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    Interaction between Purkinje Cells and Inhibitory Interneurons May Create Adjustable Output Waveforms to Generate Timed Cerebellar Output

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    We develop a new model that explains how the cerebellum may generate the timing in classical delay eyeblink conditioning. Recent studies show that both Purkinje cells (PCs) and inhibitory interneurons (INs) have parallel signal processing streams with two time scales: an AMPA receptor-mediated fast process and a metabotropic glutamate receptor (mGluR)-mediated slow process. Moreover, one consistent finding is an increased excitability of PC dendrites (in Larsell's lobule HVI) in animals when they acquire the classical delay eyeblink conditioning naturally, in contrast to in vitro studies, where learning involves long-term depression (LTD). Our model proposes that the delayed response comes from the slow dynamics of mGluR-mediated IP3 activation, and the ensuing calcium concentration change, and not from LTP/LTD. The conditioned stimulus (tone), arriving on the parallel fibers, triggers this slow activation in INs and PC spines. These excitatory (from PC spines) and inhibitory (from INs) signals then interact at the PC dendrites to generate variable waveforms of PC activation. When the unconditioned stimulus (puff), arriving on the climbing fibers, is coupled frequently with this slow activation the waveform is amplified (due to an increased excitability) and leads to a timed pause in the PC population. The disinhibition of deep cerebellar nuclei by this timed pause causes the delayed conditioned response. This suggested PC-IN interaction emphasizes a richer role of the INs in learning and also conforms to the recent evidence that mGluR in the cerebellar cortex may participate in slow motor execution. We show that the suggested mechanism can endow the cerebellar cortex with the versatility to learn almost any temporal pattern, in addition to those that arise in classical conditioning

    Comparaison de l'impact radiologique de la production d'électricité par des réacteurs à eau sous pression ou par des réacteurs de fusion du type Tokamak

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    Dans cet article on compare l'impact de l'ensemble du cycle du combustible nucléaire correspondant aux réacteurs à eau légère avec celui de l'ensemble du cycle du combustible associé au futur réacteur de fusion, utilisant comme source d'énergie des réactions de fusion tritium-deutérium. La comparaison a été faite sur une base de production d'énergie de 1 GWe.an. Les critères de comparaison choisis ont été les inventaires de produits combustibles manipulés, les rejets radioactifs effectués sur l'ensemble des installations, les engagements d'équivalents de dose efficace délivrés à la population et le volume des déchets. Le risque accidentel n'a pas été pris en compte. Pour les réacteurs de fusion, quelques incertitudes résident encore qui ne permettent pas de connaître précisément la quantité de produits autres que le tritium rejeté au niveau du réacteur. Seuls des ordres de grandeur extrapolés du Tokamak NET sont donnés. Malgré ces incertitudes, il semblerait plus intéressant, du point de vue des rejets et des doses, de produire de l'électricité par des réacteurs de fusion, bien que cette filière ne supprime pas tous les problèmes relatifs aux rejets, à la manipulation et au stockage à plus ou moins long terme de produits radioactifs. Cette filière conduit également à des déchets de haute activité, auxquels sont associés des débits d'irradiation plus faibles à long terme que ceux des déchets de la filière des réacteurs à eau pressurisée

    Optimization of tritium transfer in a fusion reactor

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