Female copulation calls vary with male ejaculation in��captive olive baboons

�� 2020 The Authors. Published by Brill. This is an open access article available under a Creative Commons licence. The published version can be accessed at the following link on the publisher���s website: https://doi.org/10.1163/1568539X-bja10024Copulation calls are mating-associated vocalizations that are common in primates, with females vocalizing after copulation in several Old World monkeys and apes. Baboon females typically produce copulation calls that correlate with fertile phase. Calls are, thus, regarded as an upshot of cycle physiology and sexually selected calls. Here, we describe three captive troops of olive baboons wherein, against expectation, females suppressed vocalizing during copulations. Vaginal cytology, together with sexual swelling observations, confirmed that females experienced full receptive cycles. Ovulation did not affect vocal probability during sex, while copulation calls were predicted by male ejaculation just as in other Old World primate species. Results cast doubt on the existence of physiological triggers for baboon copulation calls. Social factors may instead play a larger role. Alterations in social structure (as typically observed in the wild) may be implemented strategically as captive enrichment in order to reveal how females in highly social primates change sexual strategies and, therefore, the use of their copulation calls.This study was funded by a Marie Sk��odowska-Curie Intra European Fellowship within the 7th European Commission Framework Programme (Grant Agreement No. 2012-327083) to S.V. This project has also received funding from the Department of Anthropology���s Research Fund ��� Durham University to S.V.Published versio

Atteinte rénale au cours de la sarcoidose, étude rétrospective multicentrique de 47 observations

Afin de mieux décrire le phénotype clinique, biologique, anatomopathologique de J'atteinte rénale au cours de la sarcoïdose, nous avons réalise une étude rétrospective multicentrique dans les centres hospitaliers de Picardie et d'île de France. Nous avons inclus 47 patients. La sarcoïdose rénale revêt de manière caricaturale l'aspect d'une néphropathie tubolo intestitielle granulomateuse révélée le plus souvent par une insuffisance rénale aigué avec peu d'anomalies du sédiment urinaire. Elle s'intègre le plus souvent dans un tableau clinique de sarcoïdose systémique sévère avec d'autres atteintes extra thoraciques. Elle atteint plus souvent les hommes que les femmes, s'accompagne de signes généraux et d'une fréquence plus élevée d'hypercalcémie que dans la sarcoidose commune. Nous avons observé une amélioration statistiquement significative de la créatinine et du débit de filtration glomérulaire estimé à 1 mois (p0,001) sous traitement par corticoïdes. Les facteurs de bon pronostic individualisés de la réponse à un an, sont l'hypercalcémie et Je réponse à un mois. Malgré une efficacité indéniable de la corticothérapie deux tiers des patients évoluent vers l'insuffisance rénale chronique, d'autres thérapeutiques comme les immunosuppresseurs, et les bolus de methylprednisolone restent à évaluerAMIENS-BU Santé (800212102) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

Hyperferritinémies et insulinorésistance

Introduction : Le rôle de la ferritine dans l'insulinorésistance se pose devant des cas de patients non hémochromatosiques au profil métabolique qui semble homogène.Méthode ~ description de 73 patients hyperferritinémiques idiopathiques exclusion faite des génotypes homozygotes et hétérozygotes composites pour les mutations C282Y et H63D du gène HFE. Résultats et discussion : Notre population comprend 25 femmes (âge moyen 59,5 ans) et 48 hommes (âge moyen 56,2 ans). La feffitinémie est plus élevée chez les hommes, mais ne varie pas selon l'âge, ni le statut hormonal des femmes. Le coefficient de saturation de la transferrine est normal. La ferritinémie est corréfée au taux de triglycérides et inversement corrélée au taux de HDL cholestérol. Les patientes se plaignent à 72% d'asthénie et 72% de douleurs articulaires contre 48,9% et 56,3% chez les hommes. Ce sont des polyarthralgies mécaniques quiii touchent les grosses articulations (52,1% des cas) et les petites articulations des mains et des pieds (20,6% des cas). Une forte prévalence des facteurs de risque cardiovasculaire constitutionnels contraste avec une faible prévaience des maladies cardiovasculaires avérées: 43,8% d'HTA, 61,6% d'hypercholