15 research outputs found

    Utilisation du filet Ă  plancton du type Bongo en milieu cĂ´tier

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    Le filet Bongo est un filet à plancton américain dont l'utilisation se généralise pour les études de l'lchtyoplancton. Ses dimensions, son pouvoir de filtration et son rendement en  fait un engin performant pour la recherche des larves de poissons. Il est recommandé par l'I.G.N.A.F. groupe pré-recrutement du hareng et il le sera prochainement dans F.A.O. standard Techniques for Pelagic Fish Egg and Larva Sarveys. L' ISTPM utilise ce filet, depuis 1971 , dans de nombreuses campagnes à bord de la Thallassa, du Cryos, de la Pelagia , du Roselys et de Ichtys. En 1975, nous avons décidé d'utiliser ce filet dans des études côtières que l'ISTPM mène en Manohe et en Mer du Nord. Ces travaux ont pour but d'établir un inventaire halieutique qualitatif et quantitatif de l'ensemble des populations, tant larvaires qu'adultes, dans des zones qui sont appelées à être profondément modifiées soit par l'implantation de centrales thermiques éleotronucléaires à système de refroidissement ouvert , soit par l'implantation de diverses industries (extraction de sables et graviers par exemple ••• )

    Pearl oysters in French Polynesia

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    Rapport de mission Croatie. 13 juillet-27 juillet 1994

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    Objectif de la mission : Déterminer la faisabilité d'un programme bilatéral France-Croatie pour évaluer la capacité trophique de la baie de Mali-Ston pour l'élevage d'huîtres plates et de moules. Élaboration d'un  programme et acquisition sur le site des principaux paramètres physico-chimiques et trophiques de la baie de Mali-Ston

    Etude des potentialités conchylicoles du Pertuis Breton. Proposition d'étude. Suite aux réunions de la commission de contrôle des filières du 6 juin 1995 et du 10 avril 1996

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    Le développement de la mytiliculture dans un bassin conchylicole peut aboutir à la surexploitation du site avec des conséquences néfastes pour les populations en cours d'exploitation. Pour cette raison, il est particulièrement important de développer un plan d'aménagement de bassins tels que le Pertuis Breton considérant l'ensemble des utilisateurs de cet espace. A moyen terme, le développement d'un modèle mathématique est l'outil plus approprié pour tester et valider les différents schémas d'aménagement, permettant ainsi de limiter l'impact sur l'existant. Pour un tel modèle, une parfaite connaissance des caractéristiques biologiques et physico- chimiques du milieu est nécessaire. Au délà de la biomasse en élevage, sa répartition spatiale, ses besoins alimentaires, l'origine et la dynamique de la nourriture sont des paramètres essentiels à estimer. Pour atteindre cet objectif, de nombreux travaux, menés conjointement par les laboratoires IFREMER de l'Houmeau et de La Tremblade, sont effectués depuis 1991. Les stocks annuels de mollusques cultivés dans le Pertuis Breton ont été estimés à 16500 t pour les huîtres sur la côte nord de l'ïle de Ré, 1 100 t pour les moules sur filières et entre 10 000 et 15 000 t pour les moules de bouchot. Les besoins alimentaires des moules et des huîtres sont estimés à l'aide de modèles mathématiques qui traduisent le comportement physiologique des mollusques dans leur milieu. L'étude des facteurs contrôlant la production de nourriture pour les mollusques montre que cette production serait limitée par le manque de phosphore. Essentiellement fourni pour les amendements des terrains agricoles puis transporté par les rivières, le phosphore serait piégé dans les sols du marais poitevin. Jusqu'à présent, le phytoplancton était considéré comme la seule source de nourriture des mollusques, un modèle de production primaire du phytoplancton a donc été développé sur le Pertuis Breton. Cependant, à partir de la mise au point de la nouvelle technique d'investigation des isotopes . stables (Riera et al., 1996) ont mis en évidence que les huîtres du bassin de Marennes-Oléron se nourrissaient de microphytobenthos constitué de microalgues qui se développent à la surface du sédiment. Ce microphytobenthos peut être remis en suspension par les courants de marée et le clapot, et devenir ainsi accessible aux mollusques. Afin d'accroître la fiabilité de l'outil de gestion que sera le modèle général, un projet d'étude est proposé en deux phases successives réparties sur 1996-1997 et 1997-1998. Dans un premier temps (1996-1997). la nature de la nourriture consommée par les mollusques dans les différents sites conchylicoles du Pertuis Breton sera estimée à partir de la technique des isotopes stables. Cette étude nécessite trois campagnes d'échantillonnage réparties sur 6 mois, sur chacune des treize stations retenues. Dans un deuxième temps (1997-1998), le projet  portera sur la modélisation de l'écosystème mytilicole à partir de cette disponibilité des différentes sources de nourriture, évaluée en phase 1. Cette étude doit permettre la détermination précise des différentes sources de nourriture (mesures isotopiques) qui est essentielle pour l'évaluation de la capacité trophique d'un site conchylicole. étape nécessaire à tout schéma de développement. L'étude portera sur 13 sites afin de tenir compte de l'hétérogénéité spatiale observée au niveau du Pertuis Breton. Les campagnes d'évaluation des stocks de moules en élevage cultivées sur bouchots ou sur filières déterminent les besoins trophiques de ces populations. La quantification de cette nourriture sera réalisée à l'aide de modèles de production microphytobenthique et phytoplanctonique. Conditionnée par des facteurs physiques (e.g .. courant. vent. houle) la disponibilité de cette nourriture pour les bivalves sera évaluée à partir d'un modèle de remise en suspension. Les potentialités conchylicoles du Pertuis Breton seront quantifiées à partir de l'intégration de l'ensemble de ces informations dans un modèle analytique qui à terme pourra constituer un outil d'aide à la mise en place d'un schéma de développement de la conchyliculture dans l'ensemble du Pertuis Breton

