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    Ostéotomie d’avancée maxillo-mandibulaire ou orthèse d’avancée mandibulaire dans le traitement des syndromes d’apnées obstructives du sommeil modérés à sévères : comparaison d’efficacité et recherche de critères prédictifs d’efficacité

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    Introduction. La pression positive continue, traitement de référence du syndrome d’apnées-hypopnées obstructives du sommeil (SAHOS), présente un taux élevé d’intolérance. Les deux alternatives thérapeutiques reconnues sont l’orthèse d’avancée mandibulaire (OAM) et la chirurgie d’avancée maxillo-mandibulaire (AMM). Patients et méthode. Cette étude rétrospective a comparé entre janvier 2005 et septembre 2012 l’efficacité de ces deux traitements chez des patients atteints de SAHOS modéré à sévère, et a recherché des critères prédictifs d’efficacité. L’efficacité était définie par un index d’apnées-hypopnées (IAH) inférieur à 15/h et diminué de plus de 50 %. La différence d’efficacité a été étudiée par régression logistique ajustée sur le score de propension à être traité par AMM plutôt qu’OAM. Résultats. L’étude a inclus 198 patients : 37 ont été traités par AMM et 161 par OAM. Le traitement par AMM était significativement plus efficace avec un rapport de cotes (odd-ratio) à 3,22; IC95 % 1,31Γ7,82 (p = 0,011). Les facteurs prédictifs d’efficacité identifiés étaient un âge jeune et un IAH de départ faible. Il n’a pas été retrouvé d’interaction significative entre le traitement et les caractéristiques morphologiques du patient. Conclusion. La chirurgie d’AMM apparaît être un traitement significativement plus efficace que l’OAM chez les patients atteints de SAHOS modéré à sévère. Aucune caractéristique morphologique ne semble favoriser la réussite du traitement par OAM comparativement au traitement par AMM

    Genome sequences of 17 Pasteurella multocida strains involved in cases of rabbit Pasteurellosis

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    International audienceThis article reports draft genome sequences of 17 Pasteurella multocida strains isolated from naturally infected rabbits. The total lengths of the assembled contigs ranged between 2.21 and 2.48 Mb, and the total number of genes detected on the contigs ranged between 2,088 and 2,416

    Vers une amélioration de la résistance du lapin à la pasteurellose

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    Session Pathologie et PréventionThe evaluation of the Rabbit genetic resistance to pasteurellosis should take into account the diversity of Pasteurella isolates. A collection of 200 strains has been established from isolates sampled in French flocks. These strains were characterized and their genetic diversity evaluated through the development of a MLVA technique (Multi-Locus Variable-number-tandem-repeat analysis), and validated with the already published but less discriminating MLST (Multi Locus Sequence Type). Virulence in Rabbit of 5 strains selected as representatives of the main genetic groups of Pasteurella was evaluated in vivo after intra-nasal or subcutaneous inoculation. The subcutaneous infection route was chosen to compare 20 representative strains from the collection and evidenced their virulence variability, as well as an individual variability in the rabbit’s ability to control the infection.L’évaluation de la résistance génétique du Lapin à la pasteurellose doit tenir compte de la diversité des souches de Pasteurella sévissant dans les populations. Une collection de 200 souches de Pasteurella a étéconstituée à partir d’isolements effectués dans des élevages français. Les souches ont été caractérisées et leur diversité génétique évaluée grâce au développement d’une technique MLVA (Multi-Locus Variable-numbertandem-repeat Analysis) validée par une technique publiée (MLST, Multi Locus Sequence Type), moinsdiscriminante. La virulence chez le lapin, de 5 souches représentatives de chacun des groupes génétiques les plus fréquents, a été mesurée in vivo après infection intra-nasale ou sous-cutanée. Cette dernière voie a été retenue pour tester les virulences de 20 souches représentatives de la collection. Une grande variabilité de leurs virulences a été observée ainsi qu’une variabilité individuelle des lapins quant à leur capacité à contrôlerl’infection

    Premiers résultats du projet RELAPA : génomique pour la résistance génétique des lapins à la pasteurellose

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    Session : GénétiqueParticipation à cette étude : Plateforme d'Infectiologie Expérimentale (PFIE) UE 1277 - Nouzilly Centre Inra Val de LoireLa pasteurellose est la première cause de mortalité des femelles en élevage cunicole. Le projet RELAPA (Génomique pour la REsistance génétique des LApins à la PAsteurellose) a pour objectif de mettre en évidence des régions du génome associées à la réponse à la pasteurellose. Pour ce faire, 955 lapins ont été inoculés à 6 semaines d’âge avec une souche de Pasteurella multocida pyogène et suivis pendant 14 jours. La réponse des animaux était très variable, avec 7% de lapins résistants (sans aucun symptôme de pasteurellose et sans Pasteurella multocida détectée dans les organes) et 11% d’animaux très sensibles (morts ou euthanasiés pendant l’essai avec des Pasteurella multocida détectées). L’effet du père sur les caractères mesurés est très significatif, ce qui laisse présager l’existence d’une variabilité génétique importante dans la résistance à la pasteurellose
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