40 research outputs found
A good and beautiful dog: a credible objective?
Courreau Jean-François. Allier le beau et le bon : un objectif crédible ?. In: Bulletin de l'Académie Vétérinaire de France tome 170 n°5, 2017. pp. 229-230
Bartonella rochalimae in Raccoons, Coyotes, and Red Foxes
To determine additional reservoirs for Bartonella rochalimae, we examined samples from several wildlife species. We isolated B. rochalimae from 1 red fox near Paris, France, and from 11 raccoons and 2 coyotes from California, USA. Co-infection with B. vinsonii subsp. berkhoffii was documented in 1 of the coyotes
Introduction du thÚme par le Professeur Jean-François Courreau
Courreau Jean-François. Introduction du thÚme par le Professeur Jean-François Courreau. In: Bulletin de l'Académie Vétérinaire de France tome 152 n°4, 1999. pp. 401-402
Genetie determinism of aptitudes for work in dog and perspectives for species selection
LâĂ©tat des connaissances sur le dĂ©terminisme gĂ©nĂ©tique des aptitudes au travail chez le chien ne permet plus de doute sur sa rĂ©alitĂ©. Par contre, les dĂ©tails de ce dĂ©terminisme restent mal connus. Lâapproche actuelle par la gĂ©nĂ©tique quantitative est susceptible dâapporter une certaine lumiĂšre, notamment dans le domaine des influences respectives du patrimoine gĂ©nĂ©tique et de lâenvironnement, manifestement trĂšs diffĂ©rentes selon les caractĂšres. La connaissance du travail effectuĂ© par les chiens est indispensable au chercheur pour rĂ©aliser un bon modĂšle de la performance, susceptible ensuite dâĂȘtre analysĂ© par le calcul statistique. Cependant, le chercheur ne doit pas ĂȘtre isolĂ© des milieux cynophiles, bĂ©nĂ©ficiaires, sâils le dĂ©sirent, du rĂ©sultat des travaux. Si ceux-ci adhĂšrent Ă la nouvelle aide Ă la sĂ©lection qui leur est proposĂ©, ils devront cependant collaborer en faisant Ă©voluer lâorgani sation des Ă©preuves de travail et la gestion des rĂ©sultats qui en dĂ©coulent
Etude de faisabilité du retour de la loutre (lutra lutra) en Haute-Savoie
Autrefois présente sur l ensemble du territoire français, la Loutre d Europe (Lutra lutra) est considérée comme disparue en Haute-Savoie, comme dans l ensemble du bassin du RhÎne, depuis le début des années 1980. Néanmoins, depuis quelques années, les indices de présence de l animal se multiplient dans ce département ; un retour naturel de l'espÚce semble donc envisageable. Ce travail a été réalisé dans le cadre d une étude demandée par la Région RhÎne-Alpes à l'association ASTERS. AprÚs avoir recueilli de nombreux témoignages d observations d indices de présence de loutres en Haute-Savoie, il a été procédé à une analyse de biotope sur différents cours d eau de ce département, étudiés par tronçons. Les différents facteurs limitant ou favorisant la présence de l espÚce ont été déterminés grùce à une étude bibliographique. Une méthode d analyse originale a ensuite été mise au point sous la forme d une fiche biotope répertoriant plusieurs critÚres de qualité du milieu d'accueil (biomasse de proies, végétation, qualité des eaux, dérangement, ...). Les résultats montre que la Haute-Savoie est un milieu globalement favorable à la Loutre. Dans un second temps, l'étude a porté sur les corridors biologiques susceptibles d offrir à la Loutre une voie de recolonisation de la Haute-Savoie à partir de la population source de l ArdÚche, dynamique et en expansion permanente. Les résultats montrent que ces corridors sont fonctionnels et de bonne qualité en Haute-Savoie. Le RhÎne offre en outre un trÚs bon couloir de recolonisation à l échelle de l ensemble de son bassin versant. Le retour de la Loutre d Europe en Haute-Savoie en tant que population stable est donc envisageable à l échelle de quelques dizaines d années.MAISONS-ALFORT-Ecole Vétérin (940462302) / SudocSudocFranceF
