18 research outputs found

    Étude des critères influençant la satisfaction en chirurgie orthognatique chez 62 patients

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    En chirurgie orthognathique, la perception de la qualité du résultat par les patients dépend de plusieurs facteurs: esthétique, fonctionnel et psychologique. Le taux de satisfaction des patients est en général haut, mais il persiste des patients insatisfaits. Nous avons réalisé cette étude afin d'identifier les critères objectifs pouvant influencer la satisfaction des patients. Nous avons revu en consultation 62 patients opérés entre 2005 et 2010 d'une chirurgie orthognathique. Les patients ont répondu à un questiollilaire de satisfaction à paliir duquel un score a été établi et un examen clinique a été réalisé. Nous avons comparé ce score aux divers critères relevés dans l'examen clinique. La douleur post-opératoire immédiate et la qualité de la mastication étaient corrélées significativement à une baisse du score de satisfaction. Les troubles fonctionnels (ventilation, dysfonction des ATM), les troubles sensitifs et la nécessité de chirurgie secondaire des ailes du nez et d'ablation des plaques d'ostéosynthèse n'affectaient pas la satisfaction des patients. La satisfaction était globalement élevée, il était très difficile d'identifier les facteurs qui retentissent sur la satisfaction de ces patients. Comme dans toute chirurgie modifiant l'apparence, l'information préopératoire et l'évaluation psychologique est primordiale. La réalisation des objectifs chirurgicaux ne garantissait pas la satisfaction des patients.MONTPELLIER-BU Médecine UPM (341722108) / SudocSudocFranceF

    La place de la chirurgie dans le traitement des cancers du plancher de la bouche

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    MONTPELLIER-BU Médecine UPM (341722108) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocMONTPELLIER-BU Médecine (341722104) / SudocSudocFranceF

    Intérêt de la recherche du ganglion sentinelle dans la prise en charge des carcinomes épidermoïdes cutanés cN0 de haut grade de la face

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    Objectifs: Les carcinomes épidermoïdes cutanés (CEC) à haut risque présentent un risque élevé de métastases ganglionnaires. Actuel1ement la prise en charge des patients cNO consiste en une simple surveillance clinique. La rrecherche du ganglion sentinelle (GGS) permettrait une évaluation précise de l'état ganglionnaire du patient, une détection précoce des métastases occultes et la mise en place rapide d'un traitement approprié. Cette étude est la première analyse prospective pour la population porteuse d'un CEC à haut risque. L'objectifprincipal de cette étude était de montrer que la recherche du GGS (et l'adaptation du traitement en conséquence) permettait d'améliorer la survie sans récidive. Les objectifs secondaires étaient de montrer que le statut du GGS constituait un facteur pronostic, de donner les caractéristiques épidémiologiques de ces patients et de valider la technique de recherche du GGS. Matériels et Méthodes: Les patients présentant un CEC avec au moins un critère de haut risque ont été inclus de manière prospective entre Mai 2005 et Septembre 2010. Ils ont bénéficié de la recherche du GGS après localisation de ce dernier par lymphoscintigraphie. Un curage ganglionnaire +/- associé à une parotidectomie étaient réalisés en cas de GGS envahis. Les données recueillies concernaient les critères de haut risque présentés par le patient, la localisation du GGS en scintigraphie et en per opératoire, l'analyse histologique du GGS, les traitements reçus et l'évolution clinique. La comparaison entre les groupes était réalisée par un test de Student. La méthode de Kaplqn-Meier a été utilisée pour estimer la survie sans récidive. Le test de Log-Rank a été uti1isé pour comparer la survie sans récidive entre les groupes. Résultats: L'étude a permis d'inclure 18 patients de manière prospective. L'identification du GGS par lymphoscintigraphie était de 94%, le taux de détection in vivo de GGS était de 77%. Le taux de GGS positif était de 14%. Au terme de l'étude, il y avait 3 cas (16,7%) de récidive cutanée, 3 cas (16,7%) de récidive ganglionnaire et 5 patients (27,8%) étaient décédés des suites de l'évolution de la maladie. A 4 mois, la survie globale sans récidive était de 71% (50-93). Elle était meilleure pour les patients avec un GGS négatif que pour les patients avec un GGS positif (test de Rank, p=O,Ol). Le seul facteur pronostic corrélé au statut du GGS était la taille de la tumeur (test de Student, p=0,02). Conclusion: Le CEC à haut dsque apparaît comme une tumeur agressive marquée par une évolution fréquemment défavorable. La détermination du statut du GGS semble constituer un facteur pronostique. Aux termes d'études plus approfondies, son évaluation pourrait orienter la prise en charge thérapeutique de ces patients. A l 'heure actuelle, des études sont nécessaires pour identifier précisément la population de CEC à haut risque sur le plan épidémiologique et évaluer l'impact de la recherche du GGS sur la survie globale et sans récidive de ces patients. C'est dans ce sens que nous travaillons à l'élaboration d'un PHRC (Programme Hospitalier de Recherche Clinique) national.Objectives: High dsk squamous cell carcinoma (SCC) of the skin are weIl defined and present a significant higher risk to develop lymph no de metastasis. Actual management for those patients is just a clinical survey. The Sentinel Lymph Node (SLN) biopsy provides valuable staging information, allows early detection of occult metastasis and early treatment. This study is the first prospective analysis for this population. The (iim was to give epidemiology characteristic for this group, further validate sentinellymph node biopsy for high risk SCC of the skin face and give the outcomes and the characteristics of the patient with SLN+ or SLN- status. Methods: Patients with high risk SCC of the skin face were included in a prospective study from 2005 to 2010. They underwent SLN biopsy following a lymphoscintigraphy. Lymph node dissection (LND) (+/- radiotherapy) was done in the case of SLN+. Data from high-dsk criteria, SLN identification and localization, type oftreatment and outcome were collected. Results: We inc1uded 18 patients. The median follow-up was 20,4 months (range 3 to 42 m.). Identification ofthe SLN was 77,8%. Occults metastasis were identified in 14,3% of cases. There were 3 cases (16,7%) of cutaneous recurrence, 3 cases (16,6%) ofnodal metastasis and 5 patients (27,8%) died from disease evolution. In 4 months, the overall disease free survival was 71 % (CI 95%: [50-93]) and was better when the SLN was negative compared with the SLN positive (Rank test= 0,01). The size of the tumour was the only one factor correlated with the SLN status (Student Test, p=0,02). Conclusion: The high risk SCC population seemed to have a poor prognostic. The SLN biopsy for high risk SCC appeared to be a good staging method in cNO patients by detection of occults metastasis. The SLN + status seemed to be a poor prognostic factor. Studies are needed to accurately identify epidemiological characteristics of high risk sec and assess the impact of SLN research to the overall disease free survival.MONTPELLIER-BU Médecine UPM (341722108) / SudocMONTPELLIER-BU Médecine (341722104) / SudocSudocFranceF

