43 research outputs found

    Proteinase 3 mRNA expression is induced in monocytes but not in neutrophils of patients with cystic fibrosis

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    AbstractProteinase 3 (PR3), a serine proteinase which can degrade lung tissue, is present in the cystic fibrosis (CF) sputum. In the present study, PR3 protein and mRNA expression was determined in circulating neutrophils and monocytes. CF neutrophils contained similar PR3 concentrations as healthy controls and poorly expressed PR3 mRNA. In contrast, CF monocytes showed significantly higher PR3 concentrations than controls, together with an upregulation of PR3 mRNA expression especially during pulmonary exacerbation. Interestingly, antibiotic treatment fully abrogated PR3 mRNA expression and decreased PR3 protein in monocytes. Our findings highlight a potential role of monocyte-derived PR3 in CF-associated airway inflammation

    Information scientifique en matière médicale

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    Grimfeld Alain. Information scientifique en matière médicale. In: Raison présente, n°188, 4e trimestre 2013. Croyance et connaissance. pp. 43-49

    Opinion of the committee for prevention and precaution about the precautionary principle

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    International audienceThe precautionary principle has been the subject of a heated debate in recent months in France, not least because it was mentioned in the Environmental Charter discussed by the French Parliament in 2005, and included in the French constitution. In this context, the French Committee for Prevention and Precaution has issued a position paper-presented hereafter-in order to remind legislators and the public of the essential rationale of the precautionary principle, as the committee conceives it. The Committee for Prevention and Precaution (CPP) is an advisory body to the French Ministry of the Environment (now Ministry of Ecology and Sustainable Development), which was created by a Ministerial Decree on 30 July 1996 with the aim of contributing to giving sound foundations to the Ministry's policies in matters related to risk prevention and precaution; detecting, and providing warning and expertise on health issues related to disruptions in the environment; and creating a linkage between scientific research and knowledge on one hand, and regulatory action on the other. Its operational resources are provided by the Ministry's Department of Economic Studies and Environmental Assessment. The CPP is comprised of 19 scientific experts from the field of health and environment, and chaired by Professor Alain Grimfeld

    Asthme : dépistage et prévention chez l'enfant

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    Les manifestations allergiques, l’asthme en particulier, sont de plus en plusfréquentes dans tous les pays industrialisés. Il faut également remarquer quenon seulement la prévalence mais aussi la sévérité de l’asthme se sont fortementaccrues au cours des dernières années. Plusieurs études effectuées àtravers le monde montrent que, depuis 1960, la fréquence de l’asthme s’accroîtd’environ 6 % à 10 % par an chez l’enfant, quels que soient le pays ou l’ethnieétudiés. Elle est la première maladie chronique de l’enfant dans les paysdéveloppés. Cette augmentation ne semble pas procéder d’une modificationdes moyens de diagnostic ou d’une meilleure connaissance de l’affection.Si la prise en charge de l’asthme a nettement progressé depuis une vingtained’années, du fait d’une meilleure connaissance des mécanismes physiopathologiquesde la maladie et de l’arrivée sur le marché de nouvelles thérapeutiques,il reste cependant essentiel d’appréhender les facteurs à l’origine de saprogression foudroyante.Les facteurs à l’origine des maladies allergiques, et de l’asthme en particulier,sont de deux ordres, génétiques et environnementaux, d’importantes interactionsexistant entre eux. Si un certain nombre de gènes candidats pourl’immunopathologie de l’asthme sont en cours d’identification, des modificationsde ces gènes ne peuvent constituer une explication cohérente pourrendre compte de l’augmentation de la prévalence de l’asthme observée cesvingt dernières années. Les facteurs environnementaux apparaissent commel’explication la plus plausible : la pollution de l’air et les modifications dumode de vie, d’une part, la disparition de facteurs de résistance (infections aucours de la petite enfance), d’autre part, sont en première ligne des responsablespossibles.L’asthme est défini comme une obstruction bronchique réversible, spontanémentou sous l’effet de traitements bronchodilatateurs. Sur le plan physiopathologique,l’asthme est caractérisé par une inflammation de la muqueusebronchique. Cette inflammation est constante, plus ou moins importanteselon le stade de gravité de la maladie.La prise en charge des asthmatiques a largement bénéficié d’une meilleurecompréhension des mécanismes physiopathologiques impliqués dans le développementde la maladie. Cette meilleure connaissance a permis d’élaborerune stratégie thérapeutique cohérente et de proposer des schémas de traitementsappropriés aux différentes formes d’asthme.Cependant, si nous avons largement progressé dans la compréhension del’histoire naturelle et la prise en charge de l’asthme, il n’existe pas encore de traitement curateur de la maladie. C’est dire l’importance des mesures préventives,qui reposent avant tout sur l’éducation des patients, mais aussi desmédecins. La prévention primaire implique un processus dans lequel l’interventionprécède le développement de la maladie. La prévention secondaire apour objectif de prévenir le développement de la maladie chez un sujetprédisposé, par exemple atopique. Pour les patients chez qui le diagnosticd’asthme a été posé, la prévention tertiaire consiste en une modification del’environnement et la prescription d’un traitement pharmacologique adapté.Ce document constitue une bonne synthèse des travaux les plus représentatifsen épidémiologie, physiopathologie et clinique. Il indique les principalesrecommandations en prévention et éducation à la santé, à l’intention desdifférents acteurs impliqués dans la prise en charge de cette pathologie, etpropose quelques pistes de recherche qui mériteraient d’être développées