LA REHABILITATION DES CHIMPANZES (PAN TROGLODYTES) EN AFRIQUE, SYNTHESE BIBLIOGRAPHIQUE ET SYNTHESE D'OBSERVATIONS REALISEES DANS LES CENTRES
Depuis 1977, le chimpanzĂ© commun (Pan troglodytes) est classĂ© comme espĂšce en voie d'extinction par la CITES (International Convention on Trade of Endangered Species). Sa distribution sur le continent africain a en effet diminuĂ© de moitiĂ©. Alors qu'il y a quelques siĂšcles, on comptait plusieurs millions de chimpanzĂ©s en Afrique Equatoriale, la population restante actuelle est estimĂ©e Ă seulement 150 000 Ă 200 000 individus. Les deux principales causes de la disparition progressive de l'espĂšce sont d'une part la destruction et la dĂ©gradation de son habitat, et d'autre part le trafic de chimpanzĂ©s vivants et de viande de brousse dont elle fait l'objet. Bien que des lois nationales et internationales rĂ©glementent l'utilisation des ressources naturelles, elles ne sont que partiellement mises en application. A l'heure actuelle, seules les mesures de conservation de l'espĂšce en aval, c'est-Ă -dire principalement la rĂ©pression du trafic, est effective. Ainsi, pour rĂ©pondre Ă l'afflux de chimpanzĂ©s saisis, incapables d'ĂȘtre directement relĂąchĂ©s en forĂȘt, se sont crĂ©Ă©s depuis 30 ans des sanctuaires pour chimpanzĂ©s. Bien que leurs buts ultimes et leurs mĂ©thodes de rĂ©habilitation diffĂšrent d'un centre Ă un autre, leur objectif principal reste le mĂȘme : amĂ©liorer les conditions de vie de leurs pensionnaires afin qu'ils recouvrent, Ă terme, des comportements naturels . Longtemps dĂ©nigrĂ©s par les spĂ©cialistes de la conservation, ces sanctuaires sont pourtant aujourd'hui en mesure de participer a la conservation de l'espĂšce en amont. Ils peuvent en effet constituer des pools de chimpanzĂ©s aptes Ă ĂȘtre relĂąchĂ©s en milieu naturel, afin de renforcer les populations naturelles sauvages ou d'en recrĂ©er. Ils peuvent en outre mener diverses actions : place d'interlocuteurs directs avec le gouvernement du pays dans lequel ils ont Ă©tĂ© crĂ©Ă©s, Ă©ducation et aide au dĂ©veloppement des populations locales villageoises, sensibilisation de l'opinion publique par l'Ă©co-tourisme, apport de leur expĂ©rience de terrain aux domaines de la recherche.MAISONS-ALFORT-Ecole VĂ©tĂ©rin (940462302) / SudocSudocFranceF
Etude des paramÚtres génétiques des qualités de travail du Border Collie, chien de troupeau
En France, la sélection du Border Collie est axée principalement sur ses aptitudes bergÚres. Celles-ci sont évaluées par l'intermédiaire de concours comportant 6 épreuves représentatives des situations réelles de travail sur troupeau. à l'aide des résultats enregistrés sur ces concours entre 1995 et 2003, les paramÚtres génétiques relatifs aux aptitudes bergÚres du Border Collie ont été estimés à l'aide d'un modÚle animal et d'une analyse REML. Les héritabilités estimées varient entre 0,002 et 0,106. Les répétabilités varient entre 0,123 et 0,533. Les index génétiques calculés, quoique peu précis pour l'instant, permettent d'envisager une sélection par indexation génétique, laquelle est conseillée compte tenu des faibles héritabilités estimées.MAISONS-ALFORT-Ecole Vétérin (940462302) / SudocSudocFranceF
LE BERGER DE BEAUCE, CHIEN DE TRAVAIL
Le Beauceron, race sĂ©lectionnĂ©e au cours des siĂšcles en vue d'une utilisation au troupeau, a un caractĂšre affirmĂ©, proche de son maĂźtre, et un grand gabarit par comparaison avec les autres races de berger de conduite. L'Ă©volution des besoins de l'Homme a diversifiĂ© les rĂŽles du chien, et orientĂ© sa sĂ©lection. Les rĂŽles actuels du Beauceron se rĂ©partissent en compagnie, troupeau, ainsi que dĂ©fense et pistage, utilitaires et sportifs. Ces disciplines font appel Ă diffĂ©rentes qualitĂ©s chez le chien, plus ou moins compatibles entre elles. Le Beauceron n'est pas la race la plus utilisĂ©e ni en troupeau, ni en dĂ©fense ou pistage. Mais il est le seul Ă ĂȘtre utilisĂ© avec succĂšs dans toutes ces disciplines. MĂȘme si son grand gabarit lui porte prĂ©judice, il compense dans tous les domaines par sa volontĂ© et sa force, et un dressage adaptĂ©. Ainsi, s'il ne prĂ©tend plus actuellement accĂ©der aux podiums, sa polyvalence, trĂšs apprĂ©ciĂ©e des beauceronniers, le caractĂ©rise.MAISONS-ALFORT-Ecole VĂ©tĂ©rin (940462302) / SudocSudocFranceF
