435 research outputs found

    Does Race Matter? - Outcomes of the First Year Experience in a Canadian University

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    Canadian cities are experiencing increasing ethnic and racial diversity. As a result there is a growing concern with the degree to which Canadian institutions meet the needs of a heterogeneous population. Despite this concern, as yet, there have been no systematic studies of race relations on Canadian campuses and the degree to which outcomes of the university experience are affected by race. Data for the current study were collected at York University through a survey of 1,093 students at the time of entry in September and a survey of 1,129 students conducted in February/March of the first year. Data analysis focuses on the background characteristics of students of various races, their social and academic involvement and classroom experiences, outcomes of the first year in university, and the degree to which race affects both experiences and outcomes. It is found that in general students of non-European origins come from families with different socio-economic characteristics than those of European descent. In addition, the nature of the university experience varies by minority status and/or race. Comparisons, however, do not always favour students of European origin. Finally, although some outcomes of the first year experience - self-assessed intellectual development and knowledge, grade point averages, and intentions to return to the university - vary by racial group; race per se explains little, if any, of the total variance. In essence, there is a considerable degree of equality in outcomes so far as race is concerned. Explanations for differences in outcomes are to be found in classroom experiences, contacts with faculty etc., and academic involvement.Les villes canadiennes connaissent actuellement une croissance importante de la diversité ethnique et raciale. On se demande toujours jusqu 'à quel point les universités canadiennes répondent aux besoins d'une population hétérogène. En dépit de cette appréhension, toutefois, il n'y a pas eu une seule étude systématique ni sur les relations raciales dans les campus canadiens ni sur l'importance de la question raciale dans la vie universitaire. Les données de l'étude que nous menons actuellement ont été recueillies à l'université York grâce à un sondage mené auprès de 1.093 étudiants au moment de la rentrée en septembre et à un autre sondage mené auprès de 1.129 étudiants en février-mars de la première année. L'analyse des données se concentre sur les antécédents des étudiants de diverses races, leur participation à la vie sociale et académique, leur expérience en classe, leurs résultats de la première année universitaire ainsi que sur l'importance de la question raciale dans leur vie étudiante. Il a été établi qu'en général, les étudiants d'origine non européenne viennent de familles dont les caractéristiques socio-économiques sont plus variées que ceux d'origine européenne. De plus, la nature de leur expérience universitaire varie selon la minorité ethnique et raciale à laquelle ils appartiennent. Des comparaisons, toutefois, ne favorisent pas toujours les étudiants d'origine européenne. Finalement, bien que certains résultats de l'expérience de la première année, tels que le développement intellectuel et la connaissance acquise (évalués par les étudiants eux-mêmes), les moyennes de réussite scolaire et les intentions de poursuivre des études universitaires, varient selon le groupe racial, l'appartenau raciale à elle seule explique très peu toute la variance. En somme, il y a un degré considérable d'égalité dans les résultats si on prend seulement la question raciale en considération. Les explications des différences de résultats doivent être trouvées dans l'expérience en classe, dans les contacts avec le corps enseignant, etc. ainsi que dans la participation à la vie académique

