5 research outputs found

    Secteurs « néolithiques » et présence du groupe de Gord à Mer – « Les Portes de Chambord II » (Loir-et-Cher)

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    Le site de Le Vallier: des traces d'occupations et d'habitat du néolithique moyen (Villeneuve-Saint-Germain) entre Loire et Seine

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    National audienceMalgré un contexte délicat dû à la nature du substrat et à des structures plus récentes, la fouilledu site de “ Le Vallier Ouest ” (Mainvilliers, Eure-et-Loir) a livré des indices de la présence d’unhabitat daté du Néolithique ancien. Ces indices sont d’une part, des vestiges matériels (céramiqueset lithiques) attribuables de façon homogène à la fin du Villeneuve-Saint-Germain et d’autre partquelques structures en creux signalant l’emplacement de bâtiments ou de zones d’activités. Si lecorpus lithique possède une originalité concernant sa provenance et la proportion de lames,l‘ensemble de ces éléments et une étude tracéologique rendent bien compte d’une occupation àcaractère domestique qui ne peut être appréhendée complètement à cause de la mauvaise conser-vation du site. Ce site offre néanmoins de nouvelles clés pour appréhender l’expansion néolithiqueentre Loire et Seine

    Le site de Le Vallier: des traces d'occupations et d'habitat du néolithique moyen (Villeneuve-Saint-Germain) entre Loire et Seine

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    National audienceMalgré un contexte délicat dû à la nature du substrat et à des structures plus récentes, la fouilledu site de “ Le Vallier Ouest ” (Mainvilliers, Eure-et-Loir) a livré des indices de la présence d’unhabitat daté du Néolithique ancien. Ces indices sont d’une part, des vestiges matériels (céramiqueset lithiques) attribuables de façon homogène à la fin du Villeneuve-Saint-Germain et d’autre partquelques structures en creux signalant l’emplacement de bâtiments ou de zones d’activités. Si lecorpus lithique possède une originalité concernant sa provenance et la proportion de lames,l‘ensemble de ces éléments et une étude tracéologique rendent bien compte d’une occupation àcaractère domestique qui ne peut être appréhendée complètement à cause de la mauvaise conser-vation du site. Ce site offre néanmoins de nouvelles clés pour appréhender l’expansion néolithiqueentre Loire et Seine

    Occupations diachroniques sur le site de La Forgeais à Maillé. Volume 1.: Centre, Indre-et-Loire (37). LGV-SEA Maillé, La Forgeais

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    Le contexte géologique et topographique du site de La Forgeais, implanté sur les hautes terrasses alluviales de la Vienne, en pied de versant à faible pente et surplombant de quelques dizaines de centimètres à peine les zones d'affluences du Réveillon (dont le lit actuel s'écoule environ 300 m au nord), a favorisé la conservation d'une séquence sédimentaire incluant des occupations depuis le Mésolithique jusqu'au Moyen Âge.L'occupation mésolithique de la Forgeais reste assez fugace, signalée uniquement par la présence de très rares pièces lithiques, dont une armature géométrique et un micro-burin.Si les lieux semblent simplement fréquentés par les populations du Mésolithique, leurs lointains descendants, au Néolithique ancien, occupent de façon plus pérenne le site. Un bâtiment, fondé sur six poteaux, peut être rattaché à cette phase. Quelques foyers et un mobilier abondant complètent l'ensemble. Le site de la Forgeais est ensuite abandonné, avant de connaître des fréquentations plus ou moins soutenues successivement au Néolithique récent, au Néolithique final, au Bronze ancien et au Bronze moyen. Pour chacune de ces phases, la structuration de l'espace est plus complexe à saisir et repose sur l'examen détaillé de la répartition des mobiliers. Au nord du site se met progressivement en place une zone humide postérieurement aux occupations néolithiques.L'âge du Bronze final marque une reprise nette de l'occupation de la zone. Plusieurs grandes fosses se répartissent autour d'une concentration de près de 200 m², l'ensemble se fixant en bordure de la zone humide.La mise en place d'un vaste enclos quadrangulaire au début du Haut Empire constitue la première manifestation d'occupations antiques qui s'étaleront jusqu'à la fin du Ier siècle de notre ère. Le réseau de fossés, creusés en priorité dans la zone humide, témoigne d'une volonté de drainage du secteur. Plusieurs indices suggèrent la présence d'une ferme gallo-romaine. Un fossé courbe délimite les espaces externes et internes, des quartiers de bovidés sont jetés au fond de fosses, ainsi que des fragments de meules rotatives et un abondant mobilier céramique, de qualité.Entre les IIe et IVe siècles, le site semble de nouveau abandonné. Quelques restes céramiques et de tuiles témoignent de brefs passages durant l'Antiquité tardive, limités au quart sud-ouest de l'emprise de fouille. C'est sur la même zone que se superposent une concentration de matériel mérovingien et carolingien, un nouveau parcellaire dont l'orientation dévie de quelques degrés de la trame antique, et les restes d'un bâtiment. Celui-ci est implanté sur une nécropole carolingienne. Les sépultures, en pleine terre, sont alignées sur le parcellaire et déposées directement dans un fossé ou dans des fosses qui jouxtent ce dernier.À l'est de ces indices, le plan d'un vaste bâtiment sur poteaux de près de 120 m² a été topographié. Sa datation précise n'est pas assurée, mais il est postérieur aux occupations antiques. Il est tentant d'y voir une grange, ou étable, qui complèterait le parcellaire et la nécropole du Haut Moyen Âge. Tous ces témoignages marqueraient l'extension maximale, vers le nord, d'un site se développant dans l'emprise du site du Perrou 1
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