    Application d'une technique de chirurgie vasulaire à la reconstruction microchirurgicale maxillo-faciale

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    MONTPELLIER-BU Médecine UPM (341722108) / SudocMONTPELLIER-BU Médecine (341722104) / SudocSudocFranceF

    Analyse descriptive du traitement fonctionnel exclusif des fractures du condyle mandibulaire

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    Les fractures du condyle mandibulaire représentent une fracture de la mandibule sur quatre.Cette étude propose de décrire notre technique originale de prise en charge par rééducation sans blocage maxillo mandibulaire et d'évaluer ces résultats sur une cohorte de patients.Un total de 30 patients présentant une fracture uni ou bicondylienne de la mandibule,tous âges confondus,ayant consulté au 1 minimum 14 jours après le traumatisme ont été inclus.Les critères évalués étaient l'âge,le sexe,les 1 étiologies du traumatisme, le délai moyen de prise en charge,l'occlusion,l'ouverture buccale,la propulsion,la diduction et la douleur.Le bilan radiologique comprenait un panoramique dentaire à la première consultation. Le suivi était de 6 semaines.Les critères de succès étaient un retour à l'occlusion initial,une ouverture buccale centrée d'au moins 35 mm,une mobilisation mandibulaire sans douleurs,une diduction controlatérale supérieur ou égale à 7 mm,une propulsion centrée supérieure ou égale à 4 mm.La technique de r éducation comprenait des exercices réalisés à l'aide d'abaisse langues axées sur la propulsion et l'ouverture buccale centrée.Les séances étaient (biquotidiennes les 3 premiers jours,quotidiennes pendant les 12 jours suivant, puis une fois par semaine pour une durée totale de 3 mois. A la sixième semaine,21 (70 %) patients présentaient les critères de guérison.Vingt sept(90 %) avaient l'occlusion voulue,21 (70 %) avaient une ouverture buccale centrée d'au Inoins 35 mm.Vingt deux (73.3 %) patients avaient une propulsion en bout a bout incisif centrée,21 (70 %) présentaient une diduction selon les critères et 29(96.6 %) patients n'avaient plus de douleurs.Notre technique de rééducation est une alternative au traitement chirurgical sans toutefois le remplacer.MONTPELLIER-BU Médecine UPM (341722108) / SudocMONTPELLIER-BU Médecine (341722104) / SudocSudocFranceF

