Langue de diffusion et ressources publicitaires des media

Les mass média prennent une part de plus en plus grande dans la production et la diffusion des œuvres culturelles et de l'information dans notre société. Les ressources financières qui supportent ces média deviennent alors, pour une part de plus en plus importante, les ressources même de la culture. Dans notre système actuel de diffusion, les média vivent d'abord et avant tout de publicité. Certes ils ne vivent pas uniquement de publicité : en radio et en télévision nous avons instauré un système où l'État intervient dans le financement des stations ; dans les journaux, le public lecteur fournit directement à peu près 35% des recettes brutes du médium qu'il achète. Il n'en demeure pas moins que ce sont les commanditaires qui financent la part la plus importante de nos média, au point que sans eux l'existence même de ces derniers serait compromise. Ce sont ces ressources publicitaires qui font l'objet de notre analyse. Nous essayerons de voir quelle est la part faite aux principaux média francophones et anglophones du Canada

L'entreprise de communication de masse

La commercialisation de la, communication de masse telle que nous la connaissons au Canada et aux États-Unis superpose à la relation primitive de communication (source —» message —» récepteur) un autre système de relations dans lequel le diffuseur vend un auditoire à un commanditaire. Ce second système n'est pas sans avoir de profondes influences sur le premier. Ce sont ces conséquences que nous voudrions examiner ici brièvement

Prospectives

Tiré de: Prospectives, vol. 5, no 1 (février 1969)Titre de l'écran-titre (visionné le 24 janv. 2013

Semi-automated stereoradiographic upper limb 3D reconstructions using a combined parametric and statistical model: a preliminary study

PURPOSE: Quantitative assessment of 3D clinical indices may be crucial for elbow surgery planning. 3D parametric modeling from bi-planar radiographs was successfully proposed for spine and lower limb clinical investigation as an alternative for CT-scan. The aim of this study was to adapt this method to the upper limb with a preliminary validation. METHODS: CT-scan 3D models of humerus, radius and ulna were obtained from 20 cadaveric upper limbs and yielded parametric models made of geometric primitives. Primitives were defined by descriptor parameters (diameters, angles...) and correlations between these descriptors were found. Using these correlations, a semi-automated reconstruction method of humerus using bi-planar radiographs was achieved: a 3D personalized parametric model was built, from which clinical parameters were computed [orientation and projections on bone surface of trochlea sulcus to capitulum (CTS) axis, trochlea sulcus anterior offset and width of distal humeral epiphysis]. This method was evaluated by accuracy compared to CT-scan and reproducibility. RESULTS: Points-to-surface mean distance was 0.9 mm (2 RMS = 2.5 mm). For clinical parameters, mean differences were 0.4-1.9 mm and from 1.7° to 2.3°. All parameters except from angle formed by CTS axis and bi-epicondylar axis in transverse plane were reproducible. Reconstruction time was about 5 min. CONCLUSIONS: The presented method provides access to morphological upper limb parameters with very low level of radiation. Preliminary in vitro validation for humerus showed that it is fast and accurate enough to be used in clinical daily practice as an alternative to CT-scan for total elbow arthroplasty pre operative evaluation