34 research outputs found

    Eine Katastrophe definieren: Versuch einer Skizze

    Full text link
    'Wie kann man das Wort 'Katastrophe' als operationalen Begriff denken? Dieser passt auf extreme Ereignisse, erstens wenn sie die semantische Ordnung so beschĂ€digen, dass die Betroffenen außerstande sind, die Ereignisse narrativ zu bewĂ€ltigen, zweitens wenn sie objektiv die KontinuitĂ€t der sozialen Prozesse unterbrechen. Ein skurriler Fall war der prophezeite und dann tatsĂ€chlich erfolgte Niedergang Spartas; denn die Betroffenen stritten um die Deutung des evidenten Zusammenbruchs.' (Autorenreferat)'How can we use the word 'catastrophe' as an analytical concept? It fits extreme events, which firstly do damage to the semantic order in a way that the victims are unable to cope with that event by a narrative, and which secondly interrupt the continuity of social processes. A strange case is the downfall of Sparta, announced by an oracle, which was fulfilled literally. Anyhow the Spartan elite struggled about the semantics of what was going to happen.' (author's abstract

    Genesis und Dynamiken der Mehrheitsentscheidung

    Get PDF
    Das Mehrheitsprinzip ist die einzige Regel, die allen BĂŒrgern ein gleiches politisches Gewicht gibt und die politische Gleichheit ist die Grundlage aller Demokratie. Wo die Mehrheitsregel waltet, muß zwar keine Demokratie sein aber wo Demokratie ist, kann nur die Mehrheitsregel gelten

    Sarrazin

    Get PDF
    Debatte um die Thesen von Sarrazin.Debate about Sarrazin\u27s book

    La révolution athénienne de 507

    No full text
    Sur l’Agora d’AthĂšnes, prĂšs du klĂȘroterion grĂące auquel on tirait au sort les juges pour remplir les tribunaux populaires, s’élevaient les statues de Harmodios et Aristogiton. Les deux tyrannicides faisaient l’objet d’une commĂ©moration politique extraordinaire, car la citĂ© athĂ©nienne les considĂ©rait comme les hĂ©ros fondateurs de la polis isonomique. Or, les tyrannicides n’avaient pas mis fin au rĂšgne des Pisistratides ; ce fut une intervention spartiate sous le commandement du roi ClĂ©omĂšne qu..

    Stadtischer Republikanismus und Mehrheitsentscheidung. Zur Entstehung der griechischen Polis

    No full text

    L’honneur de l’armĂ©e impĂ©riale et le risque que prend celui qui ose l’insulter

    No full text
    Introduction RĂ©flĂ©chir sur l’honneur de l’armĂ©e impĂ©riale prĂ©suppose d’avoir une conception sociologique de cette armĂ©e en tant que phĂ©nomĂšne historique. En abordant ce sujet j’aimerais rendre hommage Ă  Paul Veyne, qui, en dĂ©couvrant la relation entre professionnalisme et honneur, a initiĂ© une Histoire culturelle du Politique sur laquelle je cherche Ă  m’aligner. L’armĂ©e de l’Empire romain Ă©tait un organisme social diffĂ©renciĂ© tant d’un point de vue technique que social et politique. L’élĂ©men..

