76 research outputs found

    Spectroscopic Study of IRAS 19285+0517(PDS 100): A Rapidly Rotating Li-Rich K Giant

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    We report on photometry and high-resolution spectroscopy for IRAS 19285+0517. The spectral energy distribution based on visible and near-IR photometry and far-IR fluxes shows that the star is surrounded by dust at a temperature of TdT_{\rm {d}} ∌\sim 250 K. Spectral line analysis shows that the star is a K giant with a projected rotational velocity vsiniv sin i = 9 ±\pm 2 km s−1^{-1}. We determined the atmospheric parameters: TeffT_{\rm {eff}} = 4500 K, log gg = 2.5, Οt\xi_{t} = 1.5 km s−1^{-1}, and [Fe/H] = 0.14 dex. The LTE abundance analysis shows that the star is Li-rich (log Ï”\epsilon(Li) = 2.5±\pm0.15), but with essentially normal C, N, and O, and metal abundances. Spectral synthesis of molecular CN lines yields the carbon isotopic ratio 12^{12}C/13^{13}C = 9 ±\pm3, a signature of post-main sequence evolution and dredge-up on the RGB. Analysis of the Li resonance line at 6707 \AA for different ratios 6^{6}Li/7^{7}Li shows that the Li profile can be fitted best with a predicted profile for pure 7^{7}Li. Far-IR excess, large Li abundance, and rapid rotation suggest that a planet has been swallowed or, perhaps, that an instability in the RGB outer layers triggered a sudden enrichment of Li and caused mass-loss.Comment: To appear in AJ; 40 pages, 9 figure

    Ultraviolet Imaging of the z=0.23 Cluster Abell 2246

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    We present deep ultraviolet observations of a field containing the cluster Abell 2246 (z=0.225) which provide far-ultraviolet (FUV) images of some of the faintest galaxies yet observed in that bandpass. Abell 2246 lies within the field of view of Ultraviolet Imaging Telescope (UIT) observations of the quasar HS1700+64, which accumulated over 7100 seconds of UIT FUV exposure time during the Astro-2 mission in March 1995. For objects found on both the FUV and ground-based V-band images, we obtain FUV (l ~ 1520 A) photometry and V-band photometry, as well as mid-UV (l ~ 2490 A) photometry from UIT Astro-1 observations and ground-based I-band photometry. We find five objects in the images which are probably galaxies at the distance of Abell 2246, with FUV magnitudes (m(FUV)) between 18.6 and 19.6, and V magnitudes between 18.4 and 19.6. We find that their absolute FUV fluxes and colors imply strongly that they are luminous galaxies with significant current star formation, as well as some relatively recent, but not current, (> 400 Myr ago) star formation. We interpret the colors of these five objects by comparing them with local objects, redshift-corrected template spectra and stellar population models, finding that they are plausibly matched by 10-Gyr-old population models with decaying star formation, with decay time constants in the range 3 Gyr < t < 5 Gyr, with an additional color component from a single burst of moderate ( ~ 400-500 Myr) age. From derived FUV luminosities we compute current star formation rates. We compare the UV properties of Abell 2246 with those of the Coma cluster, finding that Abell 2246 has significantly more recent star formation, consistent with the Butcher-Oemler phenomenon.Comment: Accepted for publication in the Astronomical Journal, June 1998. 17 Pages AAS latex, includes 4 bitmap .jpg format images and 4 other figures. PDF, Embedded Gzipped PS version (1.9Mb) TeX source and figures available at http://www.astro.virginia.edu/~bd4r/galaxies.htm

    Asteroseismology and Next Generation Stellar Models - EES2014

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    Asteroseismology and Next Generation Stellar Models - EES2014

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    Gerbert l'européen

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    La chapelle de la commanderie Saint-Jean-des-PrĂ©s Ă  Montbrison (Loire). Étude prĂ©liminaire: Rapport de fouille archĂ©ologique programmĂ©e

