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    Eine Fundstelle der Glockenbecherzeit in Wetzikon ZH – Kempten, Tösstalstrasse 32–36

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    Geplante Bauarbeiten zur Erweiterung der Berufswahl- und Weiterbildungsschule Zürcher Oberland erforderten vorgängige archäologische Sondierungen. Abgesehen von römischen Funden wurde eine Strate mit glockenbecherzeitlichen Scherben entdeckt. Die darauf eingeleitete Rettungsgrabung führte zur Freilegung eines verlandeten Bacharmes. In dieser natürlichen Senke war eine Kulturschicht der Glockenbecherzeit erhalten geblieben. Bauliche Strukturen wurden nicht festgestellt. Das umfangreiche Fundmaterial und die C14-Daten lassen eine über längere Zeit dauernde Besiedlung vermuten. Von grossem Interesse sind zudem die Ergebnisse der Archäobiologie. An Tierknochen liessen sich ausschliesslich Haustiere bestimmen. Unter den Kulturpflanzen war Gerste, gefolgt von Emmer am stärksten vertreten. Der deutliche Nachweis von Grünlandpflanzen weist auf die Verwendung von Heu. Dies - zusammen mit weiteren Umweltdaten - deutet auf eine Öffnung der Landschaft im Endneolithikum

    Etude rétrospective comparative de survie des patients infectés par le VIH versus patients co-infectés par le VIH et la tuberculose à Ouagadougou (Burkina Faso)

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    Cette étude a évalué et comparé la survie des patients infectés par le VIH seul versus patients co-infectés par le VIH et la tuberculose, deux problèmes majeurs de santé publique du Burkina Faso, dans les services de Médecine interne et de Pneumologie au CHU Yalgado Ouédraogo de Ouagadougou de 2003 à 2008. Il s'agit d'une étude cas témoin 1:1 avec appariement des populations VIH versus VIH/TB selon l'âge, le sexe et le taux de CD4 initial. Les données ont été recueillies grâce au logiciel ESOPE 4 d'Epiconcept, juillet 2008, version 4.0.4 puis analysées grâce au logiciel informatique Epi Info version 3.5.1, août 2008 et Microsoft Office Excel 2003. La probabilité de survie de chaque population a été calculée par la méthode de Kaplan-Meier et la comparaison des 2 courbes a été effectuée grâce au test du log rank. La population était de 1990 patients dont 190 co-infectés par le VIH et la tuberculose. Après exclusion des dossiers qui présentaient trop de données manquantes, 122 patients ont pu être appariés. Les 2 populations (61VIH et 61 VIH/TB) étaient comparables et la proportion d'hommes et de femmes correspondait aux données épidémiologiques du Burkina Faso. Les différents traitements ARV de chaque population correspondaient aux protocoles d'efficacité similaire les plus fréquemment utilisés au Burkina Faso. La supériorité de la probabilité de survie de la population infectée par le VIH seul a été démontrée de manière significative (p=0,0101) avec une survie de 100% dans la population infectée par le VIH seul et une survie de 57,54% dans la population co-infectée par le VIH et la tuberculose. Bien que le résultat obtenu corresponde au résultat attendu, la faible proposition de patients tuberculeux dans la population initiale, l'absence totale de décès dans la population infectée par le VIH seul, le nombre de données non renseignées soulèvent le problème du recueil de données, de leur centralisation, de leur accessibilité et minimise la valeur de ce résultat. Un accès plus large aux différentes thérapeutiques ARV est évidemment primordial afin d'améliorer la prise en charge des patients infectés par le VIH notamment ceux co-infectés par la Tuberculose. Mais il s'agit maintenant de progresser parallèlement sur la gestion des données concernant ces patients. La réalisation d'études comportant des données fiables est en effet essentielle à l'élaboration de campagnes de prévention et de protocoles thérapeutiques ARV et antituberculeux équivalents à ceux des pays du nord.CLERMONT FD-BCIU-Santé (631132104) / SudocSudocFranceF

    Enfants VIH+ hospitalisés pour malnutrition aigüe sévère (effet bénéfique des antirétroviraux sur la survie)

