8 research outputs found

    Prévalence de la migraine dans une population de travailleurs à cotonou au bénin

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    Introduction La migraine est une affection fréquente ayant un important retentissement sur la vie socioprofessionnelle des migraineux. L’objectif de ce travail était de déterminer la prévalence de la migraine dans une population de travailleurs de la ville de Cotonou.Cadre et méthode Il s’agit d’une étude transversale prospective réalisée dans 5 milieux de travail de la ville de Cotonou. Elle aété menée selon une technique de sondage aléatoire systématique à 3 degrés et porté sur 938 travailleurs. Le diagnostic de la migraine était basé sur les critères IHS de 1988 avec une modification sur la durée ou le nombre des accès (IHS + probable) Résultats La prévalence des céphalées était de 24,8% (IC95% : [22,1-27,8]). La prévalence de la migraine était de 8,9% (IC95% : [7,2-10,9]) celle de la migraine IHS étant de 2,3%, celle de la migraine probable de 6,6%. Elle est significativement plus fréquente chez les femmes 20,8% (

    Profil electroneuromyographique des neuropathies dans une population de patients diabetiques admis dans un laboratoire de neurophysiologie

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    Les neuropathies périphériques constituent une complication fréquente du diabète. Plusieurs formes de neuropathies sont décrites dans cette population. L’objectif de ce travail était d’étudier la fréquence desdifférentes neuropathies dans une population de diabétiques.Nous avons réalisé une étude descriptive portant sur 110 patients diabétiques admis dans le laboratoire de Neurophysiologie du CHU de Limoges de janvier 2004 à juin 2006. Le diagnostic EMG des neuropathies démyélinisantes était basé sur les critères de l’EFNS/PNS. Il s’agit de 110 sujets dont 63 de sexe masculin, âgés de 18 à 81 ans avec un âge moyen de 57,2 ans. La durée moyenne de la maladie était de 15 ans avec un taux moyen de HbA1C de 7,9%.33 sujets (30,6%) avaient une neuropathie démyélinisante dont 20 classés défini, 8 probable et 5 possible. 25,2% avaient une neuropathie axonale, 22,7% un syndrome du canal carpien et 14 sujets avaient un EMG normal. Ces résultats comparables à certains de la littérature suggèrent une fréquence assez élevée des neuropathies démyélinisantes chez les diabétiques et imposent d’en étudier les déterminants

    Compression medullaire lente secondaire a un lymphome de Burkitt intra - rachidien

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    Le lymphome de Burkitt (LB) appartient au groupe des lymphomes malins non hodgkiniens (LMNH) à cellules B. Il sévit de façon endémique chez l’enfant africain en région intertropicale. La rareté des localisations neuro-méningées dont médullaires a été rapportée. Nous rapportons le cas d’un jeune garçon présentant une localisation médullaire secondaire de LB maxillo-facial. Il avait présenté de façon lentement progressive dans un contexte d’amaigrissement et de tumeur maxillo-faciale, un syndrome de compression médullaire dorsale dont le diagnostic a été confirmé au myéloscanner dorsal. L’histologie de la tumeur maxillo faciale après biopsie révélait un LB. Une chimiothérapie a permis une disparition complète de la tumeur maxillo-faciale à la fin du 1er mois et une récupération neurologique au bout d’un an. La localisation secondaire intra rachidienne d’un LB bien que rare doit être présente à l’esprit surtout en face d’une compression médullaire lente survenue dans un contexte de tumeur maxillo-faciale chez l’enfant

    [Socio-cultural aspects of epilepsy in a rural community in northern Benin in 2011].

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    International audienceDespite the development of knowledge in diagnosis and therapeutic of epilepsy it remains to be cause of rejection and stigma. We aimed to study the knowledge, attitude and practice toward epilepsy and the stigma in a rural community. The cross-sectional study was carried out from 1st to 31st March 2011 in a rural community (Tourou) at Parakou in the northern Benin. It was a door-to-door survey and included 1 031 adults older than 15 years. The diagnosis of epilepsy was based on International League Against Epilepsy. The specific questionnaire was used and comprised 16 items which explored knowledge, attitude and practice toward epilepsy. Another questionnaire was developed to study stigma among epileptics. The associated factors to the misconception toward epilepsy have been studied. All adults have heard about epilepsy and knew the generalized tonic-clonic form of epilepsy and knew someone with epilepsy. Hereditary (98%) and witchcraft (97.9%) and social problems (65.9%) were mentioned as the most cause of epilepsy. Epilepsy was cited as contagious disease by 90.6% of respondents and the associated factors were the sex (p=0.005) and occupational status (0.024). The saliva (98.1%) and witness of the place of seizure (97.8%) were the frequently mentioned modes of transmission. 65% of all mentioned that epileptics can not get marriage and the main associated factors to this belief were the advanced age (p=0.008) and occupational status (0.004). 64.4% believed that children with epilepsy shouldn't be attend to school, age (0.004), ethnicity (0.047) and occupational status were the associated factors with this misconception. Despite 99.4% considered epilepsy as treatable disease only 12.7% would have referred epileptics to the hospital. All the seven epileptics considered themselves as victims of stigma and rejected by their family and the community. The misconceptions associated to the epilepsy can explain the stigma and the therapeutic gap in this rural community