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    La premiĂšre intervention archĂ©ologique sur le site de la commanderie hospitaliĂšre de Saint-Jean-des-PrĂ©s Ă  Montbrison (Loire) a Ă©tĂ© consacrĂ©e Ă  la rĂ©alisation d’un Ă©tat des lieux de la chapelle, seul bĂątiment conservĂ© de l’ensemble architectural, et Ă  une Ă©valuation du potentiel archĂ©ologique du site, dont la construction remonte aux annĂ©es 1170-1180. Plusieurs axes ont Ă©tĂ© privilĂ©giĂ©s lors de cette opĂ©ration.Une analyse du bĂąti de l’extĂ©rieur de l’édifice et d’une partie de ses Ă©lĂ©vations internes a permis de mettre en Ă©vidence la prĂ©sence d’une galerie pouvant appartenir Ă  un cloĂźtre du cĂŽtĂ© sud de la chapelle et d’une porte rapidement murĂ©e destinĂ©e Ă  desservir l’édifice depuis la galerie, ces deux Ă©lĂ©ments prenant part au projet architectural primitif, ainsi que de rĂ©aliser une premiĂšre analyse des dĂ©cors peints successifs de l’intĂ©rieur de la chapelle. Si la nef romane est conservĂ©e en totalitĂ©, Ă  l’exception de sa voĂ»te, dont la date d’effondrement est encore incertaine, le chƓur de l’édifice apparaissait partiellement reconstruit en premiĂšre analyse, mais semblait conserver le plan roman dans sa partie basse, construite en pierres de taille de granite comme la nef, tandis que la partie haute et les contreforts semblaient rĂ©sulter d’une reconstruction gothique. Les irrĂ©gularitĂ©s des chaĂźnages et des assises de la partie basse en granite laissait cependant douter de l’appartenance de ces parties de l’édifice Ă  la construction primitive. Deux sondages rĂ©alisĂ©s dans le chƓur et Ă  la jonction du chƓur et de la nef de l’édifice ont confirmĂ© ces soupçons, grĂące Ă  la dĂ©couverte de parties romanes du chƓur en place dans le sous-sol ainsi que l’arrachement du mur du chevet, montrant nettement que celui-ci possĂ©dait non pas un plan quadrangulaire Ă  chƓur et chevet plats, mais une abside semi-circulaire. Les parties en granite de l’élĂ©vation du chevet reposent en outre sur une fondation en petits blocs irrĂ©guliers, elle-mĂȘme assise sur la fondation romane en moellons de granite Ă©quarris Ă  tĂȘte dressĂ©e.C’est donc bien la totalitĂ© du chƓur qui a Ă©tĂ© reconstruit, probablement au XIVe ou au XVe s., avec un remploi des pierres de taille romanes pour la partie basse. Ces Ă©lĂ©ments conduisent Ă  revoir Ă©galement notre comprĂ©hension de l’organisation primitive de la chapelle ; si le chƓur gothique occupe une seule travĂ©e, les trois autres travĂ©es romanes servant de nef, il semble du fait de la taille de l’abside romane (d’un diamĂštre interne d’environ 6,60 m) que l’organisation romane ne comprenait probablement que deux travĂ©es de nef, et une travĂ©e droite de chƓur avant l’abside. En l’état des recherches, aucun sol Ă  mettre en relation avec l’édifice roman n’a pu ĂȘtre dĂ©couvert. En revanche, des traces d’une barriĂšre du chƓur gothique et d’une partie d’un sol en tommettes glaçurĂ©es polychromes ont pu ĂȘtre retrouvĂ©es.Les fonctions funĂ©raires de l’édifice ont pu ĂȘtre approchĂ©es Ă  travers la dĂ©couverte de cinq sĂ©pultures dans la nef, dont l’état de conservation s’avĂšre satisfaisant sans ĂȘtre exceptionnel, et Ă  travers l’étude des nĂ©gatifs de deux enfeus de la fin du XIIIe s., et notamment du dĂ©cor peint de l’un de ces enfeus, appartenant au tombeau d’un prĂȘtre de l’HĂŽpital nommĂ© AtĂ©nulphe, commandeur de Saint-Jean-des-PrĂ©s de 1215 Ă  1248. Le site s’avĂšre dans l’ensemble dans un bon Ă©tat de conservation, mĂȘme si les constructions des XIXe et XXe s. nuisent Ă  la lecture de l’ensemble

    La chapelle de la commanderie Saint-Jean-des-PrĂ©s Ă  Montbrison (Loire). Étude prĂ©liminaire: Campagne de fouilles 2005

