62 research outputs found

    Daptomycin > 6 mg/kg/day as salvage therapy in patients with complex bone and joint infection: cohort study in a regional reference center

    Get PDF
    Background: Even if daptomycin does not have approval for the treatment of bone and joint infections (BJI), the Infectious Diseases Society of America guidelines propose this antibiotic as alternative therapy for prosthetic joint infection. The recommended dose is 6 mg/kg/d, whereas recent data support the use of higher doses in these patients.Methods: We performed a cohort study including consecutive patients that have received daptomycin >6 mg/kg/d for complex BJI between 2011 and 2013 in a French regional reference center. Factors associated with treatment failure were determined on univariate Cox analysis and Kaplan-Meier curves.Results: Forty-three patients (age, 61 ± 17 years) received a mean dose of 8 ± 0.9 mg/kg/d daptomycin, for a mean 81 ± 59 days (range, 6-303 days). Most had chronic (n = 37, 86 %) implant-associated (n = 37, 86 %) BJI caused by coagulasenegative staphylococci (n = 32, 74 %). A severe adverse event (SAE) occurred in 6 patients (14 %), including 2 cases of eosinophilic pneumonia, concomitant with daptomycin Cmin >24 mg/L. Outcome was favorable in 30 (77 %) of the 39 clinically assessable patients. Predictors for treatment failure were age, non-optimal surgery and daptomycin withdrawal for SAE.Conclusions: Prolonged high-dose daptomycin therapy was effective in patients with complex BJI. However, optimal surgery remains the cornerstone of medico-surgical strategy; and a higher incidence of eosinophilic pneumonia than expected was recorded

    Protéines de transport OCT2 et MATE1, médicaments substrats et inhibiteurs (impact sur l'augmentation de la créatininémie et rôles des antirétroviraux)

    No full text
    Jusqu'à ce jour, le SIDA laisse derrière nous plus de 25 millions de morts. Les traitements par trithérapie ont permis de diminuer la mortalité des patients séropositifs au VIH. Cependant, ils sont responsables de nombreux effets secondaires avec notamment des atteintes rénales. Présentes au niveau des cellules tubulaires proximales, des protéines de transport facilitent le passage de molécules physiologiques comme la créatinine et de médicaments par excrétion dans les urines. Le transporteur OCT2, situé sur la membrane basolatérale, permet le passage des composés cationiques de la circulation sanguine vers la cellule rénale. Le transporteur MATE1, situé sur la membrane apicale, permet l'efflux de ces composés vers les urines. Les molécules physiologiques et les médicaments substrats et inhibiteurs de OCT2 et MATE1 sont listés dans cette thèse. Ce répertoire, non exhaustif, permet d'anticiper les interactions médicamenteuses qui pourraient survenir et entraîner une augmentation de la créatininémie induisant une insuffisance rénale fonctionnelle et non organique. Une recherche des polymorphismes les plus fréquents dans la population générale a également été effectuée. Concernant le transporteur cationique OCT2, les polymorphismes rs316019, rs3127573 et rs2279463 sont retrouvés dans la population caucasienne aux fréquences respectives de 11%, 12% et 12%. Pour le transporteur MATE1, les polymorphismes rs2289669 et rs2252281 sont retrouvés dans la population caucasienne à 41% et 38% respectivement. Ces polymorphismes modifient leur fonction de transporteur de molécules physiologiques comme la créatinine. L'impact des antirétroviraux sur les transporteurs OCT2 et MATE1 a également été étudié. L'ensemble de cette thèse a pour objectif final une meilleure compréhension de l'impact des médicaments et plus précisément des antirétroviraux sur l'augmentation de la créatininémie sans atteinte rénale organique. Pour les patients porteurs du VIH, ces connaissances permettent d'anticiper ce phénomène et in fine permettent une prise en charge thérapeutique personnalisée du traitement du VIH pour une meilleure observance et qualité de vie du patientLYON1-BU Santé (693882101) / SudocSudocFranceF

    L'hépatite C (état des connaissances, traitements et gène de l'ITPA)

