52 research outputs found

    Induction of early Purkinje cell dendritic differentiation by thyroid hormone requires RORα

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    <p>Abstract</p> <p>Background</p> <p>The active form (T<sub>3</sub>) of thyroid hormone (TH) controls critical aspects of cerebellar development, such as migration of postmitotic neurons and terminal dendritic differentiation of Purkinje cells. The effects of T<sub>3 </sub>on early dendritic differentiation are poorly understood.</p> <p>Results</p> <p>In this study, we have analyzed the influence of T<sub>3 </sub>on the progression of the early steps of Purkinje cell dendritic differentiation in postnatal day 0 organotypic cerebellar cultures. These steps include, successively, regression of immature neuritic processes, a stellate cell stage, and the extension of several long and mature perisomatic protrusions before the growth of the ultimate dendritic tree. We also studied the involvement of RORα, a nuclear receptor controlling early Purkinje cell dendritic differentiation. We show that T<sub>3 </sub>treatment leads to an accelerated progression of the early steps of dendritic differentiation in culture, together with an increased expression of RORα (mRNA and protein) in both Purkinje cells and interneurons. Finally, we show that T<sub>3 </sub>failed to promote early dendritic differentiation in <it>staggerer </it>RORα-deficient Purkinje cells.</p> <p>Conclusions</p> <p>Our results demonstrate that T<sub>3 </sub>action on the early Purkinje cell dendritic differentiation process is mediated by RORα.</p

    Un système d'allocation universelle en Belgique?

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    info:eu-repo/semantics/publishe

    Particularités du traitement par antivitamines K chez le sujet agé hospitalisé (A propos de 98 observations)

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    Les antivitamines K sont prescrites chez des milliers de patients en France comme à l'étranger, et plus particulièrement chez les sujets agés. Elles le sont essentiellement pour les indications suivantes : la prévention d'accident thromboembolique artériel post fibrillation auriculaire, et le traitement des maladies thrombotiques veineuses. Le risque principal d'un traitement par antivitamine K est l'apparition de complications hémorragiques pouvant impliquer une hospitalisation. Notre étude s'est intéressée aux particularités du traitement par AVK, sa mise en route (posologie, surveillance) et ses complications hémorragiques chez le sujet agé. Pour ce travail nous avons étudié sans sélection préalable une population de patients sous antivitamine K, hospitalisés dans un service de médecine interne. Ils ont été classés en deux groupes d'âge, les patients de 65 ans et plus d'une part, les plus jeunes d'autre part. 13,26% des patients de notre étude étaient hospitalisés pour un surdosage ou une complication hémorragique du traitement. 28,5% des patients ont par ailleurs connu un épisode hémorragique, soit à l'origine de leur hospitalisation, soit au cours de celle-ci. Ces accidents semblent être plus fréquents chez les sujets agés, et plus encore en présence d'insuffisance rénale. L'utilisation du Sintrom est un facteur de risque important (p<0.005). Nous avons mis en évidence la nécessité de réduire la posologie initiale des antivitamines K, et d'améliorer la surveillance clinique, et biologique par l'intermédiaire de l'INR, du traitement. En pratique, il serait souhaitable d'utiliser des antivitamines K à demi-vie longue pour une plus grande stabilité de traitement, avec une posologie plus faible dès leur instauration afin de limiter les complications hémorragiques.PARIS7-Villemin (751102101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Chapelle de la Madone : Rapport de diagnostic : Menton, Alpes-Maritimes, Provence-Alpes-CĂ´te d'Azur

