38 research outputs found

    Quantification du virus respiratoire syncytial par RT-PCR en temps réel dans des aspirations nasales d'enfants hospitalisés

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    CAEN-BU Médecine pharmacie (141182102) / SudocLYON1-BU Santé (693882101) / SudocSudocFranceF

    Traitement et prévention contre le papillomavirus humain

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    L'infection par des gapillomavirus est une des infections sexuellement transmissibles les plus fréquentes dans la population générale. Ces virus ont pour cibles les kératinocytes où ils se multiplient. Le plus souvent, l'infection aboutit à des lésions bénignes dont la régression est souvent spontanée. Mais pour certains types de papillomavirus, il existe un risque d'évolution vers la malignité. L'association entre ces virus à ADN, connus depuis l'Antiquité, et le carcinome du col utérin a été démontré en 1999. Or, le cancer du col de l'utérus représente, aujourd'hui, au plan axe", le 2' cancer féminin. II n'existe pas de traitement curatif du HPV ce qui renforce l'impoctmcx des mesures pouvant prévenir les infections génitales par les papillomavirus. Afin d'éviter l'apparition de lésions chez la femme, deux vaccins prophylactiques ont étt mis au point. Ces vaccins sont dirigés contre les deux types de papillomavirus les plus fréquemment rencontrés, l'HPV 16 et 18, dans le cancer du col de l'utérus. Pour être efficace l'immunisation anti-HPV doit être acquise avant l'âge de 20 ans. Cependant la vaccination ne dispense pas d'une responsabilisation du comportement sexuel avec l'utilisation du préservatif, ce qui est la seule méthode qui protège contre toutes les infections sexuellement transmissibles et d'un dépistage régulier par le frottis cervico vaginal, car 1/4 des cancers sont dus à d'autres types d'HPV.ROUEN-BU Médecine-Pharmacie (765402102) / SudocSudocFranceF

    Mise en place des tests rapides d'orientation diagnostique du VIH au sein de l'association aides territoire d'action Normandie

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    La situation épidémiologique de l infection à virus de l immunodéficience humaine (VIH) reste encore peu satisfaisante en France. En 2010, ce sont encore 6 300 personnes qui ont découvert leur séropositivité, chiffre stable depuis 2007. Face à ce constat, les nouvelles recommandations ont préconisé l élargissement du dispositif de dépistage. L une des mesures prises concerne l offre d un dépistage communautaire, auprès des populations les plus exposées au risque d infection par le VIH, et au moyen des tests rapides d orientation diagnostique (TROD). L association AIDES territoire d action Normandie, après avoir reçu l habilitation à l utilisation de ces tests, a mené ses premières actions à partir d octobre 2011 en Haute-Normandie. Cette région est moins touchée par le VIH avec un taux de découverte de séropositivité deux fois plus faible que le niveau national. Notre travail a été de rendre compte de la mise en place des TROD au sein de l association. Le déploiement du dispositif des TROD au sein de l association a été progressif du fait d un certain nombre de difficultés rencontrées. Au cours de l année 2012, 358 personnes ont été dépistées, soit 30% des personnes qui ont été contactées par les militants (1214). La majorité était des HSH et des migrants. 32% des personnes dépistées n avaient jamais réalisé de test de dépistage auparavant. Le taux de résultats positifs sur l ensemble des tests est de 0,83%. La réalisation des tests n a pas posé de difficultés. Ces données indiquent que le dispositif des TROD permet d atteindre des populations exposées et qui recourent peu à l offre traditionnelle de dépistage. Les nouveaux objectifs sont de réduire la proportion de premiers tests réalisés et d amener les personnes à un dépistage plus fréquent.ROUEN-BU Médecine-Pharmacie (765402102) / SudocSudocFranceF

    Mise au point des techniques de quantification génomique des variants VIH-1 groupe O et VIH-2 (Applications in vitro et ex vitro)

