24 research outputs found

    Celles – Le Bois de Celles

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    Identifiant de l'opération archéologique : 113 Date de l'opération : 2005 (FP) Le site dit du tumulus de Celles pose, depuis sa date de découverte au tout début du XXe s. par l’archéologue cantalien Jean Pagès‑Allary, une série de questionnements qui touchent à : – la définition exacte de sa fonction ; – la chronologie précise d’occupation du site ; – la personnalité même, multiple, de l’inventeur du site, à la fois archéologue, industriel et amateur d’antiquités et objets d’art ; – au caract..

    Un nouvel atelier de potiers de la fin de l’âge du Fer découvert à Simorre (Gers)

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    Le site de la rue de Cassaët à Simorre (Gers) a été découvert de manière fortuite, en 2001, par Robert Abila (inrap), chez un particulier, à l’occasion du creusement d’une tranchée dans laquelle a été mise au jour une fosse dépotoir de la Tène finale. En mars 2002, une opération archéologique de sauvetage a permis d’assurer le décapage et le relevé des structures protohistoriques encore préservées sur la bande de terrain assiette des travaux d’extension de la cantine scolaire. Une série de fours a pu être étudiée ainsi qu’une succession d’aménagements connexes liés à l’activité quotidienne de l’atelier : fosse d’extraction d’argile, fosse dépotoir, foyer sur pierres chauffées. Des structures en creux ont également été fouillées : elles témoignent de l’aménagement de l’espace artisanal et permettent de confirmer la présence d’une installation pérenne de l’artisanat de la poterie sur le site de Simorre au début du Ier s. av. J.-C.The rue de Cassaët site at Simorre (Gers), was fortuitously discovered in 2001 by Robert Abila (INRAP), on private land. During the excavation of a trench, a La Tène deposit was brought to light. In March 2002, a rescue archaeological operation allowed the exposure and survey of this protohistoric site. The structures were still well preserved on the surface of an area where an extension of a school canteen was constructed. This work allowed us to study a series of ovens, as well as a sequence of features related to the daily activity of a workshop: a clay extraction pit, a dump, and a hearth on heated stones. Negative features were also excavated: they confirmed the installation of artisan spaces and allow us to confirm the presence of permanent potters' installations on the Simorre site of at the beginning of the first century BC

    Un nouvel atelier de potiers de la fin de l’âge du Fer découvert à Simorre (Gers)

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    Le site de la rue de Cassaët à Simorre (Gers) a été découvert de manière fortuite, en 2001, par Robert Abila (inrap), chez un particulier, à l’occasion du creusement d’une tranchée dans laquelle a été mise au jour une fosse dépotoir de la Tène finale. En mars 2002, une opération archéologique de sauvetage a permis d’assurer le décapage et le relevé des structures protohistoriques encore préservées sur la bande de terrain assiette des travaux d’extension de la cantine scolaire. Une série de fours a pu être étudiée ainsi qu’une succession d’aménagements connexes liés à l’activité quotidienne de l’atelier : fosse d’extraction d’argile, fosse dépotoir, foyer sur pierres chauffées. Des structures en creux ont également été fouillées : elles témoignent de l’aménagement de l’espace artisanal et permettent de confirmer la présence d’une installation pérenne de l’artisanat de la poterie sur le site de Simorre au début du Ier s. av. J.-C.The rue de Cassaët site at Simorre (Gers), was fortuitously discovered in 2001 by Robert Abila (INRAP), on private land. During the excavation of a trench, a La Tène deposit was brought to light. In March 2002, a rescue archaeological operation allowed the exposure and survey of this protohistoric site. The structures were still well preserved on the surface of an area where an extension of a school canteen was constructed. This work allowed us to study a series of ovens, as well as a sequence of features related to the daily activity of a workshop: a clay extraction pit, a dump, and a hearth on heated stones. Negative features were also excavated: they confirmed the installation of artisan spaces and allow us to confirm the presence of permanent potters' installations on the Simorre site of at the beginning of the first century BC

    J.-L. Brunaux et P. Méniel, La résidence aristocratique de Montmartin (Oise) du IIIe au IIe s. av. J.-C,

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    Izac-Imbert L. J.-L. Brunaux et P. Méniel, La résidence aristocratique de Montmartin (Oise) du IIIe au IIe s. av. J.-C,. In: Revue archéologique du Centre de la France, tome 37, 1998. pp. 240-242

    M.-O. Lavendhomme et V. Guichard, Rodumna (Roanne, Loire), le village gaulois

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    Izac-Imbert L. M.-O. Lavendhomme et V. Guichard, Rodumna (Roanne, Loire), le village gaulois. In: Revue archéologique du Centre de la France, tome 37, 1998. pp. 242-244