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    3.1 millions d'enfants sont VIH+ en Afrique subsaharienne dont 50% meurt de malnutrition. Nous avons étudié l'efficacité des antirétroviraux (ARV) sur la survie des enfants sévèrement malnutris, leur délai d'introduction et les facteurs de risque de mortalité. Les enfants de 0 à 5 ans VIH+ hospitalisés pour une malnutrition aigüe sévère (MAS) ont été inclus de Janvier 2010 à Avril 2013 dans 3 centres hospitaliers au Burkina Faso. 89 enfants ont été inclus. La mortalité était de 34%. 60% ont été traités par ARV. En analyse univariée, les ARV diminuaient significativement la mortalité (p=0.03) ainsi que la vitamine A (p=0.02) et le Cotrimoxazole (p=0.003). Il n'y avait pas de différence significative en terme de mortalité selon l'âge (p=0.047), de vomissements (P=0.49) ou de candidose buccale (P=0.30) ; l'utilisation de nystatine (p=0.47), d'antiparasitaire digestif (p=0.57), de fer (p=0.14) et d'acide folique (p=0.32). La mortalité était supérieure chez les enfants traités par ARV après J14 (40,63% versus 17% p=0.06). En modèle multivarié ajusté selon le centre hospitalier, les enfants non traités par ARV avaient 3.1 fois plus de risque de décéder (HR=3.1 [1.45-7.82] que les traités, l'Amoxicilline diminuait significativement la mortalité (HR=0.45 [0.18-1.12] ainsi que les Antipaludéens (HR=0.22[0.09-0.52]. Nous recommandons de traiter systématiquement les enfants VIH+ par ARV au cours de la MAS.CLERMONT FD-BCIU-Santé (631132104) / SudocSudocFranceF

    Evaluation de l'efficacité et de la tolérance des deux stratégies antirétrovirales de première intention délivrées chez les personnes infectées par le VIH au Burkina Faso

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    Cette étude a évalué la tolérance et l'efficacité des antirétroviraux de 1ère ligne, délivrés en 2003-2004 dans le service de médecine interne du CHU Yalgado Ouedraogo de Ouagadougou sur une durée de 2 ans, chez des patients porteurs du VIH modérément immunodéprimés. L'efficacité des traitements antirétroviraux de 1ère ligne a pu être vérifiée à la fois cliniquement (prise de poids, disparition des infections opportunistes), immunologiquement (augmentation des CD4 chez plus de 94% des patients) et virologiquement (charge virale indétectable chez 80% des patients prélevés). Cependant 10% des patients présentant des caractéristiques ne pouvant être différenciées de celles de la population globale ont été perdus de vue. Il peut s'agir soit de patients décédés soit de patients non satisfaits de la prise en charge médico-sociale au CHU YO, ce qui engage le Burkina à poursuivre ses efforts pour optimiser la prise en charge de ses patients vivant avec le VIH. Malgré l'efficacité démontrée des traitements de 1ère intention, les effets indésirables neurologiques de d4T et hématologiques de l'AZT constituent un véritable problème pour la population des patients porteurs du VIH ; l'on constate en effet, chez des patients qui étaient sélectionnés pour présenter peu de facteurs de risque associés, pour le d4t une incidence des neuropathies de 26,2% à un an, de 9,8% à 2 ans et pour l'AZT une incidence des anémies de 11,8% à un an, de 4,9% à 2 ans ; et l'on peut craindre que des patients qui ont présenté une toxicité neurologique mitochondriale seront probablement les 1ers à manifester dans les années futures d'autres signes de toxicité mitochondriale comme les lipodystrophies (45, 46, 47) bien connues dans les pays industrialisés. D'autre part 10,3% des patients du groupe d4T ont dû interrompre la prise de stavudine pour neuropathie invalidante la 1ère année. Il s'agit donc de réussir à élargir l'accès aux ARV au Burkina Faso tout en conservant des programmes de qualité malgré un arsenal thérapeutique encore limité.CLERMONT FD-BCIU-Santé (631132104) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Caractéristiques et devenir des patients infectés par le VIH admis en réanimation (étude rétrospective entre 1997 et 2007 au CHU de Clermont-Ferrand)

