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Spectroscopic Study of IRAS 19285+0517(PDS 100): A Rapidly Rotating Li-Rich K Giant
We report on photometry and high-resolution spectroscopy for IRAS 19285+0517.
The spectral energy distribution based on visible and near-IR photometry and
far-IR fluxes shows that the star is surrounded by dust at a temperature of
250 K. Spectral line analysis shows that the star is a K
giant with a projected rotational velocity = 9 2 km s.
We determined the atmospheric parameters: = 4500 K, log =
2.5, = 1.5 km s, and [Fe/H] = 0.14 dex. The LTE abundance
analysis shows that the star is Li-rich (log (Li) = 2.50.15),
but with essentially normal C, N, and O, and metal abundances. Spectral
synthesis of molecular CN lines yields the carbon isotopic ratio
C/C = 9 3, a signature of post-main sequence evolution and
dredge-up on the RGB. Analysis of the Li resonance line at 6707 \AA for
different ratios Li/Li shows that the Li profile can be fitted best
with a predicted profile for pure Li. Far-IR excess, large Li abundance,
and rapid rotation suggest that a planet has been swallowed or, perhaps, that
an instability in the RGB outer layers triggered a sudden enrichment of Li and
caused mass-loss.Comment: To appear in AJ; 40 pages, 9 figure
Recommended from our members
Assessing the Impact of Mpas on Recreational Uses of A Marine Ecosystem: the Case of the CĂŽte Bleue Marine Park (France)
Though the basic purpose of MPAs is marine ecosystem conservation, the
question of their influence on the local economy is often critical since it
governs their social acceptability. This paper addresses the problem of
measuring the consequences of creating a marine protected area (MPA) on
recreational extractive and non-extractive uses of the ecosystem (scuba
diving, snorkelling, sport fishing). In the first part, we analyse the results of
several field surveys dedicated to scuba diving and recreational fishing
activities in the CĂŽte Bleue Marine Park, along the French Mediterranean
coast. These surveys have been performed in 2006-2009, within the
framework of two multidisciplinary research projects on MPAs
(EMPAFISH project, funded by the EU and PAMPA project, funded by the
French Environment Ministry). Its aim was to characterize the behaviour of
recreational users, their attitude towards the marine park, and to provide
information for an assessment of its economic value. More than 2,500
answers of recreational users were collected. On the basis of these results,
the second part of the paper proposes a simple illustrative model of demand
for recreational uses of the MPA, taking into account both environmental
and congestion effects
Ultraviolet Imaging of the z=0.23 Cluster Abell 2246
We present deep ultraviolet observations of a field containing the cluster
Abell 2246 (z=0.225) which provide far-ultraviolet (FUV) images of some of the
faintest galaxies yet observed in that bandpass. Abell 2246 lies within the
field of view of Ultraviolet Imaging Telescope (UIT) observations of the quasar
HS1700+64, which accumulated over 7100 seconds of UIT FUV exposure time during
the Astro-2 mission in March 1995. For objects found on both the FUV and
ground-based V-band images, we obtain FUV (l ~ 1520 A) photometry and V-band
photometry, as well as mid-UV (l ~ 2490 A) photometry from UIT Astro-1
observations and ground-based I-band photometry. We find five objects in the
images which are probably galaxies at the distance of Abell 2246, with FUV
magnitudes (m(FUV)) between 18.6 and 19.6, and V magnitudes between 18.4 and
19.6. We find that their absolute FUV fluxes and colors imply strongly that
they are luminous galaxies with significant current star formation, as well as
some relatively recent, but not current, (> 400 Myr ago) star formation. We
interpret the colors of these five objects by comparing them with local
objects, redshift-corrected template spectra and stellar population models,
finding that they are plausibly matched by 10-Gyr-old population models with
decaying star formation, with decay time constants in the range 3 Gyr < t < 5
Gyr, with an additional color component from a single burst of moderate ( ~
400-500 Myr) age. From derived FUV luminosities we compute current star
formation rates. We compare the UV properties of Abell 2246 with those of the
Coma cluster, finding that Abell 2246 has significantly more recent star
formation, consistent with the Butcher-Oemler phenomenon.Comment: Accepted for publication in the Astronomical Journal, June 1998. 17
Pages AAS latex, includes 4 bitmap .jpg format images and 4 other figures.
