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    Cas historique de carcinome basocellulaire du nez

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    Le carcinome basocellulaire infiltrant est un carcinome mutilant de mauvais pronostic qui représente 40% des carcinomes de la pointe et l'aile du nez. Il s'agit de carcinome ulcéreux creusant de grands cratÚres nécrotiques qui finissent par envahir et effondrer les cavités nasosinusiennes et orbitaires ou perforer les os du crùne jusqu'aux méninges, ou détruire les vaisseaux du cou. Histologiquement, il est caractérisépar un aspect agressif avec une structure trabéculaire infiltrant faite des cellules souvent indifférenciées. La localisation au niveau du nez représente un réel challenge pour la prise en charge thérapeutique. Nous rapportons le cas d'une patiente de 67 ans, sans antécédents notables. Elle consultait pour une tumeur ulcéro-bourgeonnante croûteuse de contours perlés, au dépend de la pyramide nasale mettant à nu la muqueuse nasale. Cette tumeur évoluant depuis 10 ans était douloureuse et d'odeur nauséabonde. Les aires ganglionnaires étaient libres. L'histologie de la bordure de l'ulcération était en faveur d'un carcinome basocellulaire infiltrant. Une tomodensitométrie du massif facial a révélé un processus tumoral infiltrant avec envahissement du tissu sous-cutané adjacent et lyse osseuse (os propre du nez et maxillaire supérieur). Une chirurgie de réparation par lambeau de rotation frontonasal suivie par une radiothérapie étaient recommandées

    Cancer du sein chez l’homme: le dermatologue à quoi dire

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    Le cancer du sein chez l’homme est une affection rare qui reprĂ©sente 0,4 % Ă  1,2 % de tous les cancers masculins. Il est souvent dĂ©couvert Ă  un stade tardif malgrĂ© son siĂšge superficiel. Les manifestations cutanĂ©es semblent ĂȘtre plus frĂ©quentes et plus prĂ©coces chez l’homme que chez la femme. Il s’agit le plus souvent d’un nodule cutanĂ© fixe et indolore de siĂšge essentiellement rĂ©troarĂ©olaire. Les autres signes cliniques rĂ©vĂ©lateurs sont Ă  type d’écoulement mamelonnaire ou de modifications cutanĂ©es du mamelon Ă  type de rĂ©traction, ulcĂ©ration ou d‘eczĂ©matisation. Celles ci peuvent poser un problĂšme de diagnostic diffĂ©rentiel avec la maladie de Paget, la maladie de Bowen, le carcinome basocellulaire ou le mĂ©lanome. Tous les types histologiques rencontrĂ©s chez la femme sont dĂ©crits chez l’homme : le carcinome canalaire infiltrant reste le plus frĂ©quent. Les rĂ©cepteurs hormonaux Ă  la progestĂ©rone et aux oestrogĂšnes sont frĂ©quemment positifs que chez la femme avec des taux souvent Ă©levĂ©s. La chirurgie reste la base de traitement. Les inhibiteurs de l’aromatase, hormonothĂ©rapie antioestrogĂ©nique et/ou la polychimiothĂ©rapie sont utilisĂ©s comme des traitements adjuvants. Le pronostic reste encore rĂ©servĂ© Ă©tant donnĂ© son Ă©volution imprĂ©visible et son potentiel mĂ©tastatique Ă©levĂ©. Nous rapportons le cas d’un carcinome mammaire gauche chez un homme de 72 ans rĂ©vĂ©lĂ© par une ulcĂ©ration mamelonnaire gauche. L’écho-mammographie et l’étude histologique Ă©taient en faveur d’un carcinome canalaire infiltrant avec des mĂ©tastases cutanĂ©es. Un bilan d’extension rĂ©vĂ©lait des mĂ©tastases pulmonaires et osseuses. Le patient est dĂ©cĂ©dĂ© avant de commencer la premiĂšre cure de polychimoithĂ©rapie.Pan African Medical Journal 2015; 2

