10 research outputs found

    Homines fabri. Doppelheld und Parallelstruktur in Max Frischs Homo faber

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    The singular of the novel’s Latin title has not stopped suggesting —even to professional readers— that it refers to Walter Faber exclusively. Johanna Landsberg Piper’s pet name for him, Homo faber, seems to support that interpretation. The word homo, however, primarily meaning a human being, also includes Johanna in this case. She herself, like Walter, is indeed a homo faber, and responsible for her own fate. Consequently, the structure of Max Frisch’s novel is entirely modelled on the pattern of two equivalent protagonists, as this study tries to demonstrate in detail. Major narrative motifs, which have thus far been considered with regard to Walter only, are actually juxtaposed by analogous ones on Johanna’s part. Walter’s changing attitude towards the «American way of life», for example, has its counterpart in Johanna’s penchant for communism —appropriately enough for a novel written and set in the 1950’s. Yet rather than functioning representationally or typologically in the narrative, these motifs prove to be individually conditioned. In both cases, they ostentatiously originate in almost parallel traumatic experiences in the early youths of both Johanna and Walter: the girl’s humiliating defeat (as she perceives it) in the sexually connotative wrestling with her brother; and the boy’s rape by the moribund wife of his math teacher, respectively. The author has made sure that these incidents are positioned in marked and corresponding places according to their significance in the structure of the Homo faber

    Zeichen an der Wand. Marlen Haushofers Roman und seine Leser

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    Cette contribution tente d'esquisser, dans l'esprit de la thématique de ce numéro, certains modes de réception remarquables des lecteurs de langue allemande, universitaires ou non, durant les trente dernières années. Le roman le plus important de Marlen Haushofer, Die Wand (1963), constituera l'objet de notre démonstration. Mesuré à ce paradigme, l'hexamètre de Terentianus Maurus, communément abrégé en Allemagne, confirme toute sa pertinence (même après presque deux millénaires) : «pro captu lectoris habent sua fata libelli». Ce vers formule déjà, semble-t-il, le sens profond de la théorie de la réception qui s'affirme de plus en plus nettement au moment de la parution de l'œuvre autrichienne, sans toutefois qu'il faille perdre de vue la relativisation contenue dans le réflexe antique de « l'intelligence du lecteur ». C'est à ce genre de relativisation que pourrait conduire la comparaison entre les interprétations présentées ici de manière volontairement, d'un même texte (perspective de la guerre froide, du mouvement étudiant, du féminisme, de l'épque post-moderne, de l'après-socialisme), destinées à illustrer concrètement la théorie de la réception, dans la mesure où les éléments herméneutiques de l'historicité, ou même de la subjectivité n'ont pas été pris en considération dans leur « inaliénabilité ».Der Beitrag versucht im Sinne des Rahmenthemas dieses Heftes, hervorstechende Rezeptionsweisen des akademischen und nichtakademischen deutschsprachigen Lesepublikums während der letzten drei Jahrzehnte zu skizzieren. Demonstrationsobjekt ist Marlen Haushofers bedeutendster Roman, Die Wand (1963). An diesem Paradigma bestätigt sich noch nach fast zwei Jahrtausenden eindringlich die Gültigkeit des in Deutschland üblicherweise verkürzt zitierten Hexameters des Terentianus Maurus: «pro captu lectoris habent sua fata libelli». Der Vers formuliert bereits, scheint es, den Kern der um die Erscheinungszeit des österreichischen Werkes immer stärker hervortretenden Rezeptionstheorie, wobei allerdings der relativierende Einschlag im antiken Reflex auf das «Fassungsvermögen des Lesers» nicht übersehen werden sollte. Zu solcher Relativierung könnte der Vergleich zwischen den hier in konkreter Illustration der Rezeptionstheorie knapp präsentierten Deutungen desselben Textes (Prespektive des Kalten Krieges, der Studentenbewegung, des Feminismus, der Postmoderne, des Nach-Sozialismus) verleiten, sofern die hermeneutischen Elemente der Geschichtlichkeit bzw. Subjektivität in ihrer Unabdingbarkeit außer acht blieben

    Günter Eich : Nicht geführte Gespräche (1964). Ein Gedicht des Schweigens im Dialog (mit sich selbst)

