13 research outputs found
Étude Comparative des solutions logicielles pour l'analyse territoriale des indicateurs de bien-être
Grenoble : Laboratoire d'informatique de Grenoble, 2013. Rapport technique du Lig ; n° 041.L'effervescence dans les sciences économiques et sociales autour de l'élaboration d'indicateurs complexes du bien-être, alternatifs aux indicateurs de richesse dits classiques tel que le Produit Intérieur Brut (PIB) par habitant, implique le développement parallèle d'outils pour la construction et la visualisation de ces nouveaux indicateurs. Dans ce document, nous effectuerons une analyse critique des principaux outils actuellement disponibles pour l'analyse d'indicateurs du bien-être
Étude Comparative des solutions logicielles pour l'analyse territoriale des indicateurs de bien-être
Grenoble : Laboratoire d'informatique de Grenoble, 2013. Rapport technique du Lig ; n° 041.L'effervescence dans les sciences économiques et sociales autour de l'élaboration d'indicateurs complexes du bien-être, alternatifs aux indicateurs de richesse dits classiques tel que le Produit Intérieur Brut (PIB) par habitant, implique le développement parallèle d'outils pour la construction et la visualisation de ces nouveaux indicateurs. Dans ce document, nous effectuerons une analyse critique des principaux outils actuellement disponibles pour l'analyse d'indicateurs du bien-être
OF4OSM : a metamodel to semantically lift the OpenStreetMap folksonomy
Depuis les années 2000, les technologies du Web permettent aux utilisateurs de prendre part à la production de données : les internautes du Web 2.0 sont les nouveaux capteurs de l’information. Du côté de l’Information Géographique affluent de nombreux jeux de données en provenance de plates-formes de cartographie participative telles qu’OpenStreetMap (OSM) qui a largement impulsé le phénomène de la Géographique Participative (VGI). La communauté OSM représente aujourd’hui plus de deux millions de contributeurs qui alimentent une base de données géospatiales ouverte dont l’objet est de capturer une représentation du territoire mondial. Les éléments cartographiques qui découlent de ce déluge de VGI sont caractérisés par des tags. Les tags permettent une catégorisation simple et rapide du contenu des plates-formes de crowdsourcing qui inondent la toile. Cette approche est cependant un obstacle majeur pour le partage et la réutilisation de ces grands volumes d’information. En effet, ces ensembles de tags, ou folksonomies, sont des modèles de données beaucoup moins expressifs que les ontologies. Nous proposons un méta-modèle pour rapprocher la folksonomie et l’ontologie OSM afin de mieux exploiter la sémantique des données qui en sont issues, tout en préservant la flexibilité intrinsèque à l’utilisation de tags.Post-2000s web technologies have enabled users to engage in the information production process: Web 2.0 surfers are the new data sensors. Regarding Geographic Information (GI), large crowdsourced datasets emerge from the Volunteered Geographic Information (VGI) phenomenon through platforms such as OpenStreetMap (OSM). The latter involves more than two millions contributors who aim at mapping the world into an open geospatial database. This deluge of VGI consists of spatial features associated with tags describing their attributes which is typical of crowdsourced content categorization. However, this approach is also a major impediment to interoperability with other systems that could benefit from this huge amount of bottom-up data. Indeed, folksonomies are much less expressive data models than ontologies. We address the issue of loose OSM metadata by proposing a model for collaborative ontology engineering in order to semantically lift the data while preserving the flexible nature of the activity of tagging
OF4OSM : un méta-modèle pour structurer la folksonomie d'OpenStreetMap en une nouvelle ontologie
Post-2000s web technologies have enabled users to engage in the information production process: Web 2.0 surfers are the new data sensors. Regarding Geographic Information (GI), large crowdsourced datasets emerge from the Volunteered Geographic Information (VGI) phenomenon through platforms such as OpenStreetMap (OSM). The latter involves more than two millions contributors who aim at mapping the world into an open geospatial database. This deluge of VGI consists of spatial features associated with tags describing their attributes which is typical of crowdsourced content categorization. However, this approach is also a major impediment to interoperability with other systems that could benefit from this huge amount of bottom-up data. Indeed, folksonomies are much less expressive data models than ontologies. We address the issue of loose OSM metadata by proposing a model for collaborative ontology engineering in order to semantically lift the data while preserving the flexible nature of the activity of tagging.Depuis les années 2000, les technologies du Web permettent aux utilisateurs de prendre part à la production de données : les internautes du Web 2.0 sont les nouveaux capteurs de l’information. Du côté de l’Information Géographique affluent de nombreux jeux de données en provenance de plates-formes de cartographie participative telles qu’OpenStreetMap (OSM) qui a largement impulsé le phénomène de la Géographique Participative (VGI). La communauté OSM représente aujourd’hui plus de deux millions de contributeurs qui alimentent une base de données géospatiales ouverte dont l’objet est de capturer une représentation du territoire mondial. Les éléments cartographiques qui découlent de ce déluge de VGI sont caractérisés par des tags. Les tags permettent une catégorisation simple et rapide du contenu des plates-formes de crowdsourcing qui inondent la toile. Cette approche est cependant un obstacle majeur pour le partage et la réutilisation de ces grands volumes d’information. En effet, ces ensembles de tags, ou folksonomies, sont des modèles de données beaucoup moins expressifs que les ontologies. Nous proposons un méta-modèle pour rapprocher la folksonomie et l’ontologie OSM afin de mieux exploiter la sémantique des données qui en sont issues, tout en préservant la flexibilité intrinsèque à l’utilisation de tags