PDF, Embedded Gzipped PS version (1.9Mb) TeX source and figures available at
http://www.astro.virginia.edu/~bd4r/galaxies.htm
La chapelle de la commanderie Saint-Jean-des-PrĂ©s Ă Montbrison (Loire). Ătude prĂ©liminaire: Rapport de fouille archĂ©ologique programmĂ©e
La premiĂšre intervention archĂ©ologique sur le site de la commanderie hospitaliĂšre de Saint-Jean-des-PrĂ©s Ă Montbrison (Loire) a Ă©tĂ© consacrĂ©e Ă la rĂ©alisation dâun Ă©tat des lieux de la chapelle, seul bĂątiment conservĂ© de lâensemble architectural, et Ă une Ă©valuation du potentiel archĂ©ologique du site, dont la construction remonte aux annĂ©es 1170-1180. Plusieurs axes ont Ă©tĂ© privilĂ©giĂ©s lors de cette opĂ©ration.Une analyse du bĂąti de lâextĂ©rieur de lâĂ©difice et dâune partie de ses Ă©lĂ©vations internes a permis de mettre en Ă©vidence la prĂ©sence dâune galerie pouvant appartenir Ă un cloĂźtre du cĂŽtĂ© sud de la chapelle et dâune porte rapidement murĂ©e destinĂ©e Ă desservir lâĂ©difice depuis la galerie, ces deux Ă©lĂ©ments prenant part au projet architectural primitif, ainsi que de rĂ©aliser une premiĂšre analyse des dĂ©cors peints successifs de lâintĂ©rieur de la chapelle. Si la nef romane est conservĂ©e en totalitĂ©, Ă lâexception de sa voĂ»te, dont la date dâeffondrement est encore incertaine, le chĆur de lâĂ©difice apparaissait partiellement reconstruit en premiĂšre analyse, mais semblait conserver le plan roman dans sa partie basse, construite en pierres de taille de granite comme la nef, tandis que la partie haute et les contreforts semblaient rĂ©sulter dâune reconstruction gothique. Les irrĂ©gularitĂ©s des chaĂźnages et des assises de la partie basse en granite laissait cependant douter de lâappartenance de ces parties de lâĂ©difice Ă la construction primitive. Deux sondages rĂ©alisĂ©s dans le chĆur et Ă la jonction du chĆur et de la nef de lâĂ©difice ont confirmĂ© ces soupçons, grĂące Ă la dĂ©couverte de parties romanes du chĆur en place dans le sous-sol ainsi que lâarrachement du mur du chevet, montrant nettement que celui-ci possĂ©dait non pas un plan quadrangulaire Ă chĆur et chevet plats, mais une abside semi-circulaire. Les parties en granite de lâĂ©lĂ©vation du chevet reposent en outre sur une fondation en petits blocs irrĂ©guliers, elle-mĂȘme assise sur la fondation romane en moellons de granite Ă©quarris Ă tĂȘte dressĂ©e.Câest donc bien la totalitĂ© du chĆur qui a Ă©tĂ© reconstruit, probablement au XIVe ou au XVe s., avec un remploi des pierres de taille romanes pour la partie basse. Ces Ă©lĂ©ments conduisent Ă revoir Ă©galement notre comprĂ©hension de lâorganisation primitive de la chapelle ; si le chĆur gothique occupe une seule travĂ©e, les trois autres travĂ©es romanes servant de nef, il semble du fait de la taille de lâabside romane (dâun diamĂštre interne dâenviron 6,60 m) que lâorganisation romane ne comprenait probablement que deux travĂ©es de nef, et une travĂ©e droite de chĆur avant lâabside. En lâĂ©tat des recherches, aucun sol Ă mettre en relation avec lâĂ©difice roman nâa pu ĂȘtre dĂ©couvert. En revanche, des traces dâune barriĂšre du chĆur gothique et dâune partie dâun sol en tommettes glaçurĂ©es polychromes ont pu ĂȘtre retrouvĂ©es.Les fonctions funĂ©raires de lâĂ©difice ont pu ĂȘtre approchĂ©es Ă travers la dĂ©couverte de cinq sĂ©pultures dans la nef, dont lâĂ©tat de conservation sâavĂšre satisfaisant sans ĂȘtre exceptionnel, et Ă travers lâĂ©tude des nĂ©gatifs de deux enfeus de la fin du XIIIe s., et notamment du dĂ©cor peint de lâun de ces enfeus, appartenant au tombeau dâun prĂȘtre de lâHĂŽpital nommĂ© AtĂ©nulphe, commandeur de Saint-Jean-des-PrĂ©s de 1215 Ă 1248. Le site sâavĂšre dans lâensemble dans un bon Ă©tat de conservation, mĂȘme si les constructions des XIXe et XXe s. nuisent Ă la lecture de lâensemble