    M.-O. Lavendhomme et V. Guichard, Rodumna (Roanne, Loire), le village gaulois

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    Izac-Imbert L. M.-O. Lavendhomme et V. Guichard, Rodumna (Roanne, Loire), le village gaulois. In: Revue archéologique du Centre de la France, tome 37, 1998. pp. 242-244

    Les sites à enclos fossoyés de la fin de l’âge du Fer dans le Sud-Ouest de la France : un premier bilan

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    International audienceFor many years, the Late Iron Age research in the South West of France was essentially focused on the first Iron Age cemeteries and the oppida. New research works and discoveries like the sites of Les Vergnasses (Gours, Gironde) and Raspide (Blagnac, Haute-Garonne) or the sites of Le Bois de Dourre (Montalzat, Tarn-et-Garonne), Larsou (Réalville, Tarn-et-Garonne) and Al Claus (Tarn-et-Garonne) give now some first evidences about this type of rural settlements.Dans le Sud-Ouest de la France, la question des enclos fossoyés de la fin de l’âge du Fer a été peu abordée par la recherche protohistorique qui s’est longtemps focalisée sur le domaine funéraire pour le premier âge du Fer et sur la question des oppida pour la fin de l’âge du Fer. Cette thématique a toutefois connu, depuis une date récente, un important renouvellement induit par les résultats des opérations liées à l’archéologie préventive et la relance de nouveaux programmes de recherche. À partir de données issues de l’étude d’une série de sites dont Les Vergnasses (Gours, Gironde) et Raspide (Blagnac, Haute-Garonne), le Bois de Dourre (Montalzat, Tarn-et-Garonne), Larsou (Réalville, Tarn-et-Garonne) et Al Claus (Varen, Tarn-et-Garonne), on se propose de dresser un premier bilan des connaissances récemment acquises sur ces sites

    Les âges du Fer dans le Sud-Ouest de la France. Actes du XXVIII<sup>e</sup> colloque de l’AFEAF

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    International audienceSi l’AFEAF a déjà accueillie à deux reprises dans le Sud-Ouest de la France (Agen en 1992 et Conques en 1997), jamais encore ses colloques n’avaient abordé dans son ensemble cette aire géographique de plus de 86 000 km2 aujourd’hui couverte par les deux régions administratives d’Aquitaine et Midi-Pyrénées. Cette lacune est désormais comblée avec le XXVIIIe colloque de l’association, tenu à Toulouse en mai 2004 et dont le présent volume constitue les actes. Cette vaste région, très contrastée au plan de sa géographique physique, traversée par la Garonne de sa source dans les Pyrénées à l’estuaire de la Gironde, présente en effet de multiples intérêts pour l’étude des civilisations protohistoriques, du fait de sa population privilégiée au carrefour des grands ensembles culturels : méditerranéen, aquitain et « celtique » continental. Région ouverte par excellence, zone de brassages des cultures et des hommes, l’évolution des civilisations des deux âges du Fer s’y révèle complexe à suivre et à saisir dans ses différentes composantes. Les communications et posters réunis ici montrent la richesse de cette documentation et le dynamisme de la recherche actuelle. L’ensemble de l’âge du Fer y est représenté. Aux côtés des thématiques traditionnelles pour le Sud-Ouest (mais riches d’enseignements nouveaux tels que les pratiques funéraires du premier âge du Fer ou les oppida de la vallée de la Garonne...), le colloque de Toulouse aura été l’occasion de consacrer l’émergence du phénomène bien connu ailleurs en Gaule des établissements ruraux du second âge du Fer, mais jusqu’ici ignoré dans la région

    Religiosité et territorialité chez les Rutènes à la fin de l’âge du Fer

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    International audienceDuring the 2nd and 1st centuries BC, the diversity of places and religious offerings methods structure deeply the organization of the Ruthens territory and its area around. Six main practices bring out: stone statuary or wood statuary, probable sanctuary located on a high ground on northern mountainous foothills, including Saint-Andéol Lake where ex-votos are thrown in waters, « monetary treasures » from the west of Aveyron, iron ingots deposited and artefacts in stocking vessels, pits with offerings in town and finally sanctuary caves isolated on the limestone plateaux in the southwest quarter of the territory. The subterranean environment and mining areas take up a predominant place in these concerns.Au cours des IIe et Ier siècle av. J.-C., la diversité des lieux et des modes de dépôts à caractères religieux structure fortement l’organisation du territoire des Rutènes et de ses abords. Six grandes catégories de pratiques se dégagent : statuaire en pierre ou en bois, probables sanctuaires de hauteurs sur les contreforts montagneux septentrionaux, dont le lac de Saint-Andéol où des ex-votos sont précipités dans les eaux, « trésors » monétaires de l’ouest de l’Aveyron, dépôts de lingots de fer et en vases de stockage, cavités à offrandes en agglomérations et enfin grottes sanctuaires isolées sur les Causses du quart sud-est du territoire. Le milieu souterrain et les secteurs miniers occupent une place prépondérante dans ces préoccupations
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