OF4OSM : un méta-modèle pour structurer la folksonomie d'OpenStreetMap en une nouvelle ontologie
Post-2000s web technologies have enabled users to engage in the information production process: Web 2.0 surfers are the new data sensors. Regarding Geographic Information (GI), large crowdsourced datasets emerge from the Volunteered Geographic Information (VGI) phenomenon through platforms such as OpenStreetMap (OSM). The latter involves more than two millions contributors who aim at mapping the world into an open geospatial database. This deluge of VGI consists of spatial features associated with tags describing their attributes which is typical of crowdsourced content categorization. However, this approach is also a major impediment to interoperability with other systems that could benefit from this huge amount of bottom-up data. Indeed, folksonomies are much less expressive data models than ontologies. We address the issue of loose OSM metadata by proposing a model for collaborative ontology engineering in order to semantically lift the data while preserving the flexible nature of the activity of tagging.Depuis les années 2000, les technologies du Web permettent aux utilisateurs de prendre part à la production de données : les internautes du Web 2.0 sont les nouveaux capteurs de l’information. Du côté de l’Information Géographique affluent de nombreux jeux de données en provenance de plates-formes de cartographie participative telles qu’OpenStreetMap (OSM) qui a largement impulsé le phénomène de la Géographique Participative (VGI). La communauté OSM représente aujourd’hui plus de deux millions de contributeurs qui alimentent une base de données géospatiales ouverte dont l’objet est de capturer une représentation du territoire mondial. Les éléments cartographiques qui découlent de ce déluge de VGI sont caractérisés par des tags. Les tags permettent une catégorisation simple et rapide du contenu des plates-formes de crowdsourcing qui inondent la toile. Cette approche est cependant un obstacle majeur pour le partage et la réutilisation de ces grands volumes d’information. En effet, ces ensembles de tags, ou folksonomies, sont des modèles de données beaucoup moins expressifs que les ontologies. Nous proposons un méta-modèle pour rapprocher la folksonomie et l’ontologie OSM afin de mieux exploiter la sémantique des données qui en sont issues, tout en préservant la flexibilité intrinsèque à l’utilisation de tags
Methods and tools for comparing municipal services with citizens’ expectations through open and volunteered data
International audienc
Un nouveau méta-modèle pour rapprocher la folksonomie et l’ontologie d’OSM
International audienc
Analyse territoriale du bien-être avec HyperAtlas
National audienceCet article aborde la problématique de la définition et de l'analyse d'indicateurs associés à la notion de bien-être durable. Nous en présentons tout d'abord le contexte et les enjeux. Ensuite, HyperAtlas, un outil générique d'analyse territoriale multiscalaire que nous avons développé, est confronté à l'existant en matière de solutions logicielles d'analyse territoriale, dont des outils spécifiques aux indicateurs de bien-être. L'objectif est d'identifier les verrous scientifiques et technologiques liés à une évolution d'HyperAtlas vers une version spécialement dédiée à la gestion et à l'analyse multi-échelle de ce type spécifique d'indicateurs
Capitalisation de l’information géo-historique dans le cadre de la Directive Inondation, Principes et développements de la Base de Données Historiques sur les Inondations (BDHI)
International audienc
OF4OSM - Un métamodèle pour structurer la folksonomie d’OSM en une nouvelle ontologie
International audiencePost-2000s web technologies have enabled users to engage in the information production process: Web 2.0 surfers are the new data sensors. Regarding Geographic Information (GI), large crowdsourced datasets emerge from the Volunteered Geographic Information (VGI) phenomenon through platforms such as OpenStreetMap (OSM). The latter involves more than two millions contributors who aim at mapping the world into an open geospatial database. This deluge of VGI consists of spatial features associated with tags describing their attributes which is typical of crowdsourced content categorization. However, this approach is also a major impediment to interoperability with other systems that could benefit from this huge amount of bottom-up data. Indeed, folksonomies are much less expressive data models than ontologies. In this paper, we address the issue of loose OSM metadata by proposing a metamodel for collaborative ontology engineering. This metamodel will help to semantically lift the OSM data while preserving the flexibility of the tagging activity.Depuis les années 2000, les technologies du web permettent aux utilisateurs de prendre part à la production de données : les internautes du web 2.0 sont les nouveaux capteurs de l’information. Du côté de l’information géographique affluent de nombreux jeux de données en provenance de plates-formes de cartographie participative telles qu’OpenStreetMap (OSM) qui a largement impulsé le phénomène de la géographique participative (VGI). La communauté OSM représente aujourd’hui plus de deux millions de contributeurs qui alimentent une base de données géospatiales ouverte dont l’objet est de capturer une représentation du territoire mondial. Les éléments cartographiques qui découlent de ce déluge de VGI sont caractérisés par des tags. Les tags permettent une catégorisation simple et rapide du contenu des plates-formes de crowdsourcing qui inondent la toile. Cette approche est cependant un obstacle majeur pour le partage et la réutilisation de ces grands volumes d’information. En effet, ces ensembles de tags, ou folksonomies, sont des modèles de données beaucoup moins expressifs que les ontologies. Dans cet article, nous proposons un métamodèle pour rapprocher la folksonomie et l’ontologie OSM afin de mieux exploiter la sémantique des données qui en sont issues, tout en préservant la flexibilité intrinsèque à l’utilisation de tags