    Etude comparative sur les performances et l'ergonomie de nébuliseurs dans la mucoviscidose

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    National audienceThis study had, as its aim, to lest twelve nebulizers (6 jet, 6 ultrasonic) which are used in the treatment of cystic fibrosis. Devices were connected to a respirator in order to mimic the Ventilation of a child and of an adult suffering from cystis fibrosis. Three medications : tobramycine, colistine and amiloride were nebulised. The volume of the recommended solution varied between 1.5 and 13 ml according to the manufacturer. During a Session of ten minutes the ultrasonic nebulizer delivered an inhaled volume which was significantly greater than the jet (2.72+-0.98 ml vs 1.22+-0.59 ml, p <0.0001) for the three drugs. Regarding granulometry, the fraction of particles between 0.5 and 5 um, was higher with ultrasonic than with pneumatic nebulizer for tobramycine (67.1+-10.7 vs 55.5+-]1.5 %. p <0.001) and amiloride (66.4+-S1.2 % vs 58. l +-15%, p <0.05 %). The Variation of concentration due to nebulisation were independent of the type of apparatus but influenced by the drug since concentration was increased for tobramycine (+10.5+-18.6 %) and amiloride (+13.4+-8/9 %). In summary the effective fraction resulting from the inhalable fraction, from granulometry and from changes in concentration was significantly greater for ultrasonic than for jet nebrulizer (17.3+-6.7 % vs 9.7+-9.6 %, p <0.001). This study underlines the great variability of the performance of aerosols generators and therefore the need for an accurate evaluation of nebulizer performances in order to prescribe the best nebulizer/drug association in clinical practice.Cette étude avait pour but de tester douze appareils d'aérosols (six pneumatiques, six ultrasoniques) utilisés dans le traitement de la mucoviscidose. Les appareils étaient connectés à un respirateur afin de simuler la ventilation d'un enfant et d'un adulte atteints de mucoviscidose. Trois médicaments : tobramycine, colistine, amiloride étaient nébulisés. Les volumes de solution préconisés variaient entre 1,5 et 13 ml selon les fabricants. Au cours d'une séance de 10 min, les nébuliseurs ultrasoniques délivrent un volume inhalable significativement plus important que les pneumatiques (2.72+-0.98 ml vs l.22-t0,59 ml, p <0.0001) pour les trois médicaments. La fraction déposable, c'est-à-dire avec une granulométrie comprise entre 0,5 et 5 µm, est plus élevée avec les ultrasoniques qu'avec les pneumatiques pour la tobramycine (67.1+-10,7 % vs 55.5+-11.5 %, p <0,001) et l'amiloride (66.4+-9.2 % vs 58.1+-15 %, p <0,05 %). Les variations de concentration dues à la nébulisation sont indépendantes du type d'appareil, mais influencées par le médicament : augmentation de concentration pour la tobramycine (+!0,5+-I8,6 %) et l'amiloride (+13,4+-8,9 %). Au total, la fraction efficace qui résulte à la fois de la fraction inhalable, de sa granulométrie et des variations de concentration est significativement supérieure pour les ultrasoniques que pour les pneumatiques (17.3+-6,7 % vs 9,7+-9.6 %, p <0,001). Cette étude souligne la grande variabilité des performances des appareils d'aérosols, ainsi que la nécessite d'avoir des tests fiables avant l'utilisation en clinique afin de prescrire la meilleure combinaison appareil/médicament
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