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    Le poème Nicht geführte Gespräche, qui relève de la littérature hermétique, s’inscrit dans la tension paradoxale entre le chiffre, ce qui se ferme à la réception, et l’élan qui pousse de diverses manières à la communication. Comme le montre l’analyse détaillée du texte, le poème est engagé dans un dialogue, entre autres avec lui-même, au sens où il thématise et figure le silence dans l'acte de parole. Il est en dialogue avec son auteur et les théories qu’il représente, au sens où, considéré sous l’angle de l’évolution de l’œuvre de Eich et de l’histoire du lyrisme il est l’illustration poétique du dépassement de la poésie de la nature. Last but not least, il est en dialogue avec diverses Variantes du « consensus », y compris l’attitude de l’auteur lui-même, au sens où, de manière tout à la fois ouverte et cachée, il opère un règlement de comptes. C'est surtout avec les théories de Hegel que s'engage le dialogue critique, au sens où le poème, qui se place d'un point de vue en dernière instance kantien oppose au logocentrisme philosophique de Hegel l’autonomie et la non-conceptualité de l’art ; au sens aussi où il confronte sa conception épistémologique de l’équivalence entre perception et réalité, et donc de la possibilité d’une saisie adéquate de la réalité avec la subjectivité de l'aperception du monde. À ce propos, Eich, jouant ironiquement, au sens de Till l’Espiègle, de ce qu’il présente comme un anarchisme formel, se sert de la méthode dialectique de Hegel en articulant clairement son texte lyrique en trois phases. Cette critique trouve son prolongement dans la controverse qui s’engage avec le régime de la RDA (au fond hégélien de gauche), ses doctrines épistémologiques et esthétiques, ainsi que dans le message de solidarité à l’adresse de Peter Hüchel, le réprouvé, l’homme en désaccord avec ce système totalitaire. Enfin, les paradigmes de l’histoire de la réception permettront de montrer l’échec flagrant du dialogue critique avec le camp du marxisme « consensuel ».Als der hermetischen Literatur zugehöriges Gedicht befindet sich Nicht geführte Gespräche in der paradoxen Spannung zwischen dem Kryptischen, sich der Rezeption Verschließenden, und dem auf vielfältige Weise zur Kommunikation Drängenden. Das Gedicht steht – wie die Textanalyse detailliert nachweist – u.a. im Gespräch mit sich selbst, indem es im Sprechen das Nicht- Sprechen thematisiert und gestaltet. Es steht im Gespräch mit seinem Autor und dessen theoretischen Äußerungen, indem es dichtungsgeschichtlich-werkbiographisch gesehen die Überwindung von Eichs naturmagischer Position poetisch demonstriert. Es steht nicht zuletzt im Gespräch mit unterschiedlichen Positionen des ‘Einverständnisses’, auch der des Autors selbst, indem es versteckt und offen zugleich eine Abrechnung vollzieht. Ein kritisches Gespräch führt es vor allem mit Hegels Theorien, indem es aus letztlich Kantschem Geiste Hegels philosophischem Logozentrismus die Autonomie und Nichtbegrifflichkeit der Kunst entgegensetzt und Hegels erkenntnistheoretische Auffassung der Deckungsgleichheit von Wahrnehmung und Realität und damit der adäquaten Erfaßbarkeit von Wirklichkeit mit der jeweiligen Subjektivität der Welt-Apperzeption konfrontiert. Dabei bedient sich Eich im Sinne Eulenspiegels, ironisch kokettierend mit vorgeblichem formalem Anarchismus, in den drei klar proportionierten Sätzen des lyri- schen Textes Hegels dialektischer Methode. Eine Fortsetzung findet diese Kritik in der Auseinandersetzung mit dem (im Grunde linkshegelianischen) DDR-Regime und dessen Erkenntnis- und Kunsttheorie sowie in der Solidaritätsadresse an den verfemten Peter Hüchel als einen mit jenem totalitären System nicht Einverstandenen. Das krasse Mißlingen des kritischen Dialogs mit dem marxistisch-'einverständlichen' Lager läßt sich schließlich anhand von Paradigmen der Rezeptionsgeschichte des Gedichts nachweisen

    Homines fabri: doppelheld und Parallelstruktur in Max Frischs Homo faber

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    The singular of the novel¿s Latin title has not stopped suggesting ¿even to professional readers¿ that it refers to Walter Faber exclusively. Johanna Landsberg Piper¿s pet name for him, Homo faber, seems to support that interpretation. The word homo, however, primarily meaning a human being, also includes Johanna in this case. She herself, like Walter, is indeed a homo faber, and responsible for her own fate. Consequently, the structure of Max Frisch¿s novel is entirely modelled on the pattern of two equivalent protagonists, as this study tries to demonstrate in detail. Major narrative motifs, which have thus far been considered with regard to..

    Des Abenteurlichen Simplicissimi : Ewig-währende Calender /

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    Facsimile: Nürnberg: Wolf Eberhard Felssecker, 167
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