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    A Comparison of Shiga-Toxin 2 Bacteriophage from Classical Enterohemorrhagic Escherichia coli Serotypes and the German E. coli O104:H4 Outbreak Strain

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    Escherichia coli O104:H4 was associated with a severe foodborne disease outbreak originating in Germany in May 2011. More than 4000 illnesses and 50 deaths were reported. The outbreak strain was a typical enteroaggregative E. coli (EAEC) that acquired an antibiotic resistance plasmid and a Shiga-toxin 2 (Stx2)-encoding bacteriophage. Based on whole-genome phylogenies, the O104:H4 strain was most closely related to other EAEC strains; however, Stx2-bacteriophage are mobile, and do not necessarily share an evolutionary history with their bacterial host. In this study, we analyzed Stx2-bacteriophage from the E. coli O104:H4 outbreak isolates and compared them to all available Stx2-bacteriophage sequences. We also compared Stx2 production by an E. coli O104:H4 outbreak-associated isolate (ON-2011) to that of E. coli O157:H7 strains EDL933 and Sakai. Among the E. coli Stx2-phage sequences studied, that from O111:H- strain JB1-95 was most closely related phylogenetically to the Stx2-phage from the O104:H4 outbreak isolates. The phylogeny of most other Stx2-phage was largely concordant with their bacterial host genomes. Finally, O104:H4 strain ON-2011 produced less Stx2 than E. coli O157:H7 strains EDL933 and Sakai in culture; however, when mitomycin C was added, ON-2011 produced significantly more toxin than the E. coli O157:H7 strains. The Stx2-phage from the E. coli O104:H4 outbreak strain and the Stx2-phage from O111:H- strain JB1-95 likely share a common ancestor. Incongruence between the phylogenies of the Stx2-phage and their host genomes suggest the recent Stx2-phage acquisition by E. coli O104:H4. The increase in Stx2-production by ON-2011 following mitomycin C treatment may or may not be related to the high rates of hemolytic uremic syndrome associated with the German outbreak strain. Further studies are required to determine whether the elevated Stx2-production levels are due to bacteriophage or E. coli O104:H4 host related factors

    Des traces à l’électronique – Contribution de l’université de Limoges à la détection des rayonnements ionisants

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    Cette contribution décrit les objectifs, méthodes et résultats de plus de vingt années de recherches à l’Université de Limoges sur l’interaction rayonnement-matière. Les aspects fondamentaux et les applications à la détection et la dosimétrie sont abordés. D’autres sujets, tels que la modification des propriétés optiques des matériaux sous irradiation et les applications à l’optique intégrée ne sont que survolés. Sur le sujet de la détection des rayonnements, les auteurs partent de l’utilisation des polymères en tant de détecteurs pour aboutir à l’électronique intégrée. La conception des circuits intégrés silicium dédiés à la détection, la caractérisation et la dosimétrie des neutrons est décrite. On explique également comment la conception et la technologie du circuit intégré (capteur et électronique de traitement du signal) sont fortement dépendantes de l’interaction des neutrons. La nécessité d’associer une spectrométrie à la dosimétrie des neutrons est mise en évidence, et l’étude d’une solution globale basée sur un détecteur sandwich est détaillée car elle n’a jamais été publiée. Finalement, l’implication du laboratoire dans l’étude de la dissémination des radioéléments naturels en environnement liée aux activités passées des mines d’uranium est abordée. Le développement d’activités de mesure et d’expertise de radioactivité et de rayonnements nucléaires dans le cadre de la norme ISO 17025 et sous accréditation COFRAC est enfin décrit

    Evolution du capteur électronique pour la dosimétrie des neutrons développé au LEPOFI

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    La dosimétrie neutronique des personnels à l'aide de dispositifs électroniques est étudiée depuis quelques années. Ces dispositifs offrent un avantage majeur : l'obtention d'une réponse en temps réel. Après une étude de faisabilité d'un système à double diode, fondé sur l'utilisation de la méthode différentielle, le capteur (convertisseur de polyéthylène (CH2)n avec une implantation d'ions 10B et diode silicium) a été expérimenté dans divers champs de neutrons et modélisé afin de confirmer et compléter les mesures. La contribution des photons γ de ces champs de neutrons est la principale perturbation pour la détermination de la réponse aux neutrons. La sensibilité aux neutrons Sn est de 1 impulsion cm-2 µSv-1 pour les thermiques et sur la gamme d'énergie 1,5 - 5 MeV avec un seuil énergétique à 125 keV pour les particules secondaires détectées. Lorsque les équivalents de dose γ et neutron (équivalent de dose ambient H* (10)) deviennent du même ordre de grandeur, la perte de sensibilité Sn est d'autant plus grande que la composante du spectre neutronique en dessous de 500 keV est plus importante par rapport à celle au-dessus de cette énergie. La sensibilité aux photons γ (Sγ) est de l'ordre de 300 impulsions cm-2 µSv-1 avec un seuil de coupure à 130 keV. La modélisation du capteur a été effectuée avec un code Monte-Carlo (EGS4) pour les photons γ et un programme développé au laboratoire (PNEDIOD) pour les neutrons. Une structure adéquate utilisant tous les paramètres optimisés issus de la modélisation améliorerait la discrimination (n-γ) en divisant la sensibilité Sγ par 15. Le seuil de détection énergétique de notre système pour les neutrons serait alors inférieur à 200 keV
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