18 research outputs found

    Cognitive Dysfunction Is Sustained after Rescue Therapy in Experimental Cerebral Malaria, and Is Reduced by Additive Antioxidant Therapy

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    Neurological impairments are frequently detected in children surviving cerebral malaria (CM), the most severe neurological complication of infection with Plasmodium falciparum. The pathophysiology and therapy of long lasting cognitive deficits in malaria patients after treatment of the parasitic disease is a critical area of investigation. In the present study we used several models of experimental malaria with differential features to investigate persistent cognitive damage after rescue treatment. Infection of C57BL/6 and Swiss (SW) mice with Plasmodium berghei ANKA (PbA) or a lethal strain of Plasmodium yoelii XL (PyXL), respectively, resulted in documented CM and sustained persistent cognitive damage detected by a battery of behavioral tests after cure of the acute parasitic disease with chloroquine therapy. Strikingly, cognitive impairment was still present 30 days after the initial infection. In contrast, BALB/c mice infected with PbA, C57BL6 infected with Plasmodium chabaudi chabaudi and SW infected with non lethal Plasmodium yoelii NXL (PyNXL) did not develop signs of CM, were cured of the acute parasitic infection by chloroquine, and showed no persistent cognitive impairment. Reactive oxygen species have been reported to mediate neurological injury in CM. Increased production of malondialdehyde (MDA) and conjugated dienes was detected in the brains of PbA-infected C57BL/6 mice with CM, indicating high oxidative stress. Treatment of PbA-infected C57BL/6 mice with additive antioxidants together with chloroquine at the first signs of CM prevented the development of persistent cognitive damage. These studies provide new insights into the natural history of cognitive dysfunction after rescue therapy for CM that may have clinical relevance, and may also be relevant to cerebral sequelae of sepsis and other disorders

    Les sols de la moyenne vallée du fleuve Sénégal : caractéristiques et évolution sous irrigation

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    Les sols alluviaux de la moyenne vallée du fleuve Sénégal, développés en climat aride, sont l'objet d'aménagements hydro-agricoles visant à développer les productions irriguées. Pour l'instant, la riziculture est la production principale, complétée par du maraîchage. Ces dépôts fluviaux et fluvio-marins récents sont organisés en unités géomorphologiques. Les bourrelets de berge des multiples bras du fleuve Sénégal sont des formations de texture argilo-sablo-limoneuse. Les cuvettes de décantation des eaux de crue sont des formations argileuses, où les sols présentent des caractères vertiques prononcés. Leur minéraologie fait apparaître un mélange de smectites et de kaolinites. De relativement mauvaises relations entre CEC et teneurs en eau laissent quelques doutes sur les proportions de minéraux à charges variables. Ces sols sont naturellement salés selon un profil descendant, hérité du passé marin récent. Les sels sont très variables en composition et sans type dominant : chlorures et sulfates pour les anons, sodium, magnésium et calcium pour les cations. Estimer leur évolution sous irrigation pose une gamme de questions très large. La modification du régime hydrique est très et susceptible à elle seule de créer des conditions de pédogenèse différentes. Les sels neutres d'origine marine migrent dans les profils vers la surface. L'eau du fleuve, d'influence continentale, présente une alcalinité résiduelle calcite positive, qui fait craindre une alcalinisation. Les difficultés d'approche sont nombreuses, en particulier du fait de l'absence de données anciennes, mais aussi en raison de la relative jeunesse des périmètres irrigués, et de la nécéssité de diagnostiquer des évolutions complexes et encore peu marquées. Un ensemble de travaux a été conduit, pour préciser ces dynamiques et tenter de reconstituer l'évolution du sol sous culture depuis l'aménagement... (D'après résumé d'auteur

    Les sols de la moyenne vallée du fleuve Sénégal : caractéristiques et évolution sous irrigation

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    Les sols alluviaux de la moyenne vallée du fleuve Sénégal, développés en climat aride, sont l'objet d'aménagements hydro-agricoles visant à développer les productions irriguées. Pour l'instant, la riziculture est la production principale, complétée par du maraîchage. Ces dépôts fluviaux et fluvio-marins récents sont organisés en unités géomorphologiques. Les bourrelets de berge des multiples bras du fleuve Sénégal sont des formations de texture argilo-sablo-limoneuse. Les cuvettes de décantation des eaux de crue sont des formations argileuses, où les sols présentent des caractères vertiques prononcés. Leur minéraologie fait apparaître un mélange de smectites et de kaolinites. De relativement mauvaises relations entre CEC et teneurs en eau laissent quelques doutes sur les proportions de minéraux à charges variables. Ces sols sont naturellement salés selon un profil descendant, hérité du passé marin récent. Les sels sont très variables en composition et sans type dominant : chlorures et sulfates pour les anons, sodium, magnésium et calcium pour les cations. Estimer leur évolution sous irrigation pose une gamme de questions très large. La modification du régime hydrique est très et susceptible à elle seule de créer des conditions de pédogenèse différentes. Les sels neutres d'origine marine migrent dans les profils vers la surface. L'eau du fleuve, d'influence continentale, présente une alcalinité résiduelle calcite positive, qui fait craindre une alcalinisation. Les difficultés d'approche sont nombreuses, en particulier du fait de l'absence de données anciennes, mais aussi en raison de la relative jeunesse des périmètres irrigués, et de la nécéssité de diagnostiquer des évolutions complexes et encore peu marquées. Un ensemble de travaux a été conduit, pour préciser ces dynamiques et tenter de reconstituer l'évolution du sol sous culture depuis l'aménagement... (D'après résumé d'auteur
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