    L'assemblée du peuple à Rome comme rituel de consensus

    No full text
    Die römische Volksversammlung als Konsensritual Abstimmen in der römischen Republik? Zwar war diese Republik keine Demokratie, und doch stimmte das Volk hĂ€ufig ab. Eine organisierte, nach Rangklassen gegliederte Aristokratie, die 300 Senatoren umfaßte (seit 80 v. Chr. 600), stand dem Volk gegenuber. Sie war angewiesen auf die Abstimmungen in den Volksversammlungen: nicht nur bei den Wahlen, wo das Volk uber die Karrieren der Aristokraten entschied, sondern auch in der Gesetzgebung und bei Beschlussen, die einzelne FĂ€lle regelten. Nach welchen Verfahren die Burger abstimmten - mehr egalitĂ€r oder mehr hierarchisch - hing vom Typ der Volksversammlung ab. Aber wie konnte das römische Volk seinen Willen ausdrĂŒcken in diesem hierarchischen System? Und bestand bei der Abstimmung uberhaupt Gelegenheit, den Volkswillen zu Ă€ufiern? Das ist umstritten. In der englischsprachigen Forschung verbreitet sich im Augenblick die Meinung. Rom sei eine Demokratie gewesen. Die Argumente dafur sind teilweise verfassungsmĂ€ĂŸiger (staatsrechtlicher) Art, teilweise völlig konfus. Wenn man die rituellen Aspekte in den römischen Volksversammlungen in den Blick nimmt, erhĂ€lt man ein anderes Bild.Popular assemblies in Rome as a ritual of consensus. Political hierarchy and the intensity of the popular vote. The Republic of Rome voted? To be sure this republic was not a democracy, and yet the people often voted. Opposite the people, a ranked aristocracy comprising 300 senators (600 from 80 ВСЕ). This aristocracy was dependent on votes expressed in popular assemblies: not only for elections, in which the people determined aristocratic careers, but also for the promulgation of laws and the decisions taken in special cases. The procedures - more or less egalitarian and more or less hierarchical - governing the citizens' vote depended on the kind of popular assembly. How could the people of Rome express their will in such a system? Was voting simply a means for the people to express their will? These questions are much debated. Increasingly, one reads in Anglo-American publications that Rome was a democracy. The arguments advanced are often of a constitutional (juridical) nature and are sometimes quite vague. If one examines the ritual aspects of the popular gatherings in Rome, one gets an entirely different picture.L'assemblĂ©e du peuple Ă  Rome comme rituel de consensus. HiĂ©rarchie politique et intensitĂ© de la volontĂ© populaire. Le vote dans la rĂ©publique romaine? Cette rĂ©publique n'Ă©tait certes pas une dĂ©mocratie, et pourtant le peuple y votait souvent. Face Ă  lui, une aristocratie ordonnĂ©e par classes de rang, qui comprenait 300 sĂ©nateurs (600 Ă  partir de 80 av. J.-C). Elle Ă©tait tributaire des votes des assemblĂ©es populaires: pas seulement pour les Ă©lections, dans lesquelles le peuple dĂ©cidait des carriĂšres des aristocrates, mais aussi pour la promulgation des lois et les dĂ©cisions prises dans des cas particuliers. Les procĂ©dures - plus ou moins Ă©galitaires ou plus au moins hiĂ©rarchiques - qui rĂ©gissaient le vote des citoyens dĂ©pendaient du type d'assemblĂ©e populaire concernĂ©. Comment le peuple romain pouvait-il exprimer sa volontĂ© dans ce systĂšme hiĂ©rarchique? Le vote autorisait-il tout simplement l'expression de la volontĂ© populaire? Ces questions sont controversĂ©es. On lit de plus en plus aujourd'hui dans la recherche anglo-saxonne que Rome a Ă©tĂ© une dĂ©mocratie. Les arguments qui sont invoquĂ©s sont parfois d'ordre constitutionnel (juridique), et parfois trĂšs confus. Si l'on examine les aspects rituels des assemblĂ©es populaires romaines, on aboutit Ă  un tableau tout diffĂ©rent.La asamblea del pueblo en Roma como ritual de consenso. JerarquĂ­a polĂ­tica e intensidad de la voluntad popular. E1 voto en la repĂșblica romana? Una repĂșblica que no era precisamente una democracia, aunque el pueblo votara con frecuencia. Frente al pueblo, una aristocracia de clases ordenadas por rango, compuesta de 300 senadores (600 a partir del año 80 a. de J. C). La aristocracia estaba supeditada al voto de las asambleas populares, no sĂłlo en lo referido a las elecciones -en las que el pueblo decidia que carrera les deparaba a los aristĂłcratas-, sino tambiĂ©n en cuanto a la promulgaciĂłn de las leyes y las decisiones tomadas en cada caso particular. Los procedimientos -nias o menos igualitarios o mĂĄs o menos jerĂĄrquicos- que regĂ­an el voto de los ciudadanos dependĂ­an de cada tipo de asamblea popular. En este sistema jerĂĄrquico, cĂłmo podia el pueblo romano expresar su voluntad? Era posible, acaso, que el voto permitiese expresar la voluntad popular? Estas preguntas suscitan controversias. Actualmente, en las publicaciones cientificas anglosajonas se afirma, cada vez mĂĄs, que Roma fue una democracia. Los argumentos invocados son a veces de indole constitucional (juridica), en algunas ocasiones muy confusos. Si se examinan los aspectos rituales de las asambleas populares romanas, se llega a un resultado completamente diferente.Flaig Egon. L'assemblĂ©e du peuple Ă  Rome comme rituel de consensus . In: Actes de la recherche en sciences sociales. Vol. 140, dĂ©cembre 2001. Votes. pp. 12-20

