenir une réponse, seuls 50% consomment sans restriction tous les produits laitiers au moment du questionnaire. Parmi les 192 patients étudiés, 118 (61%) ont présenté une réaction allergique clinique et/ou une sensibilisation à un autre aliment (oeuf, fruits à coque, poisson, blé, soja et crustacés) ayant conduit à un régime d éviction. A la DDN, 27 enfants (14%) ont présenté de l eczéma, 66 de l urticaire (34%), 51 une rhinite (26%), 66 une conjonctivite (34%) et 77 de l asthme (40%). Conclusion : Les enfants allergiques aux PLV dans la petite enfance acquièrent la tolérance mais développent ensuite, plus que les autres, d autres symptômes du spectre allergique. Le caractère IgE médié de l allergie influe sur son devenir.Objectives: To describe the medium and long-term outcome of children with cow s milk protein allergy (CMPA). Methods: Among the 434 children followed for suspected CMPA at the University Hospital of Grenoble from1990 to 2009, 192 children were considered to have a "proved" cow s milk protein allergy. More than 80% answered to our telephone interview. Results: The median age at diagnosis is 3,25 months [0 to 16]. The median age at the latest news is 8,6 years [0,4 to 23,3]. 91% of patients became tolerant to cow s milk proteins (median age 23 months). The cumulative probability of achieving tolerance is 26% at 15 months, 50% at 24 months, 75% at 42 months and 97% at 16 years. Tolerance occurs later in children with IgE mediated allergy (p=0,0017). Weight and Height/Length for age (Z scores) and Weight for Height/Length improved from diagnosis to the latest news. Among the 143 children considered to be tolerant who replied, only 50.3% eat currently dairy products without restriction. Among the 192 patients of the study, 118 (61.5%) had a clinical allergic reaction and/or sensitization to other food which has led to an elimination diet (egg, nuts, fish, wheat, soybeans and shellfish). At the time of latest news, 27 children (14%) have developed eczéma, 66 urticaria (34%), 51 rhinitis (26%), 66 conjonctivitis (34%) and 77 asthma or wheezing (40%). Conclusion: Most of children with cow s milk allergy achieve tolerance during early childhood. But they are more likely than other children to develop other symptoms of allergic spectrum. The outcome is different whether the allergy is IgE mediated or not.GRENOBLE1-BU Médecine pharm. (385162101) / SudocSudocFranceF
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