10 research outputs found

    Dépistage en médecine générale

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    Le dépistage, c'est la détection des pathologies potentiellement graves à un stade infraclinique afin d'en diminuer la mortalité, la morbidité et d'améliorer la qualité de vie du patient. Le consentement éclairé du patient est une des conditions préalables à tout acte de dépistage. Ce sujet tente d'aborder les atouts et les difficultés en médecine générale à l'intégration du dépistage dans sa pratique.ROUEN-BU Médecine-Pharmacie (765402102) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    La bronchiolite aiguë du nourrisson (de la Conférence de Consensus à la pratique)

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    L'objectif principal de ce travail était d'évaluer les pratiques concernant le traitement ambulatoire des bronchiolites aigües du nourrisson. L'objectif secondaire était de pouvoir mesurer ultérieurement l'impact de la Conférence de Consensus de 2000. L'étude réalisée est une enquête descriptive transversale adressée à tous les médecins généralistes du département de l'Eure, entre le 17 avril 2006 et le 15 juin 2006. 216 généralistes ont répondus, soit un total de participation de 58,4%. Les résultats obtenus sont relativement homogènes quant à la non-prescription d'examens complémentaires. En ce qui concerne la prescription des différentes thérapeutiques, on retrouve par ordre : kinésithérapie respiratoire 98,1%, bronchodilatateurs 66,2%, corticoïdes inhalés 43,9 %, fluidifiants 37,2%, corticoïdes per os 34,1%, antibiotiques 13,1%, anti-reflux 8,8% et antitussifs 1,6%. Le respect de la Conférence de Consensus n'est retrouvé que chez 15,3% des médecins généralistes. Pour expliquer ce résultat, il a été nécessaire de chercher les facteurs susceptibles d'influer sur l'observance des Recommandations.ROUEN-BU Médecine-Pharmacie (765402102) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Pourquoi le patient change-t-il de médecin généraliste

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    ROUEN-BU MĂ©decine-Pharmacie (765402102) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Prise en charge d'un patient victime d'un accident d'exposition sexuelle en médecine générale

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    Alors que l'on parle beaucoup actuellement de la recrudescence des maladies sexuellement transmissibles, les motifs de consultation concernant les accidents d'exposition sexuelle en médecine de ville restent peu fréquents. Comment le médecin généraliste doit-il prendre en charge ce type de patient ? Beaucoup de paramètres sont à prendre en compte. Prendre en charge le patient dans sa globalité, revient à gérer les problématiques bio-médicales et la situation de stress vécue par le patient. C'est également adopter une attitude de counseling, avoir un rôle de prévention et de coordination vis à vis des acteurs sociaux et de la santé. A travers la prise en charge des patients victimes d'un accident d'exposition sexuelle, la médecine générale prend toute sa dimension.ROUEN-BU Médecine-Pharmacie (765402102) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Internes en Médecine Générale au-delà des frontières

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    ROUEN-BU MĂ©decine-Pharmacie (765402102) / SudocSudocFranceF

    Eduquer le patient à l'automédication? (le regard des médecins généralistes dans l'Eure)

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    L'automédication est une réalité : elle représente 10% du marché total du médicament en France. Elle n'est pas sans dangers. Notre enquête consulte les médecins généralistes libéraux de l'Eure sur la possibilité d'une éducation de patients pour une automédication responsable. Le taux de réponse est élevé : 49,6% des médecins interrogés ont répondu à notre enquête. Bien que l'automédication inquiète (68,5% des médecins considèrent avoir actuellement un rôle d'alerte des dangers auprès de leurs patients), 83% des médecins répondants sont favorables à une éducation du patient à l'automédication et 86% sont favorables à l'implication de la médecine générale dans ce domaine. Leurs objectifs principaux sont : diminuer les consultations pour les pathologies bénignes (62,5%), autonomiser le patients (53,5%). Cependant en pratique, 49,5% des médecins déclarent informer ou éduquer moins de 30% de leur patients sur l'automédication. La barrière principale à l'invesitissement des médecins est le manque de temps (39%). De plus, 55,5% des médecins se considèrent insuffisamment formés sur le sujet. Les structures plébiscitées pour assurer cette formation sont : la faculté de médecine, plus souvent choisie par les médecins les plus jeunes (p= 0,001), et les organismes de FMC. Notre étude révèle les contradictions entre l'opinion majoritairement favorable des médecins généralistes à l'éducation du patient à l'automédication et leur pratique actuelle dans ce domaine. Des enquêtes complémentaires sont nécessaires : pour confirmer ces résulats au niveau national et auprès de l'ensemble des médecins. Pour consulter d'autres professionnels de santé (comme les pharmaciens ou les sage-femmes) sur ce thème, afin d'envisager des actions éducatives pluridisciplinaires.ROUEN-BU Médecine-Pharmacie (765402102) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Maintien à domicile après 75 ans, étude qualitative à Vernon (27) (le point de vue des médecins)

