30 research outputs found

    Hommage Ă  Laure Beaumont-Maillet (1947-2016)

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    In memoriam, par Sylvie Aubenas Nous avons appris au début de l’été le décès, dans sa maison de Carantec, de Laure Beaumont-Maillet. Laure Beaumont-Maillet a dirigé le département des Estampes et de la Photographie de la BnF de septembre 1983 à décembre 2006 et, à ce titre, elle est bien connue des spécialistes et amateurs d’estampes et de photographies du monde entier. Avant de laisser ici une esquisse biographique factuelle qui sera utile aux chercheurs et historiens, il faut parler de la ..

    Le nouveau franc CFA et la Banque centrale des États de l'Afrique de l'Ouest

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    Barthélémy Gérard. Le nouveau franc CFA et la Banque centrale des États de l'Afrique de l'Ouest. In: Tiers-Monde, tome 4, n°13-14, 1963. pp. 275-277

    Culture technomanuelle et culture industrielle

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    Sonthonax et les Noirs libres

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    Barthélémy Gérard. Sonthonax et les Noirs libres. In: Revue française d'histoire d'outre-mer, tome 84, n°316, 3e trimestre 1997. Spécial Sonthonax. pp. 71-74

    Le rĂ´le des Bossales dans l'Ă©mergence d'une culture de marronnage en HaĂŻti

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    Abstract The Bossales' Rôle in the Emergence of a Maroon Culture in Haiti. — In slave societies, the Bossales—slaves born in Africa—usually represented a transient category that, with no specifie role, was destined to either become physically extinct or vanish through Creolization in the foilowing generation. But Haiti stands out as an exception since, at the time of independence, the large majority of slaves were Bossales. The influence of Africans over the revolution that bled Santo Domingo and their role in the country's atypical destiny is studied by using the hypothesis that the (mostly rural) runaway slave culture expressed a radical Bossale otherness against the Creoles, who were seen as a relay in relations with the colonial ideology.Résumé Les esclaves nés en Afrique (ou Bossales) n'ont représenté en général, dans les sociétés esclavagistes, qu'une catégorie transitoire, sans rôle spécifique, destinée à disparaître soit physiquement, soit par créolisation à la génération suivante. Cet article s'efforce de montrer l'exception que constitue, de ce point de vue, Haïti où, au moment de l'indépendance, les esclaves étaient en grande majorité des Bossales. Il étudie l'influence de ces Africains sur la révolution qui ensanglanta Saint-Domingue et sur le destin atypique du pays, en posant l'hypothèse d'une culture de marronnage (essentiellement rurale) en tant qu'expression d'une altérité bossale radicale face au milieu créole compris comme relais de l'ancienne idélogie coloniale.Barthélemy Gérard. Le rôle des Bossales dans l'émergence d'une culture de marronnage en Haïti. In: Cahiers d'études africaines, vol. 37, n°148, 1997. La Caraïbe. Des îles au continent. pp. 839-862

    Aux origines d'HaĂŻti : "Africains" et paysans

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    If the history of Haiti since its independence remains difficult to understand and interpret, it is because we have few means of comprehending the development of a peasant society of largely African origin that attained independence before becoming "Creolized " in Santo Domingo. These " Africans, " as they were called by the native born Créole slaves, passed directly from slavery to independence, having been spared the curse of being born into the hell of plantations. After 1804, the new masters in the country in a neo-colonial manner tried to dominate this large group of Africans. This provoked a rejection by the " bossales " of the plantation and a graduai triumph of small property, with the development, little by little of a truly ' indigenous culture " which would not cease to counterbalance the most westernized culture of the elite.Si l'histoire d'Haïti depuis son indépendance est aussi difficile à lire et à interpréter, c'est parce que nous disposons de peu de points de repère permettant de comprendre l'évolution d'une société paysanne issue, dans sa grande majorité, directement de l'Afrique et que l'Indépendance a saisie avant qu'elle ne se soit créolisée sur le sol de Saint-Domingue. Ces « Africains », ainsi dénommés par leurs aînés, les esclaves créoles nés sur place, passeront pour ainsi dire directement de la déportation à la liberté sans avoir eu à partager la malédiction d'une naissance intervenue dans l'enfer des plantations. Cette masse africaine, après 1804, va faire l'objet d'une tentative de domination de type néo-colonial de la part des nouveaux maîtres du pays. On assiste alors à un rejet de la plantation par les « bossales » et au triomphe progressif de la petite propriété, tandis que s'élabore, peu à peu, une véritable « culture indigène », qui ne cessera de contrebalancer la culture plus accidentalisée de l'élite.Barthélémy Gérard. Aux origines d'Haïti : "Africains" et paysans. In: Outre-mers, tome 90, n°340-341, 2e semestre 2003. Haïti Première République Noire, sous la direction de Marcel Dorigny. pp. 103-120

