62 research outputs found

    The rate of X-ray-induced DNA double-strand break repair in the embryonic mouse brain is unaff ected by exposure to 50 Hz magnetic fi elds

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    Following in utero exposure to low dose radiation (10 – 200 mGy), we recently observed a linear induction of DNA double-strand breaks (DSB) and activation of apoptosis in the embryonic neuronal stem/progenitor cell compartment. No signifi cant induction of DSB or apoptosis was observed following exposure to magnetic fi elds (MF). In the present study, we exploited this in vivo system to examine whether exposure to MF before and after exposure to 100 mGy X-rays impacts upon DSB repair rates. Materials and methods : 53BP1 foci were quantifi ed following combined exposure to radiation and MF in the embryonic neuronal stem/progenitor cell compartment. Embryos were exposed in utero to 50 Hz MF at 300 m T for 3 h before and up to 9 h after exposure to 100 mGy X-rays. Controls included embryos exposed to MF or X-rays alone plus sham exposures. Results : Exposure to MF before and after 100 mGy X-rays did not impact upon the rate of DSB repair in the embryonic neuronal stem cell compartment compared to repair rates following radiation exposure alone. Conclusions : We conclude that in this sensitive system MF do not exert any signifi cant level of DNA damage and do not impede the repair of X-ray induced damage

    Propagation of Magnetic Fields from Electrical Domestic Appliances

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    The article presents a research into propagation of magnetic fields from electrical domestic devices. A safe distance at which magnetic induction does not exceed the background level is determined for each type of devices. It is proved that there are two stages of increasing magnetic induction as the distance from the source increases. At the first stage magnetic induction rises and electromagnetic field is formed. At the second stage exponential decrease of magnetic field induction takes place. Mathematical regularities of propagation of magnetic field from electrical domestic devices are experimentally educed

    Gaps in knowledge relevant to the “guidelines for limiting exposure to time-varying electric and magnetic fields (1 Hz-100 kHz)"

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    Sources of low-frequency fields are widely found in modern society. All wires or devices carrying or using electricity generate extremely low frequency (ELF) electric fields (EFs) and magnetic fields (MFs), but they decline rapidly with distance to the source. High magnetic flux densities are usually found in the vicinity of power lines and close to equipment using strong electrical currents, but can also be found in buildings with unbalanced return currents, or indoor transformer stations. For decades, epidemiological as well as experimental studies have addressed possible health effects of exposure to ELF-MFs. The main goal of ICNIRP is to protect people and the environment from detrimental exposure to all forms of non-ionizing radiation (NIR). To this end, ICNIRP provides advice and guidance by developing and disseminating exposure guidelines based on the available scientific research. Research in the low-frequency range began more than 40 years ago, and there is now a large body of literature available on which ICNIRP set its protection guidelines. A review of the literature has been carried out to identify possible relevant knowledge gaps, and the aim of this statement is to describe data gaps in research that would, if addressed, assist ICNIRP in further developing guidelines and setting revised recommendations on limiting exposure to electric and magnetic fields. It is articulated in two parts: the main document, which reviews the science related to LF data gaps, and the annex, which explains the methodology used to identify the data gaps