    MĂ©tastases cutanĂ©es d’un carcinome vulvaire

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    Les mĂ©tastases cutanĂ©es (MC) sont rares. Elles reprĂ©sentent gĂ©nĂ©ralement un stade Ă©volutif avancĂ© de la maladie cancĂ©reuse. BF, ĂągĂ©e de 64 ans, a Ă©tĂ© suivie pour un carcinome Ă©pidermoĂŻde vulvaire traitĂ© par vulvectomie totale, curage ganglionnaire bilatĂ©ral, radiothĂ©rapie externe et chimiothĂ©rapie. 6 ans aprĂšs le traitement, la patiente s'est prĂ©sentĂ©e avec de multiples nodules rouges, fermes, au niveau de l'abdomen et des membres infĂ©rieurs. La biopsie des lĂ©sions cutanĂ©es a Ă©tĂ© en faveur d'un carcinome Ă©pidermoĂŻde. L'origine des lĂ©sions cutanĂ©es a Ă©tĂ© attribuĂ©e Ă  la nĂ©oplasie vulvaire. Le traitement a consistĂ© en une chimiothĂ©rapie type CHOP. La patiente est dĂ©cĂ©dĂ©e dans un tableau de mĂ©tastases cĂ©rĂ©brales 9 mois aprĂšs le diagnostic. A la diffĂ©rence des mĂ©tastases viscĂ©rales, lymphonodales ou osseuses, Les MC sont peu frĂ©quentes (0,7 et 9% de toutes les mĂ©tastases) et leur identification prĂ©sage d'un mauvais pronostic. Elles peuvent ĂȘtre prĂ©coces et parfois rĂ©vĂ©latrices, concomitantes ou tardives. Elles se prĂ©sentent le plus souvent comme des nodules cutanĂ©s, parfois comme des lĂ©sions inflammatoires, cicatricielles ou bulleuses et rarement comme un granulome annulaire ou un ulcĂšre. Les MC peuvent soit reproduire l'aspect histologique de la tumeur primitive, soit former d'autres contingents, parfois plus indiffĂ©renciĂ©s. Chez la femme, le cancer de sein reprĂ©sente l'Ă©tiologie la plus frĂ©quente, suivi du colon, du mĂ©lanome, des ovaires et des poumons. Quant au cancer vulvaire, il est rarement mĂ©tastatique. Les MC sont de mauvais pronostic, prĂšs de la moitiĂ© des malades dĂ©cĂšdent dans les 6 mois suivant le diagnostic.Pan African Medical Journal 2015; 2

    Rhomboid glossitis caused by candida?

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    Rhomboid glossitis (RG), first described by Brocq in 1914, is an uncommon benign abnormality of the tongue, most frequently affecting men. His etiology is unknown, although it has been proposed that it may be derived from chronic candidiasis, or that it may be of embryological, inflammatory, or even immunological origin. It appears as a rounded or rhomboid painless plaque with well-defined margin, intense reddish or pinkish in colour due to atrophy or depapillation, and firm to palpation. The diagnosis of rhomboid glossitis is largely based on clinical examination, though histopathological studies of biopsies may be required if clinical appearance does not allow other possible diagnoses to be ruled out. No treatment is required for asymptomatic cases. We report a case of a female patient aged 24 years, consulted for a painless plaque in dorsum of the tongue. Clinical examination indicated an erythematous plaque, located anterior to the lingual "V" in left paramedial position, elongated and slightly fissured, about 2 x 0.5 cm in size. Candida culture tested positive. The lesion was thus diagnosed as RG with presence of C. albicans. Treatment was with fluconazole for 2 weeks at 50 mg per day. A complete disappearance of the lesion was noted. After 12 months follow-up, no recurrence was reported.Pan African Medical Journal 2016; 2

