27 research outputs found

    Are concomitant treatments confounding factors in randomized controlled trials on intensive blood-glucose control in type 2 diabetes? a systematic review

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    International audienceBackgroundOpen-label, randomized controlled trials (RCTs) are subject to observer bias. If patient management is conducted without blinding, a difference between groups may be explained by other factors than study treatment. One factor may come from taking concomitant treatments with an efficacy on the studied outcomes. In type 2 diabetes, some antihypertensive or lipid-lowering drugs are effective against diabetic complications. We wanted to determine if these concomitant treatments were correctly reported in articles of RCTs on type 2 diabetes and if they might have influenced the outcome.MethodsWe performed a systematic review using Medline, Embase, and the Cochrane Library (from January 1950 to July 2010). Open-label RCTs assessing the effectiveness of intensive blood-glucose control in type 2 diabetes were included. We chose five therapeutic classes with proven efficacy against diabetes complications: angiotensin-converting enzyme inhibitors (ACEIs), angiotensin II receptor antagonists (AIIRAs), fibrates, statins, and aspirin. Differences between concomitant treatments were considered statistically significant when p ResultsA total of eight open-label RCTs were included, but only three (37.5%) of them published concomitant treatments. In two studies (ACCORD and ADVANCE), a statistically significant difference was observed between the two groups for aspirin (p = 0.02) and ACEIs (p = 0.02).ConclusionsFew concomitant treatments were published in this sample of open-label RCTs. We cannot completely eliminate an observer bias for these studies. This bias probably influenced the results to an extent that has yet to be determined

    Réforme de l'assurance maladie d'août 2004 (évaluation de la compréhension de la réforme et de ce qu'elle a mis en place)

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    Le dispositif du médecin traitant résulte des dispositions conjuguées de la loi du 13 août 2004 relative à l'assurance maladie et de la convention conclue le 12 janvier 2005. L'objectif principal de ce travail était de rechercher si les patients avaient compris la réforme de 2004 et ce qu'elle a mis en place. L'objectif secondaire était de savoir, si d'après eux, la réforme avait changé leur prise en charge et la qualité des soins. L'hypothèse de notre travail était que la réforme, est peu connue des patients et qu'elle n'a pas changé selon eux leur prise en charge ni la qualité des soins. Un questionnaire a été distribué dans des cabinets de médecine générale, et via internet. A des patients de plus de 16 ans, de mai à aout 2013 351 patients y ont répondu. Une majorité d'entre eux (264/351) connaissait l'existence de la réforme mais les objectifs ne sont bien connus que par 47/351 patients; environ la moitié (161/351) a une connaissance moyenne de la réforme soit 2 à 3 objectif sur 5. 283/334 patients interrogés pensent que la réforme n'a pas modifié leur prise en charge. La réforme aujourd'hui reste inaboutie, une nouvelle stratégie nationale de santé est en cours et prévoit une nouvelle organisation des soins. Notre travail a mis en lumière la nécessité d'un travail pédagogique d' explications auprès des patientsLYON1-BU Santé (693882101) / SudocSudocFranceF

    La perception des médecins généralistes de leur rôle dans le dépistage et la prise en charge des violences conjugales (barrières et stratégies pour y remédier)

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    Les violences conjugales sont un problème de santé publique : 1 femme sur 10 en est victime, 1 femme décède tous les 2,5 jours. Pourtant la prévalence du problème dans les cabinets des médecins généralistes reste faible. L'objectif de cette thèse était d'analyser le vécu et les représentations des généralistes confrontés à ces situations afin d'identifier les possibles freins au dépistage et à la prise en charge des victimes. L'objectif secondaire était de réfléchir sur comment y remédier. L'hypothèse étant qu'une meilleure compréhension des difficultés rencontrées par le médecin et l'élaboration de stratégies de prise en charge adaptées, amélioreraient la prise en charge des victimes. Une étude qualitative a été menée auprès de médecins généralistes du Rhône et de l'Yonne. Quatre focus group (27 participants) ont été sélectionnés parmi des groupes de pairs. Les séances ont été enregistrées, retranscrites puis analysées. Les discussions ont révélé un décalage entre ce qui est médiatisé et la réalité des cabinets : les médecins de notre étude ne se sentaient pas bien placé dans la prise en charge des violences conjugales, leur prévalence était faible, le dépistage systématique n'était pas envisageable. Ceci était lié aux nombreux paradoxes rencontrés dans leur pratique : la peur des conséquences une fois le problème révélé : le manque de temps, d'outils de prise en charge, les contradictions de la femme, leurs propres sentiments, la dangerosité de l'agresseur, la peur d'aggraver la situation, l'absence de formation sur le sujet, le sentiment d'isolement. Les considérations éthique (intrusion dans la vie privée), déontologique et pénal (secret professionnel/nonassistance à personne en danger) rendaient la prise en charge complexe. Cependant, ils se reconnaissaient dans les rôles proposés dans le rapport Henrion et préconisaient l'information systématique pour sensibiliser, informer, orienter en contournant la plupart des obstaclesLYON1-BU Santé (693882101) / SudocSudocFranceF

    La Couverture vaccinale antitétanique chez l'adulte en médecine générale dans la Région Rhône-Alpes

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    LYON1-BU Santé (693882101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Estimation du risque cardio-vasculaire global par 14 médecins généralistes-maîtres de stage de la région Rhône-Alpes

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    LYON1-BU Santé (693882101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF
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