    Place of Residence, Student Involvement, and First Year Marks

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    Research conducted in the United States has shown that students living in residence have greater gains in areas such as intellectual development, and are more likely to stay in university and complete their degrees, than students who live off-campus. The enhanced student involvement of those in residence is often cited in explanation for positive outcomes such as these. While there are some dissenting voices, research has also demonstrated that place of residence has little, if any, impact on marks. In a study of York University, a large commuter university, it is shown that place of residence does affect student involvement and first year marks; however, after controlling for OAC marks and faculty of enrollment, the first year marks of students who live at home with parents are higher than those of students in residence. Part of the explanation for this phenomenon can be found in the fact that despite their place of residence off-campus and low involvement in some activities, students living with their parents have higher rates of classroom involvement than students living in residence. In essence, living off-campus with parents does not represent a disadvantage in terms of first year marks.Une recherche effectuée aux États-unis a montré que les étudiants vivant en résidence retirent davantage, notamment sur le plan du développement intellectuel, et sont plus susceptibles de terminer leurs études universitaires que ceaux qui demeurent à l'extérieur du campus. On explique souvent ces résultats positifs par la forte participation de ces étudiants à la vie universitaire. En dépit de certains avis divergents, la recherche a aussi montré que le lieu de résidence a peu ou pas d'influence sur les notes des étudiants. Une étude sur l'université York, où un grand nombre d'étudiants vivent hors campus, a montré que le lieu de résidence influe sur la participation et sur les notes de première année. Toutefois, après avoir contrôle les notes obtenues par les étudiants au CPO et la faculté à laquelle ils étaient inscrits, il a été possible d'observer que les notes des étudiants de première année qui vivaient chez leurs parents étaient plus élevées que celles de ceux qui vivaent en résidence. Cette constatation peur en partie s'expliquer par le fait que, malgré leur lieu de résidence et leur faible participation à certaines activités, les étudiants vivant chez leurs parents présentent un taux de participation en classe plus élevé que leurs collègues vivant en résidence. Essentiellement, le fait de vivre au domicile familial ne représente pas un désavantage eu égard aux notes obtenues en première année

    First Year Science in a Commuter University: Where to Intervene

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    A study of first year science students in a large Canadian commuter university shows that integration/involvement variables are important in explaining a number of desired outcomes. Most evident is the fact that students who were satisfied with the quality of instruction, and students who felt that topics covered in classes were important to future career success, were more likely than others to score high on a number of desired outcomes. By way of comparison, variables falling in the social integration/involvement category, by and large, were not important in explaining desired outcomes. For example, in contrast to previous findings on factors affecting student development, the number of out- of-class contacts with faculty had no impact on any of the outcomes under consideration Overall, the findings, and possible avenues of improvement that they suggest, reflect the fact that in a large commuter university classroom contact represents the main link between the institution and the individual. As a result, it is likely that improvements in curriculum and teaching would have large payoffs for both students and the institution. The university under study is a commuter university in a large city with large first year science classes. Where similar conditions can be found in other Canadian universities, it is likely that various outcomes can be explained by reference to similar factors. By extension, it is equally probable that changes likely to enhance outcomes would also lead to improvements elsewhere.D'après une enquête menée dans une grande université canadienne auprès d'étudiant(e)s de première année en sciences, on constate que les variables intégration/participation son déterminantes afin d'obtenir certains résultats souhaités. De toute évidence, les étudiant(e)s qui sont satisfait(e)s de la qualité de l'enseignement et ceux et celles qui croient que les sujets abordés en classe amélioreront leurs chances de succès pour leurs futures carrières sont plus susceptibles que d'autres d'atteindre de hautes performances quant à certains résultats souhaités. En comparaison, les variables qui tombent dans la catégorie sociale participation/intégration ne sont pas vraiment importantes pour expliquer les résultats escomptés. Par exemple, en contraste avec les découvertes antérieures sur les facteurs qui modifient le développement des étudiant(e)s, on a constaté que le nombre de contacts hors-classes avec les professeur(e)s n'avait aucun impact sur les résultats à l'étude. En général, les résultats de cette étude et les possibilités d'amélioration qui en découlent, démontrent que dans une grande université, les contacts établis en classe représentent le lien principal entre l'institution et l'individu. En conséquence, il est probable qu 'une amélioration des programmes scolaires et de l'enseignement bénéficierait grandement à la population étudiante ainsi qu'à l'institution. L'université qui a servi de modèle pour cette enquête est située dans une grande ville et elle comporte de larges classes de première année en sciences. Si l'on retrouvait des conditions semblables dans d'autres universités canadiennes, il est probable que les résultats attendus des étudiant(e)s s'expliqueraient à partir de facteurs similaires. On peut donc déduire qu'il est également probable que des changements qui donneraient des résultats positifs ici puissent donner lieu à une amélioration ailleurs