    Majority rule: political risks and cultural dynamics.

    No full text
    L’exercice de la majoritĂ© participe de la ritualisation de la vie politique en Occident. Jusqu’à quel point et pour quelle raison la « loi de la majorité » peut-elle ĂȘtre considĂ©rĂ©e comme un apport positif ? La loi de la majoritĂ© repose sur une abstraction qui a pour principe de traiter Ă©galement tous les individus quelles que soient leurs autres caractĂ©ristiques. Elle n’implique pas la dĂ©mocratie et peut contribuer au fonctionnement d’un pouvoir fondamentalement aristocratique. Inversement, elle est souvent absente de sociĂ©tĂ©s oĂč l’égalitĂ© politique prĂ©vaut. Sa spĂ©cificitĂ© consiste avant tout Ă  s’affranchir de l’unanimitĂ© tout en rendant les dĂ©cisions applicables par tous. MĂȘme s’ils ne sont pas les inventeurs de l’idĂ©e de majoritĂ©, les anciens Grecs mĂ©ritent qu’on les observe Ă  cet Ă©gard. Ils ont abondamment utilisĂ© cette maniĂšre de dĂ©cider et il en est question dĂšs l’ OdyssĂ©e . Aujourd’hui, le communautarisme menace la rĂšgle de la majoritĂ© et son principe est remis en question. Il devient plus urgent de comprendre en quoi unanimitĂ© et majoritĂ© s’opposent. Certains courants historiographiques ont opposĂ© la communautĂ©, Ă  la sociĂ©tĂ©, qui seule reconnaĂźtrait les individus. Or, si une telle vision Ă©volutionniste peut ĂȘtre vue comme simpliste, il reste que le principe du consensus domine dans le processus de prise de dĂ©cision observable dans les sociĂ©tĂ©s Ă©tudiĂ©es par les anthropologues. La logique du consensus n’est pas inintelligible. Elle se fonde sur deux Ă©lĂ©ments : le niveau d’intensitĂ© et la rĂ©ciprocitĂ© diffĂ©rĂ©e. Une forte mobilisation d’un petit groupe peut lui permettre d’emporter la dĂ©cision. Cela suppose, de la part des autres, une disposition Ă  cĂ©der, qui ne peut fonctionner que parce qu’elle est insĂ©rĂ©e dans la culture locale comme une conduite socialement acceptable, ce qui devient possible si la concession des uns aujourd’hui a de bonnes chances d’ĂȘtre compensĂ©e demain par une concession des autres. Le consensus rend nĂ©gligeables les risques de la dĂ©cision pour la cohĂ©sion politique du groupe. En revanche, le coĂ»t de la dĂ©cision est lui Ă©levĂ© en temps et en Ă©nergie dĂ©pensĂ©es, notamment si des militantismes d’intensitĂ©s comparables et opposĂ©es se manifestent. Le risque de paralysie est grand et la tentation existe que l’on cherche Ă  Ă©viter les facteurs de division empĂȘchant la prise de dĂ©cision en homogĂ©nĂ©isant au maximum le groupe dĂ©libĂ©ratif. On peut atteindre un consensus par un accord sur les options prĂ©sentĂ©es par les plus militants, mais aussi par un compromis situĂ© Ă  un niveau intermĂ©diaire insatisfaisant pour tous, ce qui mine la possibilitĂ© d’une rĂ©ciprocitĂ© diffĂ©rĂ©e, ou encore par le choix de la minoritĂ© de rejoindre la majoritĂ©, ce qui rompt avec le principe du niveau d’intensitĂ©. On Ă©vite alors une situation oĂč soit la prise de dĂ©cision n’aurait pas lieu, soit on serait contraint d’avoir recours Ă  des critĂšres qualitatifs, qui sont presque toujours inopĂ©rants. Cela peut dĂ©boucher sur la violence, en raison de la frustration de la minoritĂ©. Ces actes de rĂ©sistance d’une minoritĂ© (bien Ă©tudiĂ©s pour l’époque mĂ©diĂ©vale) ont Ă©tĂ© considĂ©rĂ©s par des historiens du Droit et mĂȘme par des sociologues (par exemple Georg Simmel) comme la naissance violente de la rĂšgle de majorité ; selon cette conception, cette rĂšgle apparaĂźt comme une confrontation simulĂ©e qui donne Ă  voir le rapport de forces et dissuade de recourir Ă  la violence. À l’encontre de cette thĂšse, on peut objecter que les confrontations Ă©taient la consĂ©quence d’une attente, trĂšs forte de la part de la majoritĂ©, de ce que la minoritĂ© se joigne volontairement Ă  l’option majoritaire ; cette attente suppose acquise l’idĂ©e que tous, minoritĂ© incluse, devront appliquer la dĂ©cision prise par la majoritĂ©. La loi de la majoritĂ© permet d’accĂ©lĂ©rer la prise de dĂ©cision, ce qui accroĂźt la rĂ©activitĂ© du systĂšme politique mais incite aussi Ă  vouloir ainsi changer l’ordre politique et social. Cela peut conduire Ă  rendre les confrontations au sein de l’assemblĂ©e dĂ©libĂ©rative et dans la sociĂ©tĂ© plus heurtĂ©es, voire franchement violentes. La rapiditĂ© augmente le risque de dĂ©cisions irrĂ©flĂ©chies, l’éloquence des orateurs peut devenir indĂ»ment dĂ©terminante, la stabilisation des camps dans des partis stables peut dĂ©gĂ©nĂ©rer en guerre civile. On peut faire l’hypothĂšse que la pratique de loi de la majoritĂ© a des effets dynamiques sur l’ensemble de la culture politique : elle tend Ă  faire de la politique une sphĂšre distincte, institutionnalisĂ©e et en expansion. Elle conduit Ă  terme Ă  une autolimitation comportementale des gagnants et des perdants. Le consensus et la majoritĂ© se distinguent aussi par le type de rhĂ©torique qu’ils favorisent. Dans le premier cas, le langage figurĂ© et allusif dominent, dans l’autre l’argument prĂ©cise et explicite. La loi de la majoritĂ© privilĂ©gie le pouvoir de la loi sur la puissance de l’ordre, ce qui suppose d’identifier le politique et de chercher Ă  le connaĂźtre. En conclusion, il ressort qu’on ne peut aborder les processus de prise de dĂ©cision d’un strict point de vue procĂ©dural et avec des raisonnements exclusivement juridiques. Bien au contraire, toutes les ressources interdisciplinaires de l’anthropologie politique doivent ĂȘtre mobilisĂ©es par qui veut problĂ©matiser, sans a priori ces questions

