43 research outputs found

    Towards improving learner performance in the national senior certificate examination - script analysis research report

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    This summary report includes a) a summary of findings across subjects, b) the main findings from each subject area analysis, and c) a background section which describes the purpose, rationale and research approach

    The effect of buffered peptone water pre-enrichment on detected prevalence of Salmonella in swine feces

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    Sensitive and specific detection methods are important to understand the epidemiology of Salmonella and to develop appropriate control strategies. The risk of Salmonella contamination of pork is associated with subclinical Salmonella infections in pigs. In most epidemiological investigations, microbiological culture has been used to deterimine Salmonella infection status for infections on swine farms or at slaughter plants. However, identification of Salmonella by culture among subclinically infected pigs may be highly influenced by the intermittent shedding status of pigs. The types and volume of samples used for culture as well as culture protocol used in microbiological examination can influence the sensitivity of the method

    CARTOGRAPHIE ET CARACTÉRISTIQUES DES TRADI – PRATICIENS ET PHYTOTHÉRAPIE EN MÉDECINE TRADITIONELLE DANS LA VILLE DE LUBUMBASHI EN RDC

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    INTRODUCTION : Basée sur des connaissances ancestrales, la médecine traditionnelle s’est perpétuée jusqu’à nos jours chez les guérisseurs, uniquement par la transmission orale des connaissances et la pratique de l’art médical. Pour l’Africain, le concept originel de la nature inclut tout à la fois le monde matériel, l’environnement sociologique, vivant ou mort, ainsi que les forces métaphysiques de l’univers. Cette notion est fondamentale pour saisir la médecine traditionnelle africaine qui sous toutes ses formes, reflète un mode de vie, de pensée ou de culture suivant la facette de la civilisation africaine. Et les objectifs qui étaient d’explorer la cartographie et les caractéristiques des tradipraticiens de la médecine traditionnelle à Lubumbashi. MÉTHODES : Une étude de cas multiple a visée exploratoire a été menée auprès des tradipraticiens dans la ville de Lubumbashi, Province du haut Katanga en RDC. Trois mois d’immersion de contact avec l’association de la coordination des tradipraticiens pour comprendre le fonctionnement et le circuit de recrutement des tradipraticiens.  Une autorisation de recherche nous a permis de recenser les tradi – praticiens dans les différentes communes pour connaitre leur catégorie ou classification, mode d’acquisition, spécialisation, âge, sexe, niveau d’étude, année d’exercice dans le métier. L’analyse de contenu par thématique a permis de tirer les résultats dont le rapport a été approuvé par le programme nationale de médecine traditionnelle (PNMT /PM) et l’union nationale de guérisseur du Congo (UNAGECO) en sigle. RÉSULTATS : L’étude révèle que la Ville de Lubumbashi englobe plusieurs catégories de tradipraticiens, enregistrés au niveau du programme de la MTPM, de l’UNAGECO et le libérale. Leur nombre est de 1724 tradipraticiens dont 628 femmes (36 %) et 1096 hommes (64 %). Suivant leur classification, il y a 70 spiritualistes 4 %), 80 naturalistes  4,6%), 900 herboristes (52%), 509 ritualistes 29,5%), 81 phytothérapeutes 4,6%), 13 rebouteux (0,75%), 46 accoucheuses traditionnelles (2,6%) et 25 exorcistes (1,4%) avec, concernant leurs pratiques thérapeutiques, plusieurs modes d’acquisition des connaissances qui sont : l’inspiration dans 178 cas (10,32%), l’initiation dans 384 cas (22%), le rêve dans 69 cas (4%), la succession ou l’héritage