    La nouvelle historique classique de 1657 Ă  1703

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    Au milieu dy XVIIe siècle, le roman devient la cible de critiques concernant ses invraisemblances et ses longueurs. Parallèlement, l'histoire, elle-même, fit naître des doutes sur ces capacités à dire la vérité : le langage pouvait difficilement exprimer le réel, l'historien était subjectif et partial. La nouvelle historique tira donc profit des difficultés conjointes des deux genres, pour s'inscrire dans une esthétique de la brièveté et de l'unité très proche de l'écriture historique. Non contente d'imiter le style de l'histoire, elle chercha à en imiter le fonctionnement, en imaginant que les grands évènements trouvaient leur source dans des causes galantes futiles. Tout en mettant en scène une idéologie où se mélaîent galanterie et héroïsme, sans doute appréciée des nobles qui n étaient les dédicataires, la nouvelle expliquait aussi les raisons qui avaient présidé à la perte de pouvoir de la noblesses, puisque l'histoire se présentait désormais comme le règne de l'arbitraire. Souvent présenté comme une oeuvre morale, destinée à montrer les ravages de la passion, elle vit cependant s'élever de nombreuses voix qui désapprouvaient ce mélange de la fiction et de la vérité.In the middle of the seventeenth century, the novel became the target of criticisms concerning its implausibilities and its tedious developments. At the same time, history itself bred doubts as to its capacity to tell the truth : language was hardput to express reality, the historian being subjective and biased. The historical short story thus benefited from the joint difficulties of both genres and sitted in with an aesthetics of brievity and unity, akin to history writing. Not only did it copy the style of that former genre but it also tried to mimic its functioning, bye imagining that the root of all important events laid in very trivial and gallant causes. While staging an ideology in which gallantery and heroïsm were closely interwoven, doubtesly well-appreciated by those to whom it was dedicated -ie the nobility-, the short story also explained the reasons which had led to the loss of power of the nobility, since from then history was ruled bye the arbitrary. Often presented as a moral work whose aim was to show the havoc wreaked by passion, the historical short story nevertheless aroused numerous criticisms and controversies from people who disapprouved of this blend of fiction and truth.PARIS4-BU Serpente (751052129) / SudocSudocFranceF

    L’École normale de l’an III. Vol. 4, Leçons d’analyse de l’entendement, art de la parole, littérature, morale

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    Il survient parfois un moment de l’histoire où les scientifiques, tous domaines confondus, s’imposent dans un même mouvement de faire le point des connaissances acquises et de tracer les routes à suivre. C’est à un tel moment que nous convient les leçons de l’an III, professées sous la Convention au premier semestre de 1795 devant plus d’un millier d’auditeurs, retranscrites par le soin de sténographes et aussitôt publiées. Dernière tentative désespérée pour offrir à un seul cerveau une connaissance encyclopédique ordonnancée par la raison analytique, ces leçons s’interrompront lors des journées de Prairial qui mettront un point (provisoirement) final à l’expérience si riche de l’École normale. Leçons d’analyse de l’entendement, art de la parole, littérature, morale Dès l’origine l’École normale fut un lieu de confluence entre scientifiques et littéraires. Ce volume réunit les cours qui furent prononcés en lettres au sens large du terme : réflexions de GARAT sur les mécanismes de l’entendement, remarques de l’abbé SICARD sur le langage, cours d’histoire littéraire de LA HARPE et notes de BERNARDIN DE SAINT-PIERRE sur la morale, en parties inédites. Quant aux débats très vivants qui ont suivi les conférences, ils viennent éclairer leur réception immédiate et, plus généralement, nombre de problèmes rencontrés par la pédagogie révolutionnaire, lesquels sont encore, pour une bonne part, d’actualité
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