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    Nous avons développé des PCR en temps réel qui quantifient l'ARN plasmatique des variants VIH-1 groupe O et VIH-2. Ces techniques ont été appliquées à l'étude des étapes précoces du cycle de multiplication du VIH-1 et du VIH-2. Nous avons rendu comparables entre elles les PCR grâce à la synthèse de plasmides contenant les fragments amplifiés lors des PCR VIH-1 et des PCR VIH-2. Nous avons ensuite quantifié l'ADN VIH total et les formes à 2LTR au cours de cinétiques d'infection. Les cinétiques montrent que VIH-2 produit moins d'ADN que VIH-1, traduisant une moindre efficacité du VIH-2 au niveau de l'entrée et/ou de transcription inverse. Nous notons aussi une production plus importante des formes à 2LTR lors de l'infection par VIH-2. La quantification de l'ADN total sur des cellules de patients infectés par VIH-1 ou VIH-2 et non traités confirme ces résultats : il existe une différence significative entre les charges virales ADN des patients ayant plus de 300 CD4/ l.We developed techniques of real time PCR which make it possible to quantify the plasmatic RNA and the DNA HIV of the variants HIV-1 group O anf HIV-2. We applied these techniques to the study of viral multiplication. To compare the early stages of the multiplication cycle of HIV-1 group M and HIV-2, we made the techniques of PCR comparable by synthesizing plasmids containing the fragments amplified during both PCR HIV-1 and PCR HIV-2. We quantified total HIV DNA and DNA circular forms with 2-LTR during kinetics of infection. The kinetics show that HIV-2 produces less DNA than HIV-1, which shows that HIV-2 is less effective during the entry and/or reserve transcription. We also note that the 2-LTR forms are more frequent in the case of HIV-2 infection. The quantification of total HIV DNA on samples coming from untreated patients infected by HIV-1 or HIV-2 confirms the in vitro results : there is a significant difference between DNA viral loads among patients having more than 300 CD4/ l.ROUEN-BU Sciences (764512102) / SudocSudocFranceF

    Actualités sur la varicelle et questions posées par la vaccination

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    Le virus de la varicelle et du zona (VZV) est un virus fragile, strictement humain, responsable de la varicelle lors de la primo infection, et du zona lors d'éventuelles réactivations. La varicelle est une maladie caractéristique de la petite enfance et reste dans la majorité des cas une maladie bénigne. Les complications les plus courantes rencontrées chez l'enfant sont des surinfection bactériennes cutanées. Les formes graves et les complications viscérales sont plus fréquentes chez l'adulte, la femme enceinte et les sujets immunodéprimés. Le diagniostic clinique est souvent évident, mais dans les cas d'antécédents douteux, chez les femmes enceintes et les sujets immunodéprimés, les techniques immunologiques sont utilisées pour établir le statut sérologique des patients. Le traitement des formes bénignes reste simple et se limite au traitement des symptômes et au suivi de quelques règles d'hygiène. Dans les formes graves l'utilisation d'antiviraux par voie intraveineuse et/ou d'immunoglobuline anti-VZV peut être envisagée. Depuis décembre 2003, deux vaccins contre la varicelle sont commercialisés en France. Contrairement aux Etats-Unis, où tous les enfants de 12 à 18 mois sont vaccinés depuis 1996, la France n'a pas choisi de généraliser cette vaccination. Des questions restent en effet posées quant à son impact à long terme. La vaccination reste ciblée, et n'est recommandée que pour quelques groupes de population bien définis par le conseil supérieur d'hygiène publique en France.ROUEN-BU Médecine-Pharmacie (765402102) / SudocSudocFranceF

    Une journée en immersion dans un laboratoire Covid-19

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    The conversationAlors que désormais chacun connaît la PCR comme outil de diagnostic de la COVID-19, savez-vous ce que signifie l’acronyme « PCR » ? Comment ce test fonctionne-t-il en pratique ?Cet article a pour objectif de vous ouvrir les portes d’un laboratoire dédié à la détection du SARS-CoV2, agent responsable de la COVID19. Vous découvrirez ainsi le quotidien, heure par heure, des équipes qui prennent en charge les prélèvements, réalisent chaque jour des centaines de PCR pour transmettre un résultat de diagnostic. Vous comprendrez le fonctionnement du test PCR et la coopération des nombreux acteurs de santé (préleveur, technicien de laboratoire, biologiste médical…) qui participent au défi que représente ce diagnostic.Ainsi la PCR SARS-CoV2 n’aura plus de secret pour vous
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