    The Performance of "Gifted" High School Students in University

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    In Ontario, school boards are required to provide opportunities so that "gifted" students (i.e., those with exceptional abilities) can obtain learning experiences that are beyond those offered in regular classes. This study follows graduates of regular and gifted programs over four years of studies at York University in Toronto. Overall, it is found that having participated in a gifted program in high school does not result in increased levels of achievement in university; however, graduates of gifted high school programs have slightly higher self-assessed thinking and reasoning and problem-solving skills and are marginally faster in credit completion than other students. These findings aside, it is difficult to argue that participation in a high school gifted program confers an advantage students once they get to university.En Ontario, les conseils scolaires doivent donner l'occasion aux élèves surdoués (c'est-à-dire, ceux qui ont des capacités exceptionnelles) d'apprendre au delà de ce qui est offert dans les classes régulières. Dans le cadre de cette étude, nous avons suivi de près les diplômés des programmes réguliers et spéciaux (prévus pour les élèves surdoués) pendant quatre ans à l'Université York de Toronto. Dans l'ensemble, il a été trouvé que la participation dans un programme spécial à l'école secondaire ne donne pas nécessairement une augmentation du rendement à l'université; toutefois, les diplômés d'un programme spécial sont légèrement plus compétents en autoévaluation, raisonnement et résolution de problèmes et un peu plus rapides que les autres étudiants dans l'obtention de crédits pour terminer leurs études. Mis à part ces résultats, il est difficile de démontrer que les élèves ayant participé à un programme spécial sont mieux préparés pour faire des études universitaires

    The Relationship Between Grades and Academic Program Satisfaction Over Four Years of Study

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    It is frequently assumed that the student experience, and, by implication, student program satisfaction, improves over the course of a university education. A four-year panel study of students at a large commuter university indicates some improvements in assessments of professor performance and GPA between first and fourth year; however, satisfaction with academic programs remains more or less the same across all four years of study. Structural equation modelling was employed to estimate the relationships among professor performance, GPA, and program satisfaction within, and between, each of the four years of study. Contrary to expectations based on some conventional models, it was found that students' assessments of professors were not affected by GPA; conversely, professor performance had little impact on GPA. By contrast, student satisfaction was related to both GPA and professor performance. The greatest predictor of students' program satisfaction, however, was neither GPA nor professor performance, but program satisfaction in the previous year. This finding suggests that underlying personality characteristics likely are more responsible for expressions of program satisfaction than either GPA or professor performance.On suppose souvent que l'expérience de l'étudiant et dès lors, sa satisfaction à l'égard du programme, s'améliore au cours de ses études universitaires. Sur une période de quatre, l'étude réalisée auprès d'un groupe d'étudiants d'une grande université à population majoritairement externe montre une certaine amélioration de l'évaluation de la performance des professeurs et de la MPC entre la premièreet la quatrième année, mais la satisfaction à l'égard du programme universitaire reste à peu près la même pendant les quatre années de l'étude. Nous avons utilisé la modélisation par équation structurelle pour estimer le rapport entre la performance du professeur, la MPC et la satisfaction à l'égard du programme dans les quatre années d'études et d'une année à l'autre. Contrairement aux attentes fondées sur quelques modèles conventionnels, nous avons constaté que la MPC n'influençait pas la cote donnée au professeur par l'étudiant; réciproquement, la performance du professeur avait peu d'effet sur la MPC. La satisfaction de l'étudiant,en revanche, était liée à la fois à la MPC et à la performane du professeur. Le meilleur prédicteur de la satisfaction d'un étudiant à l'égard du programme, toutefois, n'était ni la MPC ni la performance du professeur, mais la satisfaction exprimée à l'égard du programme l'année précédente. Cette conclusion suggère que les traits de personnalité sous-jacents sont probablement plus responsables de la satisfaction exprimée à l'égard du programme que la MPC et la performance du professeur

    Students\u27 Attitudes Toward Debt-A Study of Atkinson Faculty of Liberal and Professional Studies, York University, and Ryerson University