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    Rapport de fouille archĂ©ologique programmĂ©eLa premiĂšre intervention archĂ©ologique sur le site de la commanderie hospitaliĂšre de Saint-Jean-des-PrĂ©s Ă  Montbrison (Loire) a Ă©tĂ© consacrĂ©e Ă  la rĂ©alisation d’un Ă©tat des lieux de la chapelle, seul bĂątiment conservĂ© de l’ensemble architectural, et Ă  une Ă©valuation du potentiel archĂ©ologique du site, dont la construction remonte aux annĂ©es 1170-1180. Plusieurs axes ont Ă©tĂ© privilĂ©giĂ©s lors de cette opĂ©ration.Une analyse du bĂąti de l’extĂ©rieur de l’édifice et d’une partie de ses Ă©lĂ©vations internes a permis de mettre en Ă©vidence la prĂ©sence d’une galerie pouvant appartenir Ă  un cloĂźtre du cĂŽtĂ© sud de la chapelle et d’une porte rapidement murĂ©e destinĂ©e Ă  desservir l’édifice depuis la galerie, ces deux Ă©lĂ©ments prenant part au projet architectural primitif, ainsi que de rĂ©aliser une premiĂšre analyse des dĂ©cors peints successifs de l’intĂ©rieur de la chapelle. Si la nef romane est conservĂ©e en totalitĂ©, Ă  l’exception de sa voĂ»te, dont la date d’effondrement est encore incertaine, le chƓur de l’édifice apparaissait partiellement reconstruit en premiĂšre analyse, mais semblait conserver le plan roman dans sa partie basse, construite en pierres de taille de granite comme la nef, tandis que la partie haute et les contreforts semblaient rĂ©sulter d’une reconstruction gothique. Les irrĂ©gularitĂ©s des chaĂźnages et des assises de la partie basse en granite laissait cependant douter de l’appartenance de ces parties de l’édifice Ă  la construction primitive. Deux sondages rĂ©alisĂ©s dans le chƓur et Ă  la jonction du chƓur et de la nef de l’édifice ont confirmĂ© ces soupçons, grĂące Ă  la dĂ©couverte de parties romanes du chƓur en place dans le sous-sol ainsi que l’arrachement du mur du chevet, montrant nettement que celui-ci possĂ©dait non pas un plan quadrangulaire Ă  chƓur et chevet plats, mais une abside semi-circulaire. Les parties en granite de l’élĂ©vation du chevet reposent en outre sur une fondation en petits blocs irrĂ©guliers, elle-mĂȘme assise sur la fondation romane en moellons de granite Ă©quarris Ă  tĂȘte dressĂ©e.C’est donc bien la totalitĂ© du chƓur qui a Ă©tĂ© reconstruit, probablement au XIVe ou au XVe s., avec un remploi des pierres de taille romanes pour la partie basse. Ces Ă©lĂ©ments conduisent Ă  revoir Ă©galement notre comprĂ©hension de l’organisation primitive de la chapelle ; si le chƓur gothique occupe une seule travĂ©e, les trois autres travĂ©es romanes servant de nef, il semble du fait de la taille de l’abside romane (d’un diamĂštre interne d’environ 6,60 m) que l’organisation romane ne comprenait probablement que deux travĂ©es de nef, et une travĂ©e droite de chƓur avant l’abside. En l’état des recherches, aucun sol Ă  mettre en relation avec l’édifice roman n’a pu ĂȘtre dĂ©couvert. En revanche, des traces d’une barriĂšre du chƓur gothique et d’une partie d’un sol en tommettes glaçurĂ©es polychromes ont pu ĂȘtre retrouvĂ©es.Les fonctions funĂ©raires de l’édifice ont pu ĂȘtre approchĂ©es Ă  travers la dĂ©couverte de cinq sĂ©pultures dans la nef, dont l’état de conservation s’avĂšre satisfaisant sans ĂȘtre exceptionnel, et Ă  travers l’étude des nĂ©gatifs de deux enfeus de la fin du XIIIe s., et notamment du dĂ©cor peint de l’un de ces enfeus, appartenant au tombeau d’un prĂȘtre de l’HĂŽpital nommĂ© AtĂ©nulphe, commandeur de Saint-Jean-des-PrĂ©s de 1215 Ă  1248. Le site s’avĂšre dans l’ensemble dans un bon Ă©tat de conservation, mĂȘme si les constructions des XIXe et XXe s. nuisent Ă  la lecture de l’ensemble
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