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    A l'heure où les trithérapies antirétrovirales permettent d'obtenir une espérance de vie normale des patients atteints d'infection à virus de l'immunodéficience humaine, certains sont cependant amenés à séjourner en réanimation pour des pathologies graves menaçant leur vie. Nous avons donc cherché à déterminer la nature et la fréquence des causes conduisant à la prise en charge d'un patient atteint par le VIH dans un service de soins intensifs à l'ère des trithérapies antirétrovirales hautement actives de manière à évaluer le profil des patients concernés, définir la mortalité, la morbidité et les séquelles éventuelles ayant un impact sur la qualité de vie. Notre recrutement était représenté par les patients séropositifs pour le VIH hospitalisés au CHU de Clermont-Ferrand entre 1997 et 2007. Sur 929 patients suivis au cours de cette période, 41 cas ont été pris en charge en réanimation. 35 (85,4%) connaissent leur statut sérologique et sont suivis régulièrement. 77,1% d'entre eux (n=27) sont sous traitement avec une efficacité virologique pour 59,3% (n=16) d'entre eux. 27 (65,8%) admis en réanimation étaient au stade Sida. 59% (n=24) avaient un taux de CD4 inférieur à 200/mm3. Les motifs d'admission les plus fréquents ont été les infections (51,2%), notamment bactériennes, les tentatives de suicide (14,6%), les atteintes rénales (12,2%) et neurologiques (7,3%). Chez les 6 patients dont l'infection VIH a été découverte en réanimation, la pneumocystose (n=4) et la toxoplasmose cérébrale (n=2) sont les infections opportunistes révélatrices [un patient était atteint à la fois de deux]. Chez les patients dont l'infection VIH était déjà connue, les infections pulmonaires restent les plus fréquentes. Viennent ensuite les tentatives de suicide, les atteintes rénales, les troubles neurologiques, la iatrogénie et les pathologies digestives. 5 patients (dont un qui ignorait son diagnostic) sont décédés en réanimation. 12 personnes sont mortes dans les 5 ans qui ont suivis leur séjour en réanimation d'un lymphome (n=3), d'un sarcome de Kaposi, d'une mycobactériose atypique, d'une leishmaniose, d'une encéphalopathie hépatique, d'un cancer anal, d'une cirrhose, d'un évènement classant Sida ou d'un AVC. Un décès demeure sans étiologie retrouvée. 44,4% des patients survivants ont eu des séquelles : neurologiques, rénales, psychologiques et infectieuses. Les quelques patients revus au décours de l'évènement ont modifiés sensiblement leur comportement hygiéno-diététique sauf pour la consommation de tabac. Le retentissement de la maladie est davantage physique que psychologique. Une proportion non négligeable de patients infectés par le VIH est amenée à séjourner en réanimation encore aujourd'hui. Les raisons ne sont pas liées au VIH dans la majorité des cas. Beaucoup de patients ignorent leur séropositivité ou alors ont un état d'immunodépression avancée. Ce sont autant d'aspects contre lesquels on peut lutter par une prise en charge précoce.CLERMONT FD-BCIU-Santé (631132104) / SudocSudocFranceF

    Atteintes cardiaques chez les patients infectés par le VIH (étude prospective (2009-2010) au CHU de Clermont-Ferrand)

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    Depuis l'utilisationdes traitements antirétroviraux, l'espérance de vie des personnes infectées par le VIH (VIH (+)) a augmenté dans les pays occidentaux. Devant une population vieillissante ayant un traitement depuis plus d'une dizaine d'années, avec des effets secondaires métaboliques glucidiques et lipidiques, la prise en charge des pathologies cardio-vasculaires et la mise en place d'une prévention primaire et secondaire sont devenues une priorité de santé publique. En France, les pathologies cardio-vasculaires restent la 4ème cause de mortalité des patients VIH (+). L'objectif est de décrire les atteintes cardio-vasculaires chez les patients VIH (+) ayant une cardiopathie ou des facteurs de risques cardio-vasculaires et/ou un traitement antirétroviral depuis plus de 5 ans. Sur 720 patients, 154 sont inclus (âge moyen : 53+-11 ans, sex ratio : 3,1). La durée de traitement antirétroviral (n=151) est de 10,9+-5,6 ans, dont 131 (87%) ont reçu des inhibiteurs de protéase pendant 5,4+-3,5 ans. On dénombre 53 (34%) patients en surcharge pondérale, 50 (32%) hypertendus et 96 (62%) dyslipidémiques. On identifie 104 (68%) fumeurs ou anciens fumeurs, 85 (55%) consommateurs d'alcool et 55 (36%) ayant au moins une heure d'activité physique par jour. Les caractéristiques remarquables sont : i/ pour 21 patients (14%) ayant une cardiopathie ischémique, soit une dyslipidémie associée à une durée relative sous inhibiteurs de protéase (par rapport à la durée totale de traitement antirétroviral) d'au moins 0,5, soit un âge supérieur à 50 ans associé à la consommation d'alcool ; ii/ pour les 11 patients (8,3% sur les 132 échocardiographies) ayant une insuffisance aortique, la présence d'une hypertension artérielle associée à une durée relative sous inhibiteurs de protéase inférieure à 0,5.(7/11) ; iii/ pour 22 patients (16,7% sur 132 échocardiographies) ayant une valve aortique fibreuse, épaissie, la présence d'une durée relative sous inhibiteurs de protéase supérieure à 0,1 chez des personnes normopondéraux et sans hypertension artérielle (12/22). Dans cette cohorte, similaire aux données de la littérature pour les cardiopathies ischémiques, on observe une prévalence importante d'insuffisances aortiques. Une étude cas-témoins devrait permettre d'établir la relation entre VIH, facteurs de risque cardio-vasculaires et le rapport durée de traitement par inhibiteurs de protéase sur durée totale de traitement antirétroviral dont le rôle est à expliquer.CLERMONT FD-BCIU-Santé (631132104) / SudocSudocFranceF