dans 712 cas (41,2%) et enfin la formation dans122 cas (7 %). Quant à leur niveau d’instruction, 141 (8 %) sont sans niveau d’étude, 442 (25,6%) de niveau primaire, 913 (53 %) de niveau secondaire et 132 (7,7%) universitaires. Certains sont des généralistes et d’autres ont une spécialité particulière, avec un âge variant entre 26 et 75 ans, une expérience moyenne de 30 ans et un début d’exercice dans la profession s’étalant de 1987 à 2020. CONCLUSION : La MT est pratiquées par des personnes à profils très diversifiés. La MT est aussi en elle-même pratiquée sous diverses formes. Elle mérite une attention particulière pour bien savoir qui soigne et qui est soigné par qui, quand, où, pourquoi et comment, en vue de veiller au bien-être de la population.INTRODUCTION : Basée sur des connaissances ancestrales, la médecine traditionnelle s’est perpétuée jusqu’à nos jours chez les guérisseurs, uniquement par la transmission orale des connaissances et la pratique de l’art médical. Pour l’Africain, le concept originel de la nature inclut tout à la fois le monde matériel, l’environnement sociologique, vivant ou mort, ainsi que les forces métaphysiques de l’univers. Cette notion est fondamentale pour saisir la médecine traditionnelle africaine qui sous toutes ses formes, reflète un mode de vie, de pensée ou de culture suivant la facette de la civilisation africaine. Et les objectifs qui étaient d’explorer la cartographie et les caractéristiques des tradipraticiens de la médecine traditionnelle à Lubumbashi. MÉTHODES : Une étude de cas multiple a visée exploratoire a été menée auprès des tradipraticiens dans la ville de Lubumbashi, Province du haut Katanga en RDC. Trois mois d’immersion de contact avec l’association de la coordination des tradipraticiens pour comprendre le fonctionnement et le circuit de recrutement des tradipraticiens.  Une autorisation de recherche nous a permis de recenser les tradi – praticiens dans les différentes communes pour connaitre leur catégorie ou classification, mode d’acquisition, spécialisation, âge, sexe, niveau d’étude, année d’exercice dans le métier. L’analyse de contenu par thématique a permis de tirer les résultats dont le rapport a été approuvé par le programme nationale de médecine traditionnelle (PNMT /PM) et l’union nationale de guérisseur du Congo (UNAGECO) en sigle. RÉSULTATS : L’étude révèle que la Ville de Lubumbashi englobe plusieurs catégories de tradipraticiens, enregistrés au niveau du programme de la MTPM, de l’UNAGECO et le libérale. Leur nombre est de 1724 tradipraticiens dont 628 femmes (36 %) et 1096 hommes (64 %). Suivant leur classification, il y a 70 spiritualistes 4 %), 80 naturalistes  4,6%), 900 herboristes (52%), 509 ritualistes 29,5%), 81 phytothérapeutes 4,6%), 13 rebouteux (0,75%), 46 accoucheuses traditionnelles (2,6%) et 25 exorcistes (1,4%) avec, concernant leurs pratiques thérapeutiques, plusieurs modes d’acquisition des connaissances qui sont : l’inspiration dans 178 cas (10,32%), l’initiation dans 384 cas (22%), le rêve dans 69 cas (4%), la succession ou l’héritage dans 712 cas (41,2%) et enfin la formation dans122 cas (7 %). Quant à leur niveau d’instruction, 141 (8 %) sont sans niveau d’étude, 442 (25,6%) de niveau primaire, 913 (53 %) de niveau secondaire et 132 (7,7%) universitaires. Certains sont des généralistes et d’autres ont une spécialité particulière, avec un âge variant entre 26 et 75 ans, une expérience moyenne de 30 ans et un début d’exercice dans la profession s’étalant de 1987 à 2020. CONCLUSION : La MT est pratiquées par des personnes à profils très diversifiés. La MT est aussi en elle-même pratiquée sous diverses formes. Elle mérite une attention particulière pour bien savoir qui soigne et qui est soigné par qui, quand, où, pourquoi et comment, en vue de veiller au bien-être de la population