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    In Ontario, the university system has been put on notice that there will be financial consequences for those universities whose Ontario Student Assistance Plan (OSAP) default rates are greater than the norm. As a result, it is important to determine all of the factors that affect students\u27 decisions to borrow. This paper uses survey information gathered from Atkinson Faculty of Liberal and Professional Studies, York University, and Ryerson University to focus attention on the relationship between students\u27 attitudes toward going into debt to finance their university education and their actual borrowing behavior. The study found that when all else is held constant, students with positive attitudes toward debt are more likely than others to be on the OSAP

    Negative Racial Encounters and Academic Outcomes of International and Domestic Students in Four Canadian Universities

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    In Canada, there has been little systematic inquiry into the nature and extent of discrimination against university students and the potential impact of discrimination on educational outcomes. On the basis of an examination of domestic and international students at the University of British Columbia (Vancouver), York (Toronto), McGill (Montreal), and Dalhousie (Halifax), it is argued that with the exception of employment of Chinese origin and Black students, in general, students experience little discrimination on- and off-campus; that the discrimination confronted by students does not systematically correspond to their minority non-minority status; and that discrimination is of little consequence for grade point average and program satisfaction

    ‘Remember Now Thy Creator in the Days of Thy Youth’: The Quiet Religious Revolution on a Canadian Campus in the 1960s

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    While increasing information in becoming available on Canadian student activists of the 1960s, little is known of the religious beliefs and practices of average university students.  Relying on never before analyzed information on students attending Glendon College (the original campus of York University) from 1963 to 1967, it is shown that religion was not an important component of public or private discourse.  Moreover, while a majority adhered to the religions of their parents, over the course of their studies, a considerable number of students rejected religion or had become atheists or agnostics, particularly if they were enrolled in the humanities.  Such students were more likely than others to identify with the political left.  Overall, students experienced more change in religion than in politics.  The impetus to religious change included formal courses, a general increase in knowledge, and interactions with other students and faculty.  Despite change, few students reported religious problems

    The Way They Were: “Conn Girls” and American Culture in 1959

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    In the 1950s, American women in general, and female college students in particular, confronted different sets of cultural assumptions, or ideologies, relevant to their aspirations and behaviour. Perhaps the best-known of these was an ideology in which it was assumed that female college students were not interested in their studies and were primarily concerned with nding a husband. An examination of the cohort that entered the Connecticut College for Women in 1959 reveals that some students were indeed concerned with marriage; however, a large minority did not know what they wanted. In addition, many students were keenly interested in their studies, wanted to do well, and aspired to careers. These ndings indicate that rather than forming a homogeneous group, the students at Connecticut College did not t a common 1950s stereotype of female students in American colleges. RÉSUMÉ Dans les années 1950, les femmes américaines et les collégiennes, en particulier, furent confrontées à différentes manières de penser ou idéologies ayant trait à leurs aspirations et à leur conduite. Parmi les plus courantes, un préjugé voulait que les collégiennes n’étaient pas inté- ressées par leurs études, mais plutôt par la recherche d’un mari. Une analyse de la cohorte qui entra au Connecticut College for Women en 1959 révèle que certaines étudiantes étaient, en effet, préoccupées par le mariage ; cependant, une minorité importante ne savait pas ce qu’elle voulait. En outre, plusieurs étudiantes furent vraiment intéressées par leurs études, voulaient réussir et aspiraient à une carrière. Ces résultats indiquent que plutôt que de former un groupe homogène, les élèves du Connecticut College ne répondaient pas au stéréotype des années 1950 concernant les collégiennes américaines.