La chapelle de la commanderie Saint-Jean-des-PrĂ©s Ă Montbrison (Loire). Ătude prĂ©liminaire: Campagne de fouilles 2005
Rapport de fouille archĂ©ologique programmĂ©eLa premiĂšre intervention archĂ©ologique sur le site de la commanderie hospitaliĂšre de Saint-Jean-des-PrĂ©s Ă Montbrison (Loire) a Ă©tĂ© consacrĂ©e Ă la rĂ©alisation dâun Ă©tat des lieux de la chapelle, seul bĂątiment conservĂ© de lâensemble architectural, et Ă une Ă©valuation du potentiel archĂ©ologique du site, dont la construction remonte aux annĂ©es 1170-1180. Plusieurs axes ont Ă©tĂ© privilĂ©giĂ©s lors de cette opĂ©ration.Une analyse du bĂąti de lâextĂ©rieur de lâĂ©difice et dâune partie de ses Ă©lĂ©vations internes a permis de mettre en Ă©vidence la prĂ©sence dâune galerie pouvant appartenir Ă un cloĂźtre du cĂŽtĂ© sud de la chapelle et dâune porte rapidement murĂ©e destinĂ©e Ă desservir lâĂ©difice depuis la galerie, ces deux Ă©lĂ©ments prenant part au projet architectural primitif, ainsi que de rĂ©aliser une premiĂšre analyse des dĂ©cors peints successifs de lâintĂ©rieur de la chapelle. Si la nef romane est conservĂ©e en totalitĂ©, Ă lâexception de sa voĂ»te, dont la date dâeffondrement est encore incertaine, le chĆur de lâĂ©difice apparaissait partiellement reconstruit en premiĂšre analyse, mais semblait conserver le plan roman dans sa partie basse, construite en pierres de taille de granite comme la nef, tandis que la partie haute et les contreforts semblaient rĂ©sulter dâune reconstruction gothique. Les irrĂ©gularitĂ©s des chaĂźnages et des assises de la partie basse en granite laissait cependant douter de lâappartenance de ces parties de lâĂ©difice Ă la construction primitive. Deux sondages rĂ©alisĂ©s dans le chĆur et Ă la jonction du chĆur et de la nef de lâĂ©difice ont confirmĂ© ces soupçons, grĂące Ă la dĂ©couverte de parties romanes du chĆur en place dans le sous-sol ainsi que lâarrachement du mur du chevet, montrant nettement que celui-ci possĂ©dait non pas un plan quadrangulaire Ă chĆur et chevet plats, mais une abside semi-circulaire. Les parties en granite de lâĂ©lĂ©vation du chevet reposent en outre sur une fondation en petits blocs irrĂ©guliers, elle-mĂȘme assise sur la fondation romane en moellons de granite Ă©quarris Ă tĂȘte dressĂ©e.Câest donc bien la totalitĂ© du chĆur qui a Ă©tĂ© reconstruit, probablement au XIVe ou au XVe s., avec un remploi des pierres de taille romanes pour la partie basse. Ces Ă©lĂ©ments conduisent Ă revoir Ă©galement notre comprĂ©hension de lâorganisation primitive de la chapelle ; si le chĆur gothique occupe une seule travĂ©e, les trois autres travĂ©es romanes servant de nef, il semble du fait de la taille de lâabside romane (dâun diamĂštre interne dâenviron 6,60 m) que lâorganisation romane ne comprenait probablement que deux travĂ©es de nef, et une travĂ©e droite de chĆur avant lâabside. En lâĂ©tat des recherches, aucun sol Ă mettre en relation avec lâĂ©difice roman nâa pu ĂȘtre dĂ©couvert. En revanche, des traces dâune barriĂšre du chĆur gothique et dâune partie dâun sol en tommettes glaçurĂ©es polychromes ont pu ĂȘtre retrouvĂ©es.Les fonctions funĂ©raires de lâĂ©difice ont pu ĂȘtre approchĂ©es Ă travers la dĂ©couverte de cinq sĂ©pultures dans la nef, dont lâĂ©tat de conservation sâavĂšre satisfaisant sans ĂȘtre exceptionnel, et Ă travers lâĂ©tude des nĂ©gatifs de deux enfeus de la fin du XIIIe s., et notamment du dĂ©cor peint de lâun de ces enfeus, appartenant au tombeau dâun prĂȘtre de lâHĂŽpital nommĂ© AtĂ©nulphe, commandeur de Saint-Jean-des-PrĂ©s de 1215 Ă 1248. Le site sâavĂšre dans lâensemble dans un bon Ă©tat de conservation, mĂȘme si les constructions des XIXe et XXe s. nuisent Ă la lecture de lâensemble
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