    CONTRIBUTION DE LA MÉDECINE TRADITIONNELLE À BASE DES PLANTES UTÉROTONIQUES À LA SANTÉ DE LA REPRODUCTION EN RDC

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    CONTEXTE : La Médecine Traditionnelle (MT) recourt notamment aux ressources naturelles disponibles, telles que les plantes, pour contribuer à la santé des populations. La richesse de la végétation représente un atout indéniable pouvant favoriser le développement de l’offre en soins de santé, surtout en milieu tropical. La présente note expose les résultats d’une étude ayant porté sur la contribution de la médecine traditionnelle à base des plantes utérotoniques à la santé de la reproduction dans la ville de Lubumbashi, RDC.MÉTHODES : Nous avons mené une étude ethnobotanique auprès d’un tradipraticien dans la formation sanitaire « Centre de Santé International Uchungu Wa Mwana » (CSIU), au Quartier Zambia, Commune Ruashi, Ville de Lubumbashi. Nous avons ainsi : observé le circuit thérapeutique et l’administration des soins, consulté les fiches et registres des malades, et participé à la récolte, l’identification et l’administration des préparations des plantes médicinales. Une fiche d’observation préalablement pré-testée a permis la collecte des données jusqu’à la saturation des informations recueillies. L’analyse de contenu par thématique a permis de tirer les résultats dont le rapport a été approuvé par le tradipraticien.RÉSULTATS : Le CSIUM organise différents services et reçoit divers cas de souffrance et utilise principalement les plantes Kyuvu, Mulolo, Musankati, Mulembalemba, respectivement pour faciliter l’accouchement, tonifier l’utérus, augmenter les contractions et dilater le col. Les malades apprécient l’efficacité du traitement reçu.CONCLUSION : Les plantes représentent des ressources naturelles contribuant au système des soins, dont l’organisation et la régulation de l’usage sont nécessaires pour le bien-être des populations, notamment en RDC.CONTEXTE : La Médecine Traditionnelle (MT) recourt notamment aux ressources naturelles disponibles, telles que les plantes, pour contribuer à la santé des populations. La richesse de la végétation représente un atout indéniable pouvant favoriser le développement de l’offre en soins de santé, surtout en milieu tropical. La présente note expose les résultats d’une étude ayant porté sur la contribution de la médecine traditionnelle à base des plantes utérotoniques à la santé de la reproduction dans la ville de Lubumbashi, RDC.MÉTHODES : Nous avons mené une étude ethnobotanique auprès d’un tradipraticien dans la formation sanitaire « Centre de Santé International Uchungu Wa Mwana » (CSIU), au Quartier Zambia, Commune Ruashi, Ville de Lubumbashi. Nous avons ainsi : observé le circuit thérapeutique et l’administration des soins, consulté les fiches et registres des malades, et participé à la récolte, l’identification et l’administration des préparations des plantes médicinales. Une fiche d’observation préalablement pré-testée a permis la collecte des données jusqu’à la saturation des informations recueillies. L’analyse de contenu par thématique a permis de tirer les résultats dont le rapport a été approuvé par le tradipraticien.RÉSULTATS : Le CSIUM organise différents services et reçoit divers cas de souffrance et utilise principalement les plantes Kyuvu, Mulolo, Musankati, Mulembalemba, respectivement pour faciliter l’accouchement, tonifier l’utérus, augmenter les contractions et dilater le col. Les malades apprécient l’efficacité du traitement reçu.CONCLUSION : Les plantes représentent des ressources naturelles contribuant au système des soins, dont l’organisation et la régulation de l’usage sont nécessaires pour le bien-être des populations, notamment en RDC

    Hydrological modeling of geophysical parameters of arboviral and protozoan disease vectors in Internally Displaced People camps in Gulu, Uganda

