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    Certainties and questions on aromatase inhibitors

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    Safety of trastuzumab emtansine (T-DM1) in patients with HER2-positive advanced breast cancer: Primary results from the KAMILLA study cohort 1

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    Abstract Background Many patients with metastatic human epidermal growth factor receptor 2 (HER2)-positive breast cancer (BC) are candidates for trastuzumab emtansine (T-DM1) treatment sometime in their disease history. KAMILLA evaluated safety of T-DM1 in patients with previously treated HER2-positive locally advanced or metastatic BC (advanced BC). Methods KAMILLA (NCT01702571) is a single-arm, open-label, international, phase IIIb safety study of patients with HER2-positive advanced BC with progression after prior treatment with chemotherapy and a HER2-directed agent for MBC or within 6 months of completing adjuvant therapy. Patients received T-DM1 (3.6 mg/kg every 3 weeks) until unacceptable toxicity, withdrawal or disease progression. Results Among 2002 treated patients, median age was 55 years (range, 26–88; 373 [18.6%] aged ≥65 years), 1321 (66.0%) received ≥2 prior metastatic treatment lines and 398 (19.9%) had baseline central nervous system metastases. Adverse events (AEs) and serious AEs occurred in 1862 (93.0%) and 427 (21.3%) patients, respectively. Grade ≥3 AEs occurred in 751 (37.5%) patients; the three most common (individual Medical Dictionary for Regulatory Activity terms) were anaemia (3.0%), thrombocytopaenia (2.7%) and fatigue (2.5%). Median progression-free survival (PFS) was 6.9 months (95% confidence interval [CI], 6.0–7.6). Median overall survival (OS) was 27.2 months (95% CI, 25.5–28.7). With increasing lines of prior advanced therapy (0–1 versus 4+), median PFS and OS decreased numerically from 8.3 to 5.6 months and from 31.3 to 22.5 months, respectively. Conclusions KAMILLA is the largest cohort of T-DM1–treated patients studied to date. Results are consistent with prior randomised studies, thereby supporting T-DM1 as safe, tolerable and efficacious treatment for patients with previously treated HER2-positive advanced BC

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    Evaluation des Single Nucleotide Polymorphisms comme facteurs prédictifs de réponse histologique complète à la chimiothérapie néoadjuvante dans le cancer du sein

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    Contexte : La chimiothérapie néoadjuvante (NCT) à base d anthracyclines et de taxanes est le traitement standard dans le cancer du sein localement avancé ou inflammatoire. Son efficacité est évaluée par la réponse histologique complète (pCR), élément pronostique majeur. Les variations interindividuelles de réponse au traitement peuvent être expliquées par les single nucleotide polymorphisms (SNP). L objectif de notre étude était d identifier les SNP prédictifs de pCR à la NCT dans le cancer du sein. Méthode : Entre novembre 2007 et janvier 2012, 191 patientes (pts) suivies au Centre Oscar Lambret (COL) de Lille pour un adénocarcinome mammaire en situation néoadjuvante ont été incluses : 118 traitées par une chimiothérapie séquentielle associant FEC100 et Docétaxel (TXT), et 46 par FEC100, TXT et Trastuzumab. Les 46 SNP décrits dans la littérature comme facteurs prédictifs potentiels de réponse ont été testés. Le génotypage a été réalisé sur un prélèvement de sang total, en utilisant une discrimination allélique avec SNPType assays (Fluidigm) et TaqMan assays (Life Technologies) sur la plateforme BioMark (Fluidigm). Les caractéristiques cliniques et histologiques ont été comparées par le test du Chi2. L association entre la pCR selon Sataloff et les 3 génotypes de chaque SNP, isolés puis combinés, a été étudiée par régression logistique. Résultats : Dans la population traitée par FEC100 - TXT, 25 pts sur 118 (21.2%) présentent une pCR. Ce taux est plus élevé parmi les tumeurs de grade III (p=0.009), récepteurs hormonaux négatifs (p=0.005) et triple négatives (p=0.006). 4 SNP sont associés à la pCR dans ce groupe : BRCA1 rs799917 (au moins un allèle T : OR=3.15, IC95(1.04-9.6)), CYP1B1 rs1056836 (pts homozygotes CC ou GG, p=0.02), ERCC1 rs11615 (au moins un allèle C : OR=3.63 ; IC95(1.15-11.5)), SLCO1B3 rs11045585(au moins un allèle G, OR=2.77, IC95 (1.10-6.7)). L analyse multivariée retrouve un taux de pCR doublé pour les patients porteurs des génotypes ERCC1-CT et CYP1B1-CC (OR=8.5 (1.6-46)), résultat restant significatif après ajustement au statut RE (p=0.05). La pCR est liée à 4 SNP chez les pts surexprimant Her2 traités par chimiothérapie et trastuzumab. Conclusion : Plusieurs SNP sont significativement liés à la pCR après NCT par anthracyclines et taxanes dans le cancer du sein. ERCC1 est lié à la pCR dans les tumeurs ER+, ER- et Her2 positives, même si les génotypes associés diffèrent dans chaque groupe. Enfin, la combinaison ERCC1-CT/CYP1B1-CC semble intéressante pour prédire la réponse à la NCT dans la population sans surexpression Her2.LILLE2-BU Santé-Recherche (593502101) / SudocSudocFranceF