    ÉTUDE DES EFFETS BIOLOGIQUES DES CHAMPS ÉLECTROMAGNÉTIQUES NON INVASIFS

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    L'environnement électromagnétique, et donc l'exposition aux champs électromagnétiques, existe depuis toujours. En revanche, le nombre de sources d'exposition a augmenté de façon inégale au cours de l'histoire humaine. La source primaire principale et omni-présente est le champ magnétique statique terrestre, appelé champ géomagnétique. Sa valeur moyenne est de 50 µT. Dans l'Antiquité, le savant grec Thalès serait le premier à s'être intéressé à l'électricité, mais c'est à la fin du 18ème siècle et surtout au 19ème siècle que l'électricité artificielle fait son apparition et devient indispensable aux sociétés dites modernes. Les télécommunications se développent également à partir du 19ème siècle et trouvent une extension avec les nouvelles technologies de communication sans fil au siècle dernier. Des applications industrielles et médicales non invasives ont également été développées au cours des dernières décennies, comme l'imagerie par résonance magnétique (IRM), la stimulation magnétique transcrânienne et d'autres signaux électromagnétiques complexes. Au total, le nombre de sources d'exposition, généralement de faible puissance, ne cesse de croître et les développements technologiques se poursuivent, avec éventuellement de nouveaux usages qui peuvent parfois être à l'origine de nouveaux types d'exposition. L'évaluation des risques liés à l'exposition aux champs électromagnétiques date du 20ème siècle avec la notion de radioprotection et l'apparition des organismes dédiés à la radioprotection. Une distinction entre la radioprotection stricte (protection contre la radioactivité) et la protection contre les rayonnements non-ionisants ou champs électromagnétiques est intervenue dans les années 1960. En France, la Société Française de Radio Protection comporte une section " ionisant " et une section " non-ionisant ". Au plan international, à l'instar de la CIPR pour les rayonnements ionisants, l'ICNIRP est l'organisme qui propose les normes d'exposition aux rayonnements non-ionisants. Ces normes sont établies à partir de l'analyse collective des articles scientifiques parus dans des journaux à comité de lecture. C'est donc sur les connaissances scientifiques que se fait l'évaluation des risques liés à l'exposition aux champs électromagnétiques, et les propositions de limites d'exposition peuvent évoluer si les résultats des évaluations périodiques du risque le nécessitent. Cependant, le développement de nouvelles technologies et/ou de nouveaux usages, la question des faibles doses et des expositions à long terme ont généré une demande sociétale forte et incité les industriels et/ou les autorités à financer de nouvelles recherches. Classiquement en toxicologie, le risque caractérisé est directement lié à la " dose " de l'agent en cause et c'est le cas ici des champs électromagnétiques. Aussi, généralement, les pathologies associées se développent rapidement et apparaissent de façon aiguë, exception faite du cancer. Implicitement, des expositions à des intensités ou puissances faibles, comme celles générées par les nouvelles technologies de communication sans fil par exemple, ne peuvent pas générer ces manifestations physiopathologiques. Pourtant, avec la téléphonie mobile, force est de constater que l'on approche, pour la première fois, une source RF près du cerveau. En revanche, les techniques d'IRM évoluent vers l'utilisation de champs magnétiques statiques, intenses jusqu'à 11 teslas. Or, peu de recherches ont été menées avec des champs statiques aussi intenses. Des questions sanitaires légitimes se posent alors quant aux effets sanitaires liés aux nouvelles technologies utilisant des champs électromagnétiques, et la recherche fournit des éléments de réponse. Dans les années 1990, la thématique " santé-environnement " émerge avec, notamment, la question des enfants et leur possible plus grande sensibilité aux toxiques de l'environnement . Les champs électromagnétiques ne sont pas toujours cités dans ces documents. En 1996, l'Organisation Mondiale de la Santé (OMS) établit le Projet International pour l'étude des champs électromagnétiques (International EMF project). Ce projet se propose " d'évaluer les effets sanitaires et environnementaux provoqués par des champs électriques et magnétiques statiques ou variables dans les fréquences allant de 0 à 300 GHz ". Ainsi, l'OMS publie régulièrement des recommandations de recherche qui sont une référence incontournable pour les instituts de recherche. L'OMS justifie ce programme " au titre de sa Charte pour la protection de la santé publique et en réponse à la préoccupation suscitée par la possibilité d'effets sanitaires imputables à l'exposition à des sources de champs électromagnétiques ". Ainsi, des aspects sociétaux justifient également notre recherche. En parallèle, la notion de principe de précaution s'est développée jusqu'à l'inscription de la charte de l'environnement, et donc du Principe de Précaution, dans le préambule de la constitution française en 2005. Consacré dans le champ de la protection de l'environnement - il s'agit de ne pas attendre de disposer de toutes les certitudes scientifiques sur l'existence d'un risque de dommage grave et irréversible pour agir - ce principe demande " la mise en œuvre de procédures d'évaluation des risques " et la recherche doit être considérée comme un élément à part entière de ce principe. Je présente dans ce document mes activités de recherche depuis ma soutenance de thèse en 1997. Mes recherches incluent des études de confirmation et des études originales dans une approche toxicologique qui s'inscrit pleinement dans la démarche d'évaluation du risque. Le processus d'évaluation des risques est en effet un processus dynamique qui tient compte des nouvelles données scientifiques. Je contribue ainsi à l'évaluation du risque à la fois par mes recherches et par l'activité d'expertise que j'exerce en parallèle, laquelle vise à recenser et évaluer les données scientifiques disponibles. Ce document présente un rappel succinct de la notion de champs électromagnétiques et des mécanismes d'action pour les interactions avec le vivant, puis une synthèse des travaux réalisés en cinq sections : (i) Systèmes d'exposition, dosimétrie et expositions ; (ii) Études de confirmation d'effets biologiques des champs magnétiques et des champs RF ; (iii) Étude d'effets biologiques des champs RF ; (iv) Étude d'effets biologiques des champs magnétiques et (v) Expertise. Viennent ensuite mes perspectives de recherche, pour les quatre prochaines années

    Radiosensibilité comparative des cellules épithéliales de trachée de rats après irradiation alpha

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    La contamination interne par inhalation de radionucléides émetteurs alpha de haut TEL est le risque majeur de l'industrie nucléaire. Les cibles principales de la cancérogenèse pulmonaire sont les cellules épithéliales de l'appareil respiratoire. Une étude in vitro a été menée pour déterminer s'il existe une différence de radiosensibilité aux rayonnement alpha, des cellules épithéliales trachéales de deux souches de rats : Sprague Dawley et Wistar Furth-Fischer F344. Les cellules sont irradiées sédimentées au fond d'un puit spécifique à l'aide de sources électrodéposées de 241Am. L'évaluation de la survie cellulaire en fonction de la dose d'irradiation est complétée par un suivi cinétique de la formation et de la prolifération des colonies

    In Vitro

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