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    <p>Abstract</p> <p>Background</p> <p>The aim of this study was to determine if remotely sensed data and Digital Elevation Model (DEM) can test relationships between <it>Culex quinquefasciatus </it>and <it>Anopheles gambiae </it>s.l. larval habitats and environmental parameters within Internally Displaced People (IDP) campgrounds in Gulu, Uganda. A total of 65 georeferenced aquatic habitats in various IDP camps were studied to compare the larval abundance of <it>Cx. quinquefasciatus </it>and <it>An. gambiae </it>s.l. The aquatic habitat dataset were overlaid onto Land Use Land Cover (LULC) maps retrieved from Landsat imagery with 150 m × 150 m grid cells stratified by levels of drainage. The LULC change was estimated over a period of 14 years. Poisson regression analyses and Moran's <it>I </it>statistics were used to model relationships between larval abundance and environmental predictors. Individual larval habitat data were further evaluated in terms of their covariations with spatial autocorrelation by regressing them on candidate spatial filter eigenvectors. Multispectral QuickBird imagery classification and DEM-based GIS methods were generated to evaluate stream flow direction and accumulation for identification of immature <it>Cx. quinquefasciatus </it>and <it>An. gambiae </it>s.l. and abundance.</p> <p>Results</p> <p>The main LULC change in urban Gulu IDP camps was non-urban to urban, which included about 71.5 % of the land cover. The regression models indicate that counts of <it>An. gambiae </it>s.l. larvae were associated with shade while <it>Cx. quinquefasciatus </it>were associated with floating vegetation. Moran's <it>I </it>and the General G statistics for mosquito density by species and instars, identified significant clusters of high densities of <it>Anopheles</it>; larvae, however, <it>Culex </it>are not consistently clustered. A stepwise negative binomial regression decomposed the immature <it>An. gambiae </it>s.l. data into empirical orthogonal bases. The data suggest the presence of roughly 11% to 28 % redundant information in the larval count samples. The DEM suggest a positive correlation for <it>Culex </it>(0.24) while for <it>Anopheles </it>there was a negative correlation (-0.23) for a local model distance to stream.</p> <p>Conclusion</p> <p>These data demonstrate that optical remote sensing; geostatistics and DEMs can be used to identify parameters associated with <it>Culex </it>and <it>Anopheles </it>aquatic habitats.</p

    ETAT DE LIEU SUR LA PRATIQUE DE LA PHYTOTHÉRAPIE UTÉROTONIQUE ET MYORELAXANTE SUR LE COL UTÉRIN AU COURS DU TRAVAIL CHEZ LES GESTANTES À TERME (LA VILLE DE LUBUMBASHI RD CONGO 2014 – 2020)