    Une mélanonychie suspecte révélant un syndrome de Laugier Hunziker

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    Le syndrome de Laugier Hunziker (SLH) est une affection rare, d'Ă©tiologie inconnue, dĂ©crite initialement en 1970 par Laugier et Hunziker. Elle touche les adultes de phototype clair avec une prĂ©dominance fĂ©minine. Ce syndrome est caractĂ©risĂ©par la prĂ©sence des macules lenticulaires, bien limitĂ©es, de couleur variable, siĂ©geant au niveau des lĂšvres et de la cavitĂ© buccale. L'atteinte unguĂ©ale se voit chez plus de 60% des cas. Trois types de pigmentation unguĂ©ale ont Ă©tĂ© dĂ©crits. Le signe de Hutchinson peut ĂȘtre positif posant le problĂšme de diagnostic diffĂ©rentiel avec un mĂ©lanome unguĂ©al, surtout lorsqu'il s'agit d'une atteinte monodactylique. Le SLH fait partie des pigmentations mĂ©laniques lenticulaires acquises et bĂ©nignes. Aucun cas de transformation maligne n'a Ă©tĂ© rapportĂ©. Le traitement est purement esthĂ©tique, le laser Nd-Yag reste la technique de choix,le risque de rĂ©cidive n'est pas nĂ©gligeable.Nous rapportons le cas d'une SLH rĂ©vĂ©lĂ©e par une mĂ©lanonychie longitudinale suspecte. L'Ă©tude dermoscopique et histologique de l'ongle ont permis d'Ă©liminer un mĂ©lanome. L'examen cutanĂ©o-muqueux a objectivĂ© des macules lenticulaires des lĂšvres, du menton et de la rĂ©gion pĂ©ri-anale. Une abstention thĂ©rapeutique a Ă©tĂ© dĂ©cidĂ©e associĂ©e Ă  une surveillance rĂ©guliĂšre de la patiente.Pan African Medical Journal 2015; 2

    Carcinome épidermoïde vulvaire : pourquoi surveiller un lichen scléro-atrophique

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    Le carcinome Ă©pidermoĂŻde (CE) de la vulve reprĂ©sente 3 Ă  5% des cancers gĂ©nitaux de la femme. Il peut survenir sur des lĂ©sions de dysplasies liĂ©es Ă  une infection Ă  papillomavirus ou sur des lĂ©sions de lichen sclĂ©reux. Cliniquement, il s'agit d'une ulcĂ©ration douloureuse ou prurigineuse suintante reposant sur un fond Ă©rythroplasique siĂ©geant au niveau de la face interne des grandes lĂšvres dans 40% des cas. Le caractĂšre superficiel de l'ulcĂ©ration peut ĂȘtre responsable d'un retard de consultation et de prise en charge. L'histologie permet la confirmation diagnostique en objectivant des kĂ©ratinocytes atypiques franchissant la membrane basale, regroupĂ©s en lobules centrĂ©s par des globes cornĂ©s. Le CE de la vulve est de mauvais pronostic avec un envahissement essentiellement ganglionnaire et locorĂ©gionale. Quant Ă  la prise en charge thĂ©rapeutique optimale, il n'y a pas de consensus. La chirurgie reste la pierre angulaire du traitement. La radiothĂ©rapie externe et la curiethĂ©rapie interstitielle gardent une place prĂ©pondĂ©rante dans l'arsenal thĂ©rapeutique. Nous rapportons le cas d'une femme de 34 ans, suivie depuis 5 ans pour un lichen sclĂ©roatrophique Ă  localisation vulvaire, qui consultait pour une tumeur ulcĂ©ro-bourgeonnante, bien limitĂ©e, de 3 cm de diamĂštre, Ă  localisation vulvaire. L'Ă©tude histologique Ă©tait en faveur d'un carcinome Ă©pidermoĂŻde. Un bilan d'extension n'a pas rĂ©vĂ©lĂ© de localisation secondaire. La recherche d'une infection sexuellement transmissible Ă©tait nĂ©gative. Une vulvectomie totale avec curage ganglionnaire inguinal bilatĂ©ral ont permis la guĂ©rison de la patiente sans rĂ©cidive ni de localisation secondaire avec recul de 18 mois.Pan African Medical Journal 2015; 2