    Distal sensory polyneuropathy among HIV-infected patients at Parakou University Hospital, Benin, 2011

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    International audienceDistal sensory polyneuropathy (DSP) is the most frequent neurological complication among HIV patients, and its risk increases with use of highly active antiretroviral therapy (HAART). We aimed to assess the prevalence of DSP and the factors associated with it among HIV-infected outpatients treated at Parakou University Hospital. This cross-sectional study took place from April 15 to July 15, 2011, and included 262 patients. All patients underwent a neurological examination by two neurologists with training and clinical experience in these examinations and in the Brief Peripheral Neuropathy Screening (BPNS), which was the primary tool used here. Data from nutritional status (body mass index: BMI), social and demographic information, HAART status, and CD4 count were recorded. The factors associated with DSP were studied with multivariate analysis, using a logistic regression model and a significance level of 0.05. The study included 60 men (22.9 %). Patients' ages ranged from 16 to 74 years and averaged 36.8±10 years. All patients but one patient were infected by HIV type 1 only; that one was coinfected by types 1 and 2. The mean BMI was 22.5+/-4.2 kg/m2. In all, 213 (81.3 %) received HAART, and the mean CD4 count was 355.0 cells/mm3+/-236.1. The prevalence of DSP was 42.4 %. The factors associated with it on univariate analysis were age, marital status, HAART status, duration of HIV infection, and duration of HAART. Only advanced age (OR 1.8, 95 % CI 1.1-5.3) and HAART use (OR 2.3, 95 % CI 1.5-4.9) were associated with DSP in the multivariate analysis. The main symptoms were paresthesia (numbness:75.7%; burning: 39.6%; pins and needles sensation 32.4 %) and pain (23.4 %). Vibration perception at the toes was missing or reduced for 84.4 %. According to the sensory symptoms grade, 93.7 % of patients were classified in Grades 2 or 3. This study showed that the prevalence of DSP is high and that it is associated with age and HAART

    Etude comparee des aspects cliniques et electromyographiques des polyradiculoneuropathies inflammatoires demyeliisantes chronique diopathiques entre les diabetiques et les non diabetiques

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    Description Les polyradiculoneuropathies inflammatoires démyélinisantes chroniques (PIDC) sont fréquentes chez le patient diabétique, environ 18,9%. Peu d’études ont comparé les PIDC entre diabétiques et non diabétiques. Objectif Etudier les PIDC chez les diabétiques et non diabétiquesMéthodologie Cette étude descriptive portait sur 47 patients dont 21 diabétiques et 26 non diabétiques ayant une PIDC admis dans le laboratoire de neurophysiologie du CHU de Limoges de janvier 2006 à Juin 2008. Le diagnostic des PIDC était porté sur les critères électrophysiologiques INCAT et de latence distale supérieure à 9ms. Résultat La comparaison sur le plan clinique permet de constater qu’il n’y avait pas de différence entre les deux populations pour ce qui concerne l’âge, le sexe, l’existence de déficit moteur, de troubles sensitifs objectifs (p>0,05). En revanche, les diabétiques présentaient plus de douleurs que les non diabétiques (p=0,006). Sur le plan électrophysiologique, il existe plus de blocs de conduction chez les non diabétiques (88,5%). que chez les diabétiques (47,6 %) p=0,002. Au niveau du nerf médian, les diabétiques présentaient moins d’allongement de latence distale (27,8%) que les non diabétiques (47,4%) p=0,01. Une étude comparative des moyennes permet d’observer que les sujets non diabétiques ont une onde F plus allongée sur le médian (41,2ms), le cubital (40.6ms) et le SPE (65,8ms) que les diabétiques. La réduction de la vitesse de conduction motrice est plus importante chez le non diabétique sur le nerf cubital (34,3m/sec).Conclusion Ces résultats montrent que les diabétiques peuvent présenter des PIDC mais avec des aspects cliniques etphysiologiques différents des non diabétiques.&#160

    Coordination properties of dithiobutylamine (DTBA), a newly introduced protein disulfide reducing agent

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    The acid-base properties and metal-binding abilities of (2S)-2-amino-1,4-dimercaptobutane, otherwise termed dithiobutylamine (DTBA), which is a newly introduced reagent useful for reducing protein and peptide disulfides, were studied in solution using potentiometry, (1)H NMR spectroscopy, spectropolarimetry, and UV-vis spectroscopy. The list of metal ions studied here includes Zn(II), Cd(II), Ni(II), Co(II), and Cu(I). We found that DTBA forms specific and very stable polynuclear and mononuclear complexes with all of these metal ions using both of its sulfur donors. DTBA forms complexes more stable than those of the commonly used disulfide reducing agent DTT, giving it more interference capacity in studies of metal binding in thiol-containing biomolecules. The ability of DTBA to strongly bind metal ions is reflected in its limited properties as a thiol protectant in their presence, which is manifested through slower disulfide reduction kinetics. We found that this effect correlated with the stabilities of the complexes. Additionally, the reducing properties of DTBA toward MMTS-modified papain (MMTS = S-methylmethanethiosulfonate) were also significantly affected by the investigated metal ions. In this case, however, electrostatic interactions and stereospecific effects, rather than metal-binding abilities, were found to be responsible for the reduced protective properties of DTBA. Despite its limitations, a high affinity toward metal ions makes DTBA an attractive agent in competition studies with metalloproteins
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