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    CONTEXTE :  Le fort engouement pour la médecine par les plantes et les besoins en médicaments des pays en voie de développement, pays présentement confrontés au dilemme de la volonté manifeste d’améliorer les conditions socio sanitaires des populations avec des ressources précaires, ouvre des perspectives nouvelles à la médecine traditionnelle. Le présent travail expose les résultats d’une étude ayant porté sur l’Etat de lieu de la pratique de phytothérapie utérotonique et myorelaxante du col utérin chez les gestantes à terme sur la santé de la reproduction dans la ville de Lubumbashi, RDC. MÉTHODES : Etude descriptive transversale a été menée au « Centre de Santé International Uchungu Wa Mwana » Ville de Lubumbashi dans la Province du Haut – Katanga, RDC pendant 9 mois .Sur une population des accouchées, avec un échantillonnage exhaustif aléatoire simple, sur une période allant de 2014 à 2020 ou 7 ans, collecte des données réalisée grâce à un questionnaire et interview avec la technique documentaire. Données gérés sur base d’un logiciel Word et Excel pour le stockage et le traitement en Epi info 7.2.2.6 et Epi data 6 ; Considérations éthiques s’inscrit dans le respect strict des principes d’éthique de la recherche en santé en santé publique : RÉSULTATS : Durant 7 ans, la structure a reçu 2083 accouchées avec accouchement moyen pour les 7 ans est ± 298 par an/ provenant en majorité de toutes les communes de la Ville de Lubumbashi et dont 48,44 % de la Commune de la Ruashi et 27,87 %. Près d’un accouchement sur 10 était dystocique ; La majorité des enfants (92,69 %) étaient nés vivants et 7,31 % étaient des mort-nés pour une période de 7 ans. Parmi les accouchées, 216 (11,45 %) provenaient d’autres zones de santé (ou hors zone / HZ) et 351 (18,60 %) d’autres aires de santé de la Zone de santé de la Ruashi (HAS), tandis que 1320 (69,95 %) provenaient de l’aire de santé (AS) où se situe le CSIU. Le séjour moyen des accouchées tourne autour de 2 jours, l’écart-type de 1 jour, le séjour minimal des femmes est de 0 jour soit la femme sort le même jour de l’arrivé.  Sur les 2083 cas enregistrés, le plus faible coût est élevé à 15.000 FC, le montant le plus cher est de 150.000 FC, la moyenne des frais payés relèvent à 39.000 FC, et l’écart-type est de 150.000 FC. La somme du montant payé est de 74.331.500 CONCLUSION : L’Etat de lieu sur la pratique phytothérapie utérotonique et myorelaxante du col utérin chez les gestantes à terme nous révèle que la Médecine traditionnelle est effective dans la ville et plusieurs femmes y font recourt pour le bien-être de leurs enfants, notamment en RDC.CONTEXTE&nbsp;: &nbsp;Le fort engouement pour la médecine par les plantes et les besoins en médicaments des pays en voie de développement, pays présentement confrontés au dilemme de la volonté manifeste d’améliorer les conditions socio sanitaires des populations avec des ressources précaires, ouvre des perspectives nouvelles à la médecine traditionnelle. Le présent travail expose les résultats d’une étude ayant porté sur l’Etat de lieu de la pratique de phytothérapie utérotonique et myorelaxante du col utérin chez les gestantes à terme sur la santé de la reproduction dans la ville de Lubumbashi, RDC. MÉTHODES&nbsp;: Etude descriptive transversale a été menée au «&nbsp;Centre de Santé International Uchungu Wa Mwana&nbsp;» Ville de Lubumbashi dans la Province du Haut – Katanga, RDC pendant 9 mois .Sur une population des accouchées, avec un échantillonnage exhaustif aléatoire simple, sur une période allant de 2014 à 2020 ou 7 ans, collecte des données réalisée grâce à un questionnaire et interview avec la technique documentaire. Données gérés sur base d’un logiciel Word et Excel pour le stockage et le traitement&nbsp;en Epi info 7.2.2.6 et Epi data 6&nbsp;; Considérations éthiques&nbsp;s’inscrit dans le respect strict des principes d’éthique de la recherche en santé en&nbsp;santé publique&nbsp;: RÉSULTATS&nbsp;: Durant 7 ans, la structure a reçu 2083 accouchées avec accouchement moyen pour les 7 ans est ± 298 par an/ provenant en majorité de toutes les communes de la Ville de Lubumbashi et dont 48,44 % de la Commune de la Ruashi et 27,87 %. Près d’un accouchement sur 10 était dystocique&nbsp;; La majorité des enfants (92,69 %) étaient nés vivants et 7,31 % étaient des mort-nés pour une période de 7 ans. Parmi les accouchées, 216 (11,45 %) provenaient d’autres zones de santé (ou hors zone / HZ) et 351 (18,60 %) d’autres aires de santé de la Zone de santé de la Ruashi (HAS), tandis que 1320 (69,95 %) provenaient de l’aire de santé (AS) où se situe le CSIU. Le séjour moyen des accouchées tourne autour de 2 jours, l’écart-type de 1 jour, le séjour minimal des femmes est de 0 jour soit la femme sort le même jour de l’arrivé. &nbsp;Sur les 2083 cas enregistrés, le plus faible coût est élevé à 15.000 FC, le montant le plus cher est de 150.000 FC, la moyenne des frais payés relèvent à 39.000 FC, et l’écart-type est de 150.000 FC. La somme du montant payé est de 74.331.500 CONCLUSION&nbsp;: L’Etat de lieu sur la pratique phytothérapie utérotonique et myorelaxante du col utérin chez les gestantes à terme&nbsp;nous révèle que la Médecine traditionnelle est effective dans la ville et plusieurs femmes y font recourt pour le bien-être de leurs enfants, notamment en RDC

    Reconnaissance sampling and determination of hexavalent chromium in potentially-contaminated agricultural soils in Copperbelt Province, Zambia