    Carcinome épidermoïde vulvaire : pourquoi surveiller un lichen scléro-atrophique

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    Le carcinome Ă©pidermoĂŻde (CE) de la vulve reprĂ©sente 3 Ă  5% des cancers gĂ©nitaux de la femme. Il peut survenir sur des lĂ©sions de dysplasies liĂ©es Ă  une infection Ă  papillomavirus ou sur des lĂ©sions de lichen sclĂ©reux. Cliniquement, il s'agit d'une ulcĂ©ration douloureuse ou prurigineuse suintante reposant sur un fond Ă©rythroplasique siĂ©geant au niveau de la face interne des grandes lĂšvres dans 40% des cas. Le caractĂšre superficiel de l'ulcĂ©ration peut ĂȘtre responsable d'un retard de consultation et de prise en charge. L'histologie permet la confirmation diagnostique en objectivant des kĂ©ratinocytes atypiques franchissant la membrane basale, regroupĂ©s en lobules centrĂ©s par des globes cornĂ©s. Le CE de la vulve est de mauvais pronostic avec un envahissement essentiellement ganglionnaire et locorĂ©gionale. Quant Ă  la prise en charge thĂ©rapeutique optimale, il n'y a pas de consensus. La chirurgie reste la pierre angulaire du traitement. La radiothĂ©rapie externe et la curiethĂ©rapie interstitielle gardent une place prĂ©pondĂ©rante dans l'arsenal thĂ©rapeutique. Nous rapportons le cas d'une femme de 34 ans, suivie depuis 5 ans pour un lichen sclĂ©roatrophique Ă  localisation vulvaire, qui consultait pour une tumeur ulcĂ©ro-bourgeonnante, bien limitĂ©e, de 3 cm de diamĂštre, Ă  localisation vulvaire. L'Ă©tude histologique Ă©tait en faveur d'un carcinome Ă©pidermoĂŻde. Un bilan d'extension n'a pas rĂ©vĂ©lĂ© de localisation secondaire. La recherche d'une infection sexuellement transmissible Ă©tait nĂ©gative. Une vulvectomie totale avec curage ganglionnaire inguinal bilatĂ©ral ont permis la guĂ©rison de la patiente sans rĂ©cidive ni de localisation secondaire avec recul de 18 mois.Pan African Medical Journal 2015; 2

    Carcinome Ă  cellules de Merkel: Une nouvelle observation

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    Le carcinome Ă  cellules de Merkel (CCM) est une tumeur neuroendocrine trĂšs rare, de localisation cutanĂ©e primitive et d'Ă©volution trĂšs grave. Sur le plan clinique, il s'agit d'un nodule inflammatoire dermo-hypodermique dur, bien circonscrit, dont la taille moyenne est de 1 Ă  3 cm, localisĂ© sur les membres ou le visage. Des Ă©tudes rĂ©centes ont permis d'isoler un nouveau virus Ă©troitement associĂ© au CCM, dĂ©nommĂ© MCPyV. Ce virus, appartenant Ă  la famille des polymavirus, a suscitĂ© un regain d'intĂ©rĂȘt, tant pour le suivi et la prise en charge mĂ©dicale que du point de vue cognitif. Le traitement du CCM est mal dĂ©fini. La chirurgie reste le principal traitementaux stades localisĂ©s (stade I et II). La radiothĂ©rapie adjudante augmente de façon significative le taux de survie Ă  deux ans. Dans les formes mĂ©tastatiques, la chimiothĂ©rapie peut ĂȘtre utilisĂ©e comme un traitement palliatif. Par ailleurs, les thĂ©rapies ciblĂ©es restent l'espoir dans ces formes avancĂ©es. Nous rapportons le cas d'un homme de 93 ans, consultait pour un nodule angiomateux ferme de l'avant bras gauche (A) dont l'Ă©tude immuno-histologique a permis de retenir le diagnostic d'un CCM (B). Une chimiothĂ©rapie palliative Ă  base de Cisplatin Ă©tait indiquĂ©e. Le patient est dĂ©cĂ©dĂ© 8 mois aprĂšs le diagnostic du CCM.Pan African Medical Journal 2015; 2

