27 research outputs found

    Sentinel laboratory compliance with best practices in Burkina Faso’s antimicrobial resistance surveillance network

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    Background: Standardising procedures is the best way to harmonise and strengthen the quality of laboratory-based antimicrobial resistance surveillance. Since 2018, Burkina Faso has developed and disseminated the national manual of procedures for performing antibiotic susceptibility tests in sentinel laboratories within its national antimicrobial resistance surveillance network. Objective: Our study aimed to assess these sentinel laboratories’ compliance with good practices for antibiotics susceptibility tests. Methods: Four teams evaluated the antimicrobial resistance sentinel sites laboratories throughout Burkina Faso from 19 to 28 September 2022. Eighteen out of 19 sentinel laboratories were evaluated. A four-member technical committee designed and validated the evaluation tool composed of three Microsoft Excel sheets. The evaluation emphasised quality controls for culture media, antibiotic discs and compliance with antimicrobial susceptibility testing procedures by the laboratories. Excel software was used for data recording and graphs and table design. The free R software version 4.2.0 was used for descriptive statistics. An overall score below 80% was considered noncompliance. Results: Most (83.33%) of the sentinel laboratories conducted at least one quality control activity for culture media, and 66.67% conducted at least one quality control activity for antibiotic discs. Over three-quarters (76.47%) of the laboratories were more than 80% compliant with the modified Kirby Bauer antimicrobial susceptibility testing method. Conclusion: The evaluation revealed the noncompliance of sentinel laboratories with the national procedure manual, particularly in the quality control component. What this study adds: This study has provided baseline data on the sentinel laboratories’ compliance with the national antimicrobial susceptibility testing procedures manual, particularly in areas performing quality control checks or meeting quality indicators for culture media and antibiotic discs

    La qualité de la dépense publique dans les pays en développement : mesure et déterminants

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    A partir d'une base de données concernant 192 pays de 1990 à 2015, l’analyse empirique menée vise à mesurer la qualité de la dépense publique dans les pays en développement. La méthodologie proposée ici comprend trois étapes : (1) la construction et le calcul d'un indicateur unidimensionnel de résultats des dépenses publiques, (2) la mesure de l’efficience des dépenses publiques fondée sur une approche à frontières stochastiques et utilisant l’indicateur unidimensionnel de résultats comme output dans l’estimation et (3) une analyse de quelques effets de certains facteurs sur les scores d’efficience obtenus, avec une attention particulière portée à l’endettement. Une application en ligne a été élaborée, disponible à l’adresse : https://data.cerdi.uca.fr/afd-pubexp/. Elle permet de télécharger les données, répliquer les résultats et d'en développer d'autres en modifiant certaines pondérations, la période ou les pays étudiés ou en intégrant des données complémentaires.L’Afrique et l’Asie du Sud accusent un certain retard avec respectivement des scores d’efficience de 0,55 et 0,66, tandis que l’efficience moyenne sur la période est de 0,71. L’Asie du Sud, le Moyen Orient et l’Amérique latine sont au même niveau tandis que le classement est dominé par des pays européens et d’Amérique du Nord. L’analyse par niveau de revenu montre une amélioration de l’efficience à mesure que le niveau de revenu du pays augmente : les pays à faible revenu sont ceux qui ont le niveau d’efficience les plus faibles. Les pays de l’OCDE sont caractérisés par une dispersion faible en général. Les pays à revenu élevé non-membre de l’OCDE ont également de bons scores mais sont caractérisés par une plus grande hétérogénéité, en particulier pour les pays du Moyen Orient, de l’Amérique Latine et des Caraïbes. Dans toutes les régions du monde et quel que soit le niveau de revenu, l’indicateur de résultats s’est amélioré depuis 1990

    Tax effort in Sub-Saharan African countries : evidence from a new dataset

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    This paper proposes (i) a new database of tax revenue for 42 Sub-Saharan African countries (SSA) over the period 1980-2015, (ii) an estimate of tax effort for these countries, and (iii) some replication analyses of previous tax effort estimations. The database results from statistical information of the African Department of the International Monetary Fund (IMF). In particular, it allows distinguishing tax revenue from the natural resource sector from the other economic sectors. SSA countries collected on average 13.2 percent of GDP in non-resource tax revenue over the studied period and their average estimated tax effort is 0.58. In other words, SSA countries could raise 22.75 percent of GDP in non-resource taxes if they fully used their potential. In line with previous analyses, we find that countries’ stage of development measured by per-capita income, financial development, and trade openness are important factors improving tax revenue in the region, while natural resource endowment and the importance of the agriculture sector reduce unambiguously the non-resource tax-to-GDP ratio. Finally, beyond the originality of the database itself and the empirical results, this work participates explicitly to the replication principle given its online development with R software (https://data.cerdi.uca.fr/taxeffort/)

    Effort fiscal en Afrique subsaharienne : les résultats d’une nouvelle base de données