    Influence des troubles occlusaux sur les fractures mandibulaires

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    Objectif: Décrire l'influence des anomalies de l'occlusion dentaire sur les fractures mandibulaires. Matériels et méthodes: Il s'agit d'une étude prospective réalisée entre janvier 2009 et septembre 2011 dans le service de Stomatologie et de Chirurgie Maxillo-faciale de l'hôpital Lapeyronie. Les patients inclus présentaient tous une fracture mandibulaire confirmée par un examen d'imagerie (panoramique dentaire ou tomodensitométrie faciale). L'analyse de l'occlusion des patients s'est faite dans les trois plans de l'espace. Nous avons notés pour chaque patient, les données épidémiologiques, le type d'occlusion et le type de fracture mandibulaire. Résultats: 50 patients ont été inclus, ils totalisaient 84 traits de fractures. L'âge moyen était de 25.7 ans et le sexe Ratio de 4.6. Les étiologies étaient, les rixes (50%), les AVP (18%), les chutes (14%) et les accidents de sport (18%). Le nombre moyen de traits de fractures par mandibule était de 1.68 traits. La répartition topographique de ces traits était la suivante: symphyse (11.9%), corpus (26.2%), angle (22.6 %), ramus (1.2 %) et condyles (38%). 36 patients (72%) présentaient des rapports occlusaux anormaux. Le facteur anomalie de l'occlusion était presque associé au nombre plus élevé de traits de fracture (p=0.08) et était significativement associé à la nécessité d'une prise en charge chirurgicale (p=0.009). Les infraclusies étaient significativement associées a la nécessité d'une prise en charge chirurgicale (p=0.03). L'encombrement dentaire était significativement associé au nombre plus élevé de traits de fracture par mandibule (p=0.021) et à la prise en charge chirurgicale (p=0.07). La prise en charge chirurgicale en cas de rixe était significativement plus élevée (p=0.019) que dans les autres étiologies. Conclusion: Les anomalies de l'occlusion sont un facteur de gravité en cas de fracture mandibulaire par augmentation du nombre moyen de traits de fracture et de la nécessité d'une prise en charge chirurgicale. Cette étude est à compléter par une enquête de type exposés-non exposés à la recherche de facteurs de risque de fractures mandibulaires au niveau occlusalMONTPELLIER-BU Médecine UPM (341722108) / SudocMONTPELLIER-BU Médecine (341722104) / SudocSudocFranceF

    Etude biomécanique de la mandibule fragilisée

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    Nous avons souhaité mettre en évidence les modifications des déformations qui se produisent dans la mandibule fragilisée et envisager un seuil de fracture dans le cas de résection osseuse non interruptrice du corpus mandibulaire. Huit mandiblules humaines ont été placées dans un simulateur validé pour produire des forces masticatrices. Nous avons fragilisé le corpus droit de chaque mandibule par des résections osseuses calibrées juqu'au seuil de fracture. Parallèlement, nous avons utilisé un système original d'analyse des déformations par mesure de corrélation d'images numériques à chaque étape de la fragilation. Dans des conditions masticatoires bien définies nous avons obtenu un seuil de fracture à 37% de la hauteur du corpus. L'analyse biomécanique nous a montré une concentration des déformations en tension dans l'angle postéro-inférieur de la résection. ce travail ouvre de nouvelles perspectives dans l'analyse biomécanique de la mandibule normale ou fragiliséeWe wanted to highlight the chages in strain that occur in a weakened mandible and consider a fracture threshold in cases of non interrruptive bone resction of the mandibular corpus. Eight human mandibles were placed in a simulator validated to reproduce the masticatory forces. We weakened the right corpus of each mandible by calibrated bone resections up to the fracture threshold. In parallel, we used a unique system for analysis of strain measurement by correlation of digital images at each stage of bone resection. Under chewing exercises well defined, we obtained a threshold of fracture f 37% of the height of the corpus. The biomechanical analysis has shown a concentration of deformation in tension in the posterior lower angle of resection. This work opens new researarches in biomechanical analysis of the normal or weakened mandibleMONTPELLIER-BU Médecine UPM (341722108) / SudocMONTPELLIER-BU STAPS (341722109) / SudocMONTPELLIER-BU Médecine (341722104) / SudocSudocFranceF

    Polyetheretherketone (PEEK) for medical applications

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    International audienc

    Dysfonction de l’appareil manducateur : apport de la prise en charge rééducative

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    International audienceINTRODUCTION:The temporomandibular joint is highly adaptive and masticatory apparatus disorders (MAD) can occur when its ability to adapt is overwhelmed. Occlusal etiologies were long pinpointed as the sole culprits. However, a consensus now exists which minimizes their involvement. It is recognized that the etiology of MAD is multifactorial, combining occlusal problems, parafunctions, postural anomalies, orofacial dyspraxia and stress.MATERIALS AND METHODS:In this article, the authors review the role of physiotherapy in managing these pathologies.RESULTS:While it remains essential to treat the symptoms in order to relieve pain, optimum treatment requires the underlying pathogenic mechanisms to be identified. Rehabilitation treatment, therefore, offers a physiotherapy-based approach providing an etiological solution. By reeducating function, physiotherapy produces lasting results.DISCUSSION:Given the multifactorial nature of MAD etiologies, maxillofacial rehabilitation is an indispensible ally for odontologists or orthodontists adopting a multidisciplinary approach in their treatment of this disorder
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