    Les dosages de calcium : méthodes et intercalibrations

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    Les dosages du calcium dissous dans l'eau du bassin de Marennes-Oléron ont mis en évidence un déficit calcique supérieur à 30% en hiver. En mai, période de forte pousse de la coquille de l'huître, on a constaté en certain secteur du bassin que 70% du calcium est consommé. Le dosage du calcium s'est de plus révélé très utile pour dégrossir les problèmes de malformations de coquilles et pour les relier avec les défauts de calcifications et avec l'apparition de poches gélatineuses. C'est pour ces raisons que nous avons étudiés les différentes méthodes de dosages du calcium et organisé une intercalibration

    Conséquences de l'aménagement agricole des marais de la région Poitou-Charentes sur la qualité des eaux conchylicoles

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    La campagne d'essai 1985-86 a donné lieu à un suivi de la qualité des eaux dans des situations parcellaires très diversifiées, crées expérimentalement à cet effet. Elle permet de hiérarchiser les risques d'entrainement en particules et en solutés. Il apparait que la couverture prairiale pérenne limite tous les entraînements solides et solubles. De même la mise en culture est particulièrement sensible aux entraînements en particules. Dans tous les cas, les quantités exportées s'accroissent considérablement lorsque la stabilité structurale est faible. En outre le mode d'assainissement par rigoles et mise en ados est très nettement le plus sensible à l'érosion. Cependant il est possible, suivant des caractéristiques liées à la parcelle, de modéliser ces entraînements en fonction du débit.Le drainage enterré favorise les entraînements nitrique et phosphorique, notamment lorsque le fonctionnement hydraulique de la parcelle est satisfaisant. Compte tenu de la pratique agricole, les entraînements constatés concernent, pour l'essentiel, les reliquats du cycle cultural précédent.Par ailleurs, les tentatives d'acclimatation de coques comme organismes concentrateurs des solutés dans les eaux de drainage, ont abouti à des taux de survie satisfaisants

    Incidence de la diminution des débits de la Charente sur la production primaire du bassin de Marennes-Oléron - Compte rendu n° 1 sur l'état d'avancement des travaux - Avril 1986

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    Le suivi bi-mensuel des caractéristiques des eaux de l'estuaire de la Charente met en évidence les fortes teneurs en sels nutritifs transportés par ce fleuve. Les apports de fin d'hiver en nitrates sont supérieurs à 240 µ atg N 1(1). Le phosphore a un comportement particulier puisqu'en période de crue, il s'adsorbe sur les particules et le sédiment, jouant un effet régulateur, ainsi les aports ne dépassent guère 2 µ atg P 1(1) en hiver mais aussi en été. Les biomasses phytoplanctoniques vivantes ou dégénérescentes sont fortes avec deux périodes defflorescence bien marquées, mai-juin et octobre. Les teneurs en chlorophylle a atteignent è µg de chla pour la surface et 23 µgde chla pour le fond. Par ailleurs, les teneurs en phéopigments dépassent 31 µg de phéo en surface et 100 µg de phéo pour le fond. Cet estuaire est caractérisé par une turbidité très forte avec des charges en suspension supérieures au 1 gr 1(1) et exceptionnellement égales à 10 gr 1(1). Les fortes turbidités varient en fonction du coefficient de marée. Les marées de vives-eaux remettant en suspension le sédiment du fond et des berges environnantes. Par ailleurs, l'influence de la marée joue un rôle non négligeable sur la répartition des nutriments en effet si, en octobre, à basse mer de mortes eaux les teneurs en nitrates sont, par exple de 200 µ atg 1(1) N, la marée précédente de vives eaux, il ne sont que de 40 µ atg 1(1) N à la même station. Ainsi le volume supérieur à 30 millions de m3 qui entre dans l'estuaire à chaque marée, dilue et repousse ces éléments vers l'amont
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