    Caractéristiques tumorales, traitement et survie chez les patientes de plus de 80 ans atteintes d'un cancer du sein localisé

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    Résumé: Le vieillissement de la population française et l'incidence croissante du nombre de cancer du sein chez les femmes âgées représentent deux enjeux majeurs de santé publique. En 2011, en France, le taux d'incidence du cancer du sein chez la femme âgée de plus de 75 ans était évalué à 220 pour 100 000. Méthodes: Dans ce contexte, nous avons réalisé une étude rétrospective chez 208 patientes (ptes) âgées de plus de 80 ans et atteintes d'un cancer du sein localisé traité au Centre Oscar Lambret entre janvier 2000 et décembre 2009. Les données concernant les caractéristiques histologiques, les traitements et la survie ont été analysées. Les taux de survie globale ont été estimés par la méthode de Kaplan-Meier et les taux de survie relative par la méthode Ederer II. Résultats: L'âge médian au diagnostic était de 83 ans (80-95). La majeure partie des tumeurs était de stade T2 soit 58%, 29% de stade T1 et 13% de stade T3. Soixante-six pour cent des tumeurs était de type canalaire et 16% de type lobulaire. Les grades I/II/III étaient retrouvés respectivement dans 22%, 49% et 29% des tumeurs. Cent soixante-sept ptes (80%) présentaient des récepteurs aux œstrogènes (RE) positifs, 129 (62%) des récepteurs à la progestérone (RP) positifs. Le statut HER2, connu dans 126 cas, était positif chez 18 ptes (14,3%). Dix ptes (5%) étaient strictement triple négative (RE=0, RP=0, HER2=0). La chirurgie était souvent pratiquée avec 23% de chirurgie partielle, 38% de chirurgie radicale, 34% de curage axillaire et 14% de ganglion sentinelle. Cinquante-deux ptes (38%) présentaient un envahissement ganglionnaire. Une hormonothérapie a été prescrite chez 195 ptes dont 68 en adjuvant. La survie médiane était de 59 mois avec une durée médiane de suivi de 76 mois. L'âge jeune, le statut RE+, le traitement par chirurgie partielle, par radiothérapie et l'utilisation du tamoxifène étaient corrélés à un meilleur pronostic en terme de survie globale. Le taux de survie relative à 5 ans était de 69,4%. Conclusion: Les caractéristiques cliniques et biologiques des cancers du sein de la femme âgée sont assez identiques à ceux des femmes ménopausées plus jeunes. Il existe également des facteurs de mauvais pronostic avec 19% de ptes RE-/RP-, 14% d'HER2+ et 5% de vrai triple négatif.LILLE2-BU Santé-Recherche (593502101) / SudocSudocFranceF

    Immunothérapie des tumeurs solides

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    LILLE2-BU Santé-Recherche (593502101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Expression génique et puces à ADN (revue et analyse des applications à la cancérologie)

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    LILLE2-BU Santé-Recherche (593502101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF
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