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    The distribution of elemental species of chromium (Cr) in potentially-contaminated soil samples warrants investigation due to the differing mobilities and toxicities of trivalent [Cr(III)] and hexavalent chromium [(Cr(VI)]. In addition, the possibility of species interconversions requires the implementation of robust methods that can correct for changes at the point of sampling, extraction and analysis. This work presents the application of speciated isotope dilution mass spectrometry (SIDMS) to accurately quantify Cr(VI) in agricultural soils within close proximity to a mine tailings dam in the Copperbelt Province of Zambia. Interpolated plots of total Cr, produced from data collected through a nested sampling design, were used to optimise the sampling across the spatial domain. Extraction of Cr(VI) was undertaken using a microwave assisted reaction system (80 °C for 5 min) with 50 mM EDTA, to complex Cr(III) and reduce the likelihood of oxidation during the extraction. Isotopically-enriched 53Cr(VI) was added to each sample prior to extraction to account for species interconversions. The accuracy of the method was confirmed using NIST SRM 2700 and 2701. Cr(VI) concentrations in the soil samples ranged between 0.03 and 0.29 mg kg−1, significantly lower than the residential UK screening value for Cr(VI) of 21 mg kg−1. The data indicate that this site poses a low environmental/human health risk with respect to Cr(VI) exposure

    Changes in the total leukocyte and platelet counts in Papuan and non Papuan adults from northeast Papua infected with acute Plasmodium vivax or uncomplicated Plasmodium falciparum malaria

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    <p>Abstract</p> <p>Background</p> <p>There are limited data on the evolution of the leukocyte and platelet counts in malaria patients.</p> <p>Methods</p> <p>In a clinical trial of chloroquine vs. chloroquine plus doxycycline vs. doxycycline alone against <it>Plasmodium vivax </it>(n = 64) or <it>Plasmodium falciparum </it>(n = 98) malaria, the total white cell (WCC) and platelet (PLT) counts were measured on Days 0, 3, 7 and 28 in 57 indigenous Papuans with life long malaria exposure and 105 non Papuan immigrants from other parts of Indonesia with limited malaria exposure.</p> <p>Results</p> <p>The mean Day 0 WCC (n = 152) was 6.492 (range 2.1–13.4) × 10<sup>9</sup>/L and was significantly lower in the Papuans compared to the non Papuans: 5.77 × 10<sup>9</sup>/L vs. 6.86 × 10<sup>9</sup>/L, difference = -1.09 [(95% CI -0.42 to -1.79 × 10<sup>9</sup>/L), P = 0.0018]. 14 (9.2%) and 9 (5.9%) patients had leukopaenia (<4.0 × 10<sup>9</sup>/L) and leukocytosis (>10.0 × 10<sup>9</sup>/L), respectively. By Day 28, the mean WCC increased significantly (P = 0.0003) from 6.37 to 7.47 × 10<sup>9</sup>/L (73 paired values) and was similar between the two groups. Ethnicity was the only WCC explanatory factor and only on Day 0.</p> <p>The mean Day 0 platelet count (n = 151) was 113.0 (range 8.0–313.0) × 10<sup>9</sup>/L and rose significantly to 186.308 × 10<sup>9</sup>/L by Day 28 (P < 0.0001). There was a corresponding fall in patient proportions with thrombocytopaenia (<150 × 10<sup>9</sup>/L): 119/151 (78.81%) vs. 16/73 (21.92%, P < 0.00001). Papuan and non Papuan mean platelet counts were similar at all time points. Only malaria species on Day 0 was a significant platelet count explanatory factor. The mean D0 platelet counts were significantly lower (P = 0.025) in vivax (102.022 × 10<sup>9</sup>/L) vs. falciparum (122.125 × 10<sup>9</sup>/L) patients.</p> <p>Conclusion</p> <p>Changes in leukocytes and platelets were consistent with other malaria studies. The Papuan non Papuan difference in the mean Day 0 WCC was small but might be related to the difference in malaria exposure.</p

    The Society for Environmental Geochemistry and Health (SEGH): building for the future.

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    The challenges of sustainable development are ever more pressing, and the skills, interests and capabilities of the SEGH member are well-placed to continue to make more meaningful contributions to the environment, society and well-being. We reflect on the historical development of the society, its response to the dynamic international research landscape and the great opportunities ahead. In 2018, SEGH implemented a new board structure after 2–3 years of consultation, with approval of a new constitution and a new strategy across the large number of international board members. While regions were represented by sections in Europe, Asia/Pacific and the USA, the structure required renewal in order to be more representative of the distribution of members and website traffic that had evolved in preceding years. In addition, the society wanted to improve its position for future growth opportunities across rapidly developing regions
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