    No full text
    L'hépatite C touche 170 millions de personnes à travers le monde. C'est une pathologie difficile à traiter et dont la prise en charge est complexe. L'objectif de ce travail est de faire un état des lieux des connaissances de cette pathologie, de présenter les thérapeutiques disponibles et d'évaluer l'impact des polymorphismes du gène de l'ITPA sur la survenue d'une anémie sous traitement. Dans un premier temps, nous décrivons l'épidémiologie et les modes de transmission du virus. Nous abordons la physiopathologie, le diagnostic biologique ainsi que le diagnostic histologique de la maladie. Dans un second temps, nous présentons les traitements disponibles : bithérapie combinant interféron pégylé et ribavirine ou trithérapie avec association d'un inhibiteur de protéase. Dans un troisième temps, nous nous intéressons au gène de l'ITPA, aux polymorphismes du gène et à leur influence sur la survenue d'une anémie sous traitement. Nous effectuons un point sur les articles scientifiques récemment publiés sur le sujet. Enfin, nous présentons la mise au point d'une méthode de génotypage de deux polymorphismes du gène de l'ITPA (rs1127354 et rs7270101) effectuée au Laboratoire de Pharmacologie spécialisée de l'hôpital Edouard Herriot de Lyon. Cette technique est actuellement utilisable en routine, quand un médecin en fait la demande, pour la prise en charge des patients atteints d'hépatite C chronique. L'influence des polymorphismes du gène de l'ITPA sur la survenue d'une anémie lors du traitement de l'hépatite C chronique est une découverte récente qui peut contribuer à améliorer la prise en charge des patients. Ce travail permet donc de faire le point sur des connaissances nouvelles, encore peu décrites dans la littératureLYON1-BU Santé (693882101) / SudocSudocFranceF

    Rivaroxaban/Xarrelto® (comparaison des mesures chromogéniques d'activité anti-Xa au dosage pondéral de la molécule par une technique chromatographique)

    No full text
    Le rivaroxaban/XAREL TO® est un médicament inhibiteur du facteur Xa prescrit dans le traitement préventif et curatif de la maladie thrombo-embolique veineuse ainsi que dans le traitement préventif de l'accident vasculaire cérébral chez .les patients atteints de fibrillation atriale non valvulaire. Une administration par voie orale, une posologie simple adaptée uniquement en fonction de la clairance de la créatinine et une absence de suivi biologique de routine constituent les principaux atouts de ce médicament. Cependant, dans certaines circonstances telles que les situations de surdosage d'hémorragies, d'interventions urgentes ou d'inobservance, la mesure de l'anticoagulation liée à cette molécule peut s'avérer utile. Dans cette étude, nous avons évalué les tests globaux de la coagulation TQ et TCA et les tests permettant le dépistage ou la quantification de rivaroxaban par la mesure de l'activité anti-Xa, le test Heparin LRT®, le test Xarelto et le test DiXa.r®. Pour répondre à cet objectif, nous avons développé et validé une méthode de dosage pondéral du rivaroxaban par technique chromatographique couplée à une détection de masse en tandem que nous avons utilisé comme comparateur des différents tests d'hémostase. La comparaison des différents dosages a reposé sur l'étude conjointe de surcharges en rivaroxaban et de plasmas de patients traités par le rivaroxaban. Les tests globaux de la coagulation sont perturbés par la présence de rivaroxaban mais ne permettent pas la quantification de ce médicament. Le test Heparin LRT® utilisé pour le dépistage de la molécule présente une excellente sensibilité diagnostique. Les mesures spécifiques de l'activité anti-Xa- le test Xarelto et le test DiXaL® - sont bien corrélées au dosage chromatographique pour les concentrations en rivaroxaban supérieures à 50 ng/mL. Le délai de rendu des résultats de ces tests est compatible avec les situations d'urgence. Par contre, en cas de suspicion d'inobservance, dans la mesure où les concentrations attendues sont plus faibles, le dosage chromatographique doit être privilégiéLYON1-BU Santé (693882101) / SudocSudocFranceF

    Les interactions médicamenteuses avec les antirétroviraux (étude d'un cas clinique)

    No full text
    LYON1-BU Santé (693882101) / SudocSudocFranceF
    • …
    corecore