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    Un diagnostic archéologique a été réalisé d’octobre à décembre 2022 sur le site de la chapelle de la Madone à Menton, dans le cadre d’une demande volontaire de réalisation de diagnostic. Il a consisté en sondages sur le bâti en élévation de l’église, en sondages mécaniques dans les cours situées au nord et au sud de l’édifice, et en un nettoyage de quatre sondages réalisés en 2019 dans le cadre d’une recherche des fondations dans la première travée de l’église. Le diagnostic a permis de mettre en évidence une occupation sur le temps long, depuis au moins l’Antiquité. Les éléments de datation font généralement défaut, mais on peut identifier la présence de constructions antiques (dont un probable bassin). Une sépulture sous bâtière a été identifiée. Non fouillée, elle pourrait se rapporter à une large période, entre le IIIe et le VIIIe siècle. L’église est attestée depuis 1061, mais on ignore sa date de création. Le diagnostic n’a pas apporté d’éléments probants, ni sur la datation de l’édifice, ni sur sa position et son aspect originel. Des sépultures sont installées au nord (milieu Xe -début XIIe siècle), tandis qu’une construction, en partie appuyée sur les vestiges du bassin antique, se développe au sud (datation imprécise, premier Moyen Âge). Il est possible que ces éléments soient contemporains de l’église initiale. L’étude a permis de mettre en évidence diverses phases d’aménagement de l’église, en particulier la réfection des sols et de certains murs. Une construction repérée au nord pourrait correspondre au couvent fondé à la fin du XVe siècle. Elle sera ensuite remplacée par un nouvel édifice, dont trois ailes sont présentes dans l’emprise du diagnostic. Diverses constructions ont été repérées au sud de l’église. Mal datées, il n’est pas possible à ce stade de les rattacher à une phase d’occupation précise. Une sépulture est présente dans la nef de l’église. Elle est datée de l’extrême fin du XVe au milieu du XVIIe siècle. Deux autres sépultures ont été mises au jour à l’extérieur de l’église, contre le mur gouttereau sud. Elles sont attribuables à la fin de la période moderne ou la période contemporaine et correspondent peut-être à la présence des sœurs hospitalières de Saint-Augustin au début du XIXe siècle. Enfin, les restes d’une villa, construite à la fin du XIXe siècle, sont présents aussi bien dans le sous-sol qu’en élévation

    Chapelle de la Madone : Rapport de diagnostic : Menton, Alpes-Maritimes, Provence-Alpes-CĂ´te d'Azur

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    Un diagnostic archéologique a été réalisé d’octobre à décembre 2022 sur le site de la chapelle de la Madone à Menton, dans le cadre d’une demande volontaire de réalisation de diagnostic. Il a consisté en sondages sur le bâti en élévation de l’église, en sondages mécaniques dans les cours situées au nord et au sud de l’édifice, et en un nettoyage de quatre sondages réalisés en 2019 dans le cadre d’une recherche des fondations dans la première travée de l’église. Le diagnostic a permis de mettre en évidence une occupation sur le temps long, depuis au moins l’Antiquité. Les éléments de datation font généralement défaut, mais on peut identifier la présence de constructions antiques (dont un probable bassin). Une sépulture sous bâtière a été identifiée. Non fouillée, elle pourrait se rapporter à une large période, entre le IIIe et le VIIIe siècle. L’église est attestée depuis 1061, mais on ignore sa date de création. Le diagnostic n’a pas apporté d’éléments probants, ni sur la datation de l’édifice, ni sur sa position et son aspect originel. Des sépultures sont installées au nord (milieu Xe -début XIIe siècle), tandis qu’une construction, en partie appuyée sur les vestiges du bassin antique, se développe au sud (datation imprécise, premier Moyen Âge). Il est possible que ces éléments soient contemporains de l’église initiale. L’étude a permis de mettre en évidence diverses phases d’aménagement de l’église, en particulier la réfection des sols et de certains murs. Une construction repérée au nord pourrait correspondre au couvent fondé à la fin du XVe siècle. Elle sera ensuite remplacée par un nouvel édifice, dont trois ailes sont présentes dans l’emprise du diagnostic. Diverses constructions ont été repérées au sud de l’église. Mal datées, il n’est pas possible à ce stade de les rattacher à une phase d’occupation précise. Une sépulture est présente dans la nef de l’église. Elle est datée de l’extrême fin du XVe au milieu du XVIIe siècle. Deux autres sépultures ont été mises au jour à l’extérieur de l’église, contre le mur gouttereau sud. Elles sont attribuables à la fin de la période moderne ou la période contemporaine et correspondent peut-être à la présence des sœurs hospitalières de Saint-Augustin au début du XIXe siècle. Enfin, les restes d’une villa, construite à la fin du XIXe siècle, sont présents aussi bien dans le sous-sol qu’en élévation

    Clinical Experience

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