    Repenser le politique dans la RĂ©publique romaine

    No full text
    Das Politische in der Römischen Republik uberdenken Die Funktionsweise der Politik in der Römischen Republik lĂ€sst sich weder mit den Kategorien der antiken politischen Philosophie noch mit denjenigen der modernen Verfassungslehre klassifizieren. Das ergibt sich aus der einfachen Tatsache, daß die abstimmenden Volksversammlungen in Rom (Komitien) kein Entscheidungsorgan waren, sondern ein Konsensorgan. Es sind diejenigen Felder konkret zu eruieren, wo die politischen Entscheidungen fielen und wo die herrschenden und die beherrschten BĂŒrger InteressengegensĂ€tze austrugen. Nun ergibt sich aber, daß Politik entweder im außerinstitutionellen Bereich stattfand oder aber erstens in den informierenden Volksversammlungen (contiones) vor der Abstimmung, zweitens bei den «Spielen». Die römische Republik zu erforschen heifĂ«t dann, nicht mehr die Beziehungen zwischen Institutionen und Organen ins Zentrum zu stellen, sondern die Interaktionsformen innerhalb der jeweiligen Rituale. Die « Spiele » erweisen sich dann nicht nur als ein genuin politischer Raum - wie die Feste ĂŒberhaupt -, sondern ĂŒberdies als ein institutioneller Rahmen, innerhalb dessen herrschende und beherrschte Römer miteinander und gegeneinander umso besser agierten, je stĂ€rker die Politik personalisiert war.Rethinking the political institutions of the Roman Republic The mode of political functioning of the Roman Republic is not easily fitted into the categories of ancient political philosophy nor into those based on the modem theories of political regimes. The reason for this is simple : the popular assemblies which, in Rome, were the voting bodies (comitia), were not a decision-making organ but an organ of consensus. It is therefore necessary to analyze in concrete terms the fields in which the political decisions were taken and in which the conflicts of interests between dominant and dominated citizens appeared. When this is done, it becomes evident that political choices were made either, first of all, in the popular assemblies whose function it was to provide information (contiones) before the vote was called, or, in second place, at the "games". Research on Roman politics would therefore do well to shift its focus from relations between institutions and different organs to the forms of interaction within each ritual. It then turns out that the "games" were not merely by their constitution a political space - as are all festivals —, they were also an institutional framework within which both dominant and dominated Romans found a ground for alliances and conflicts which were all the more marked as politics was embodied in a certain number of public figures.Repenser le politique dans la RĂ©publique romaine Le mode de fonctionnement politique de la RĂ©publique romaine ne se prĂȘte pas aux classifications fondĂ©es sur les catĂ©gories de la philosophie politique antique, ni Ă  celles qui s'appuient sur les thĂ©ories modernes des rĂ©gimes politiques. La raison en est simple : les assemblĂ©es populaires qui, Ă  Rome, Ă©taient chargĂ©es des votes (les comices), ne constituaient pas un organe de dĂ©cision, mais un organe de consensus. Il s'agit donc de soumettre Ă  une analyse concrĂšte les champs oĂč Ă©taient prises les dĂ©cisions politiques et oĂč se manifestaient les conflits d'intĂ©rĂȘts des citoyens dominants et des citoyens dominĂ©s. Il apparaĂźt alors que les choix politiques s'effectuaient soit en dehors du cadre institutionnel, soit, en premier lieu, dans les assemblĂ©es populaires qui remplissaient, avant le vote, une fonction d'information (contiones), ou, en second lieu, dans les « jeux ». Les recherches sur la politique romaine ne doivent donc plus se concentrer sur les rapports entre les institutions et les diffĂ©rents organes, mais sur les formes d'interaction Ă  l'intĂ©rieur de chaque rituel. Il s'avĂšre alors que les « jeux » n'Ă©taient pas seulement un espace constitutivement politique - comme les fĂȘtes en gĂ©nĂ©ral - mais aussi un cadre institutionnel au sein duquel les Romains - dominants et dominĂ©s - trouvaient un terrain d'alliances et de conflits d'autant plus marquĂ©s que la politique s'incarnait dans un certain nombre de personnalitĂ©s.Flaig Egon. Repenser le politique dans la RĂ©publique romaine. In: Actes de la recherche en sciences sociales. Vol. 105, dĂ©cembre 1994. StratĂ©gies de reproduction et transmission des pouvoirs. pp. 13-25
    corecore