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    International audienceTax Effort in Sub-Saharan African Countries: Evidence from a New DatasetThis paper proposes (i) a new database of tax revenue for 42 sub-Saharan African countries (SSA) over the period 1980–2015, (ii) an estimate of the tax effort for these countries, and (iii) some replication analyses of previous tax effort estimations. The database results from the statistical information of the African Department of the International Monetary Fund (IMF). In particular, it makes it possible to distinguish tax revenue from the natural resource sector from that of other economic sectors. SSA countries collected on average 13.2 percent of GDP in non-resource tax revenue over the period studied, and their average estimated tax effort is 0.57. In other words, SSA countries could raise 23.2 percent of GDP in non-resource taxes if they fully used their tax potential. In line with previous analyses, we find that countries’ stage of development measured by per-capita income, their financial development, and their trade openness are important factors improving tax revenue, while natural resource endowment and the importance of the agriculture sector reduce unambiguously the non-resource tax-to-GDP ratio. Finally, beyond the originality of the database itself and the empirical results, this work participates explicitly in the replication principle, given its online development with R software (https://data.cerdi.uca.fr/taxeffort/)

    La qualité de la dépense publique dans les pays en développement : mesure et déterminants

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    A partir d'une base de données concernant 192 pays de 1990 à 2015, l’analyse empirique menée vise à mesurer la qualité de la dépense publique dans les pays en développement. La méthodologie proposée ici comprend trois étapes : (1) la construction et le calcul d'un indicateur unidimensionnel de résultats des dépenses publiques, (2) la mesure de l’efficience des dépenses publiques fondée sur une approche à frontières stochastiques et utilisant l’indicateur unidimensionnel de résultats comme output dans l’estimation et (3) une analyse de quelques effets de certains facteurs sur les scores d’efficience obtenus, avec une attention particulière portée à l’endettement. Une application en ligne a été élaborée, disponible à l’adresse : https://data.cerdi.uca.fr/afd-pubexp/. Elle permet de télécharger les données, répliquer les résultats et d'en développer d'autres en modifiant certaines pondérations, la période ou les pays étudiés ou en intégrant des données complémentaires.L’Afrique et l’Asie du Sud accusent un certain retard avec respectivement des scores d’efficience de 0,55 et 0,66, tandis que l’efficience moyenne sur la période est de 0,71. L’Asie du Sud, le Moyen Orient et l’Amérique latine sont au même niveau tandis que le classement est dominé par des pays européens et d’Amérique du Nord. L’analyse par niveau de revenu montre une amélioration de l’efficience à mesure que le niveau de revenu du pays augmente : les pays à faible revenu sont ceux qui ont le niveau d’efficience les plus faibles. Les pays de l’OCDE sont caractérisés par une dispersion faible en général. Les pays à revenu élevé non-membre de l’OCDE ont également de bons scores mais sont caractérisés par une plus grande hétérogénéité, en particulier pour les pays du Moyen Orient, de l’Amérique Latine et des Caraïbes. Dans toutes les régions du monde et quel que soit le niveau de revenu, l’indicateur de résultats s’est amélioré depuis 1990

    Effort fiscal en Afrique subsaharienne : les résultats d’une nouvelle base de données

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    International audienceTax Effort in Sub-Saharan African Countries: Evidence from a New DatasetThis paper proposes (i) a new database of tax revenue for 42 sub-Saharan African countries (SSA) over the period 1980–2015, (ii) an estimate of the tax effort for these countries, and (iii) some replication analyses of previous tax effort estimations. The database results from the statistical information of the African Department of the International Monetary Fund (IMF). In particular, it makes it possible to distinguish tax revenue from the natural resource sector from that of other economic sectors. SSA countries collected on average 13.2 percent of GDP in non-resource tax revenue over the period studied, and their average estimated tax effort is 0.57. In other words, SSA countries could raise 23.2 percent of GDP in non-resource taxes if they fully used their tax potential. In line with previous analyses, we find that countries’ stage of development measured by per-capita income, their financial development, and their trade openness are important factors improving tax revenue, while natural resource endowment and the importance of the agriculture sector reduce unambiguously the non-resource tax-to-GDP ratio. Finally, beyond the originality of the database itself and the empirical results, this work participates explicitly in the replication principle, given its online development with R software (https://data.cerdi.uca.fr/taxeffort/)

    Reducing Human-Tsetse Contact Significantly Enhances the Efficacy of Sleeping Sickness Active Screening Campaigns: A Promising Result in the Context of Elimination

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    Background Control of gambiense sleeping sickness, a neglected tropical disease targeted for elimination by 2020, relies mainly on mass screening of populations at risk and treatment of cases. This strategy is however challenged by the existence of undetected reservoirs of parasites that contribute to the maintenance of transmission. In this study, performed in the Boffa disease focus of Guinea, we evaluated the value of adding vector control to medical surveys and measured its impact on disease burden. Methods The focus was divided into two parts (screen and treat in the western part; screen and treat plus vector control in the eastern part) separated by the Rio Pongo river. Population census and baseline entomological data were collected from the entire focus at the beginning of the study and insecticide impregnated targets were deployed on the eastern bank only. Medical surveys were performed in both areas in 2012 and 2013. Findings In the vector control area, there was an 80% decrease in tsetse density, resulting in a significant decrease of human tsetse contacts, and a decrease of disease prevalence (from 0.3% to 0.1%; p=0.01), and an almost nil incidence of new infections (1%, p<0.0001) with a disease prevalence increasing slightly (from 0.5 to 0.7%, p=0.34). Interpretation Combining medical and vector control was decisive in reducing T. b. gambiense transmission and in speeding up progress towards elimination. Similar strategies could be applied in other foci
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