    Nodule unique de la vulve: penser Ă  l’hidradĂ©nome papillifĂšre

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    L'hidradénome papillifÚre est une tumeur kystique bénigne de la glande apocrine. C'est une affection rare apparaissant chez la femme de 20 à 89 ans au niveau des grandes lÚvres et des régions périnéales et péri-anales. Cliniquement, il s'agit d'une papule ou nodule bien limité élastique, de couleur chaire, rose ou bleutée, parfois végétant et hémorragique ou pédiculé. Une association à une maladie de Paget extra-mammaire ou un adénocarcinome invasif a été décrite; ce qui impose une étude histologique permettant de confirmer le diagnostic, de rechercher les éventuelles pathologies associées et d'éliminer les autres diagnostics différentiels à savoir un kyste wolfien, une glande mammaire aberrante ou un carcinome épidermoïde. Le traitement de choix est l'exérÚse chirurgicale. Nous rapportons le cas d'une patiente de 65 ans, sans antécédents notables, qui a présenté depuis 8 mois un nodule vulvaire indolore, mesurant 1 cm de diamÚtre, mobile, de couleur rose. L'histologie a confirmé le diagnostic d'un hidradénome papillifÚre en objectivant une prolifération bien limitée, sous forme d'une cavité avec de nombreuses lumiÚres anastomosées, bordées par une couche de cellules cylindriques montrant une sécrétion apocrine apicale. Le diagnostic d'hidradénome papillifÚre a été retenu. La patiente a bénéficié d'une exérÚse complÚte de la tumeur. AprÚs deux ans de suivi, la patiente n'a pas présenté de récidive

    Le volvulus gastrique rĂ©vĂ©lĂ© par une hernie diaphragmatique a propos d’un cas avec revue de la littĂ©rature.

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    Le volvulus gastrique est une torsion anormale de l’estomac autour de l’un au moins de ses axes occasionnant une gĂšne Ă  sa vidange mais aussi Ă  sa vascularisation. Ainsi on distingue trois types anatomiques de volvulus gastrique : organo-axial, mĂ©sentĂ©rico-axial et mixte. C’est une pathologie rare mais certainement sous estimĂ©e car souvent mĂ©connue. A travers l’étude de ce cas clinique, nous nous proposons de faire une mise au point avec revue de la bibliographie sur le volvulus gastrique rĂ©vĂ©lĂ© par une hernie diaphragmatique chez un homme de 60 ans. Les manifestations cliniques sont peu spĂ©cifiques, associant des douleurs Ă©pigastriques, vomissements noirĂątres avec une impossibilitĂ© de poser une sonde nasogastrique. La radiographie standard du thorax permet de suspecter le diagnostic devant une anomalie de la position de l’estomac et la prĂ©sence d’un niveau hydro-aĂ©rique en intra-thoracique. Le TOGD permet un diagnostic prĂ©cis d’un volvulus mĂ©sentĂ©rico-axial de l’estomac confirmant son importance dans cette pathologie. La hernie diaphragmatique nous a paru ĂȘtre le facteur Ă©tiologique essentiel. Le traitement consiste en une dĂ©volvulation de l’estomac et une rĂ©duction dans l’abdomen de l’estomac, la rate et le colon transverse ainsi qu’une fermeture de la brĂšche diaphragmatique avec fixation de la grosse tubĂ©rositĂ© Ă  la partie antĂ©rieure du diaphragme. Le traitement ne peut ĂȘtre que chirurgical que ce soit par laparotomie ou par laparoscopie. Il doit ĂȘtre prĂ©coce avant l’installation de la nĂ©crose qui est grevĂ© d’une mortalitĂ© atteignant les 50 %. Hormis cette situation, le pronostic reste favorable
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