    The Political Consequences of Unemployment: An Application of the "Power Model" of Blue-Collar Radicalism

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    Au cours des dernières années, le Canada, comme les autres sociétés occidentales, a fait l'expérience de la fermeture de nombreux établissements. Jusqu'à maintenant, on n'a consacré que peu d'efforts à l'examen en profondeur des conséquences du chômage en général et de la fermeture d'usines en particulier sur les attitudes et le comportement de leurs victimes.Les recherches sur le chômage devraient tenir compte de plusieurs facteurs de même que de leurs interactions potentielles: 1) l'existence chez les sans-travail d'attitudes relatives à leur engagement politique en regard de la situation économique dans laquelle ils se trouvent; 2) la présence ou l'absence de structures bien organisées qui puissent faciliter leur action; 3) si celles-ci existent, l'évaluation de la façon dont elles sont perçues en tant que véhicules efficaces capables de traduire leur mécontentement présumé et, 4) en dernier ressort, l'ampleur de la capacité de pareilles structures pour canaliser leur insatisfaction et améliorer leur sort.Conformément à cette perspective, les effets de la fermeture de l'usine de S.K.F. Canada Ltd. et de celle de Générale électrique du Canada (toutes deux situées à Toronto), ont fait l'objet d'un suivi d'une durée de 5 et de 2.5 années respectivement. Voici ce qui en est résulté. En premier lieu, pour toute la période sous observation, la perception de détenir un pouvoir politique était moindre chez les anciens travailleurs de G.E.C. et leurs épouses que dans la population de l'Ontario en général. En second lieu, pendant la même période, les employés se considéraient moins engagés que leurs épouses. Troisièmement, avec le temps, on a noté un très léger déclin de l'engagement politique, principalement chez les femmes. Dans l'ensemble, pour ce qui en est des anciens employés de G.E.C. et de leurs épouses, l'effet manifeste de la fermeture entraîna une diminution continue de la participation à l'activité politique.Alors que, si l'on tient compte de la période totale, les ex-salariés de G.E.C. et leurs épouses ont pu s'être sentis moins enclins à l'action politique que le reste de la population, leurs opinions ne différaient pas de celles des autres quant à la façon de considérer comment on pouvait opérer un changement légitime pendant la première année environ suivant la fermeture; toutefois, 27 mois plus tard, ils estimaient que le recours à des moyens inaccoutumés se justifiait pour changer cet état de choses. Lorsqu'on compare les victimes de la fermeture de G.E.C. à celles de la fermeture de S.K.F., 27 mois après ces événements, les anciens employés de même que leurs épouses dans l'un et l'autre établissements se trouvaient au même point en ce qui concerne leurs perceptions de l'impuissance politique. Malgré ces sentiments, les ex-travailleurs de S.K.F. et leurs épouses étaient légèrement moins enclins que la population en général à recourir à des mesures nouvelles pour s'engager dans un processus de changement. Au contraire, leurs confrères de G.E.C. étaient davantage enclins que les gens en général à prendre des moyens qui n'étaient pas conventionnels pour obtenir un changement à leur situation.Pendant toute la période couverte par cette étude, il est apparent que la plupart des sacrifiés de ces deux fermetures ne considéraient pas le N.P.D. comme une option viable. Cette opinion était sans doute à la fois une manifestation du comportement d'inefficacité politique sous-jacent qu'on avait décelé et un facteur qui y contribuait. Alors que, d'une façon générale, les constatations tirées de l'enquête sont compatibles avec le «modèle du pouvoir», il est évident que, 27 mois après les fermetures, les ex-employés de G.E.C. désiraient, davantage que ceux de S.K.F., s'engager dans une action politique qui n'était pas traditionnelle. Même si cette divergence est difficile à expliquer, il se peut que la différence entre les deux groupes soit attribuable à la formation et à la culture syndicales auxquelles ils avaient participé à des degrés divers pendant la durée de leur emploi. Avec le temps qui s'écoulait, surtout dans un marché du travail sans sécurité, l'activité syndicale relativement plus militante à G.E.C. peut avoir eu plus de mordant et avoir entraîné une réévaluation éventuelle des choix politiques.In this article it is argued that in order to be understood, the political attitudes and behaviour of the unemployed must be seen in conjunction with the potential of external organizations to channel the potential discontent resulting from termination. Such an approach is consistent with the 'power model' of blue-collar radicalism. The potential of this approach in understanding the political consequences of unemployment is revealed through a longitudinal analysis of two plant closures in Canada
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