    Freins à la prise en charge des patients infectés par le VIH en médecine générale en Auvergne en 2008

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    La majorité des patients infectés par le VIH en Auvergne sont suivis à l'hôpital. Le rôle du médecin traitant est très réduit. Or l'amélioration de la coordination et de la qualité des soins implique une place centrale du médecin généraliste. L'objectif de ce travail est de décrire les caractéristiques des médecins généralistes concernés par le VIH en Auvergne en 2008 et leur place dans le suivi des patients infectés par le VIH, confrontées à celles des patients et de leur suivi actuel en Auvergne en 2008. Un questionnaire est envoyé à tous les médecins d'Auvergne qui suivent au moins un patient infecté par le VIH ayant consulté au CHU de Clermont-Ferrand. Les patients sont interrogés lors d'un entretien singulier. 113 médecins ont été inclus. Les médecins étaient 67,3% à se dire prêts à prendre en charge le suivi du VIH des patients infectés, mais seulement 28,3% s'en sentaient aptes. Le 1er frein à ce suivi concernait les compétences pour 49,6% d'entre eux. 22 patients ont répondu au questionnaire. Leur confiance dans les compétences de l'infectiologue les incitait à consulter à l'hôpital pour 72,7% d'entre eux. 70% des patients ne souhaitaient pas que leur suivi s'effectue chez leur médecin traitant. Les médecins généralistes souhaitent s'engager dans le suivi de cette infection. Les compétences puis le temps sont les 1ers freins évoqués. Les patients appréhendent d'effectuer leur suivi en ville. Leur suivi actuel leur convient. Ils ont moins confiance dans les compétences du médecin généraliste. Ils trouvent une plus grande facilité de prise en charge à l'hôpital où tous les intervenants sont regroupés. Afin de suivre les patients infectés par le VIH en médecine de ville, deux possibilités sont envisageables. Développer, pour un suivi conjoint, des outils efficaces de formation des médecins généralistes et une coopération entre les acteurs de soins. Permettre à certains médecins généralistes de s'orienter vers une spécialisation en sidénologie.CLERMONT FD-BCIU-Santé (631132104) / SudocSudocFranceF

    Affections buccales classantes dans l’infection à VIH : analyse rétrospective de 62 patients sur 4 ans

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    L’infection à VIH non traitée efficacement conduit inexorablement à un déficit de l’immunité cellulaire et favorise l’apparition d’une multitude de manifestations dont une grande partie touchent la cavité buccale, et dont la gravité est très variable allant des infections opportunistes aux tumeurs malignes. L’objectif de ce travail était double. D’une part, tenter d’identifier les caractéristiques buccales des patients VIH+ consultant dans le service de Maladies Infectieuses du CHU de Clermont-Ferrand lors de la survenue d’affections mineures ou majeures marquant le passage à un stade symptomatique de la maladie (stades B et/ou C, selon la classification CDC, cf. tableau 1). D’autre part, rechercher l’existence de corrélations entre la chronologie d’apparition des différentes lésions buccales observées lors des changements des stades liés à l’évolution de l’infection VIH, et les variations biologiques de l’immunité (lymphocytes CD4 et charge virale). La présentation de ces résultats confirme l’importance de l’examen de la cavité buccale dans le dépistage et le diagnostic précoce des lésions liées à l’immunodéficience. (Med Buccale Chir Buccale 2005 ; 11 : 195-204)
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