Etude de micromammifÚres proies dans les pelotes de régurgitation de rapaces nocturnes d'Afrique Tropicale. Intérets biogéographique et taphonomique
Les rapaces nocturnes consomment de grandes quantitĂ©s de micromammifĂšres dont ils rejettent les os et les poils sous forme de pelotes de rĂ©gurgitation. Par leur contenu, ces pelotes prĂ©sentent des intĂ©rĂȘts multiples : enrichissement de l inventaire faunique d une rĂ©gion (taxonomie), meilleures connaissances des habitudes de chasse des prĂ©dateurs, utilisation en taphonomie (science de la fossilisation et de l enfouissement). AprĂšs une prĂ©sentation des rapaces nocturnes et de leur nutrition et un rĂ©sumĂ© des travaux antĂ©rieurs, l auteur expose les rĂ©sultats du travail effectuĂ©. L Ă©tude a portĂ© sur un total de dix huit Ă©chantillons provenant de divers pays d Afrique Ă©quatoriale, regroupant 5 espĂšces de rapaces, soit 227 pelotes, 2 nids et un grand nombre de vrac (pelotes dĂ©sagrĂ©gĂ©es et non comptabilisables en tant qu unitĂ©). AprĂšs une Ă©tude taxonomique du contenu des pelotes, l auteur a comptabilisĂ© les Ă©lĂ©ments osseux crĂąniens et post-crĂąniens (avec calcul des pourcentages de reprĂ©sentation) afin de dĂ©terminer un lien entre rapace et profil de reprĂ©sentation, puis a examinĂ© la surface des incisives dans le but de caractĂ©riser et prĂ©ciser la frĂ©quence des altĂ©rations dues Ă la digestion. Il ressort de cette Ă©tude des diffĂ©rences de rĂ©gimes alimentaires entre les genres Bubo et Tyto, ainsi qu au sein mĂȘme du groupe des Bubo. L Ă©tude de la digestion des incisives confirme l appartenance de Tyto alba Ă la catĂ©gorie 1 de prĂ©dateurs (digestion nulle Ă lĂ©gĂšre) Ă©tablie par Andrews [1], mais situe Bubo africanus et Bubo lacteus plus proches l un de l autre que ne les situaient Andrews, et plutĂŽt en catĂ©gorie 2 (digestion modĂ©rĂ©e). L auteur met aussi en avant une diffĂ©rence de reprĂ©sentation osseuse entre le groupe des Tyto et celui des Bubo. Enfin cette Ă©tude s ajoute Ă la base de donnĂ©es commencĂ©e il y a plusieurs annĂ©es sur les rapaces nocturnes au laboratoire de Zoologie MammifĂšres et Oiseaux du MusĂ©um National d Histoire Naturelle de Paris.MAISONS-ALFORT-Ecole VĂ©tĂ©rin (940462302) / SudocSudocFranceF
HEMATOLOGIE DES PSITTACIFORMES
Les oiseaux se distinguent des mammifÚres notamment par des éléments figurés sanguins tous nucléés. Cette différence morphologique entraine la mise en oeuvre de techniques de comptage cellulaire manuelles afin d'établir la numération formule sanguine du patient aviaire. Ces méthodes sont décrites ainsi que les différents éléments cellulaires sanguins dont l'identification est indispensable à l'établissement d'une formule sanguine précise. Le rÎle de l'hématologie dans l'évaluation clinique de l'oiseau est ensuite mis en évidence dans le cadre de l'examen des oiseaux appartenant à l'Ordre des Psittaciformes. L'importance des variations morphologiques et quantitatives du granulocyte hétérophile est soulignée. Les Psittaciformes dans leur grande diversité permettent d'illustrer les difficultées rencontrées par le praticien dans l'établissement de valeurs de références ainsi que dans l'interprétation des variations de l'hémogrammes dont les variations interspécifiques sont significatives.MAISONS-ALFORT-Ecole Vétérin (940462302) / SudocSudocFranceF