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    Le médecin généraliste est de plus en plus confronté aux difficultés de maintien à domicile des patients âgés de plus de 75 ans. Dans un contexte où le phénomène risque de s'amplifier du fait du vieillissement de la population, l'objet de cette thèse est d'analyser le point de vue des médecins concernant le maintien à domicile de leurs patients âgés sur Vernon (Eure). Une étude qualitative par entretiens semi-dirigés a été réalisée auprès de médecins généralistes vernonnais. Les deux axes de travail du questionnaire ont été l'évaluation de la connaissance des médecins sur le système en place et l'exploration des relations entre les structures et les professionnels. Ce travail s'inscrit dans un triptyque d'analyse du maintien à domicile à Vernon. 2 études complémentaires ont été menées en parallèle afin de recueillir le vécu des intervenants à domicile et des patients âgés. La préoccupation principale du médecin concerne la décision de maintien à domicile. Pour cela, il procède à une évaluation globale, non standardisée, de la personne âgée. Les difficultés rapportées par les médecins sont le manque de formation en matière de maintien à domicile de la personne âgée, la mauvaise connaissance du tissu social environnant, la charge de travail excessive, les difficultés administratives, le défaut de coordination avec l'hôpital, ainsi que le désinvestissement de plus en plus marqué des aidants naturels. Les sources de satisfaction concernent le Service de Soins Infirmiers A Domicile (SSIAD) en place sur la commune et la proximité géographique des services d'aides. La confrontation du point de vue des 3 travaux de recherche sur Vernon a mis en évidence l'absence de coordination entre les différents acteurs intervenants auprès du patient, la complexité et le manque de financement du système d'aides en place. Les axes à privilégier sont la formation du personnel intervenant à domicile, le travail de communication et d'information sur les aides et les structures disponibles sur le secteur, et le développement du SSIAD en place. La simplification du système d'aide avec la création d'un centre de coordination, ou le développement du Centre Local d'Information et de Coordination (CLIC) en place sur la commune, la création de places en accueil temporaire en établissement spécialisé et le développement d'un réseau de santé en concertation avec les médecins libéraux constituent des pistes de réflexion pour l'optimisation du système.ROUEN-BU Médecine-Pharmacie (765402102) / SudocSudocFranceF

    Maintien à domicile après 75 ans, étude qualitative à Vernon (27) (le point de vue des personnes âgées)

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    L'accroissement du nombre des personnes âgées et les orientations gouvernementales en faveur de la promotion d'un accompagnement à domicile plutôt que du développement de l'institutionnalisation mettent au centre des débats la problématique du maintien à domicile. Cette problématique doit intégrer en son sein les déterminants de chacun des acteurs enjeu. L'objet de cette thèse est d'étudier qualitativement le vécu des personnes âgées de plus de 75 ans et de leur entourage sur la commune de Vernon (Eure, 25000 habitants). Elle s'inscrit dans une étude globale, menée par 3 doctorants, sur l'analyse des points de vue des différents acteurs (la personne âgée et son entourage, le médecin généraliste et les intervenants à domicile). Les entretiens ont été réalisés, sur un mode semi directif, auprès de 13 personnes âgées et 6 aidants principaux. L'analyse des données obtenues apporte un éclairage sur la compréhension des besoins des personnes âgées, et les déterminants de la satisfaction des aides à domicile. Enfin, le croisement des résultats avec ceux des deux autres chercheurs engage des réflexions sur les thèmes de la pluralité du rôle du médecin généraliste, de l'évaluation des structures d'aide à domicile, des modes d'information et d'évaluation du système, ou encore de la problématique de la mort au domicile.ROUEN-BU Médecine-Pharmacie (765402102) / SudocSudocFranceF

    Evidence of prescription of antidepressants for non-psychiatric conditions in primary care: an analysis of guidelines and systematic reviews.

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    International audienceBACKGROUND: Antidepressants (ADs) are commonly prescribed in primary care and are mostly indicated for depression. According to the literature, they are now more frequently prescribed for health conditions other than psychiatric ones. Due to their many indications in a wide range of medical fields, assessing the appropriateness of AD prescription seems to be a challenge for GPs. The aim of this study was to review evidence from guidelines for antidepressant prescription for non-psychiatric conditions in Primary Care (PC) settings. METHODS: Data were retrieved from French, English and US guideline databases. Guidelines or reviews were eligible if keywords regarding 44 non-psychiatric conditions related to GPs' prescription of ADs were encountered. After excluding psychiatric and non-primary care conditions, the guidelines were checked for keywords related to AD use. The latest updated version of the guidelines was kept. Recent data was searched in the Cochrane Database of Systematic Reviews and in PubMed for updated reviews and randomized control trials (RCTs). RESULTS: Seventy-eight documents were retrieved and were used to assess the level of evidence of a potential benefit to prescribing an AD. For 15 conditions, there was a consensus that prescribing an AD was beneficial. For 5 others, ADs were seen as potentially beneficial. No proof of benefit was found for 15 conditions and proof of no benefit was found for the last 9. There were higher levels of evidence for pain conditions, (neuropathic pain, diabetic painful neuropathy, central neuropathic pain, migraine, tension-type headaches, and fibromyalgia) incontinence and irritable bowel syndrome. There were difficulties in summarizing the data, due to a lack of information on the level of evidence, and due to variations in efficacy between and among the various classes of ADs. CONCLUSIONS: Prescription of ADs was found to be beneficial for many non-psychiatric health conditions regularly encountered in PC settings. On the whole, the guidelines were heterogeneous, seemingly due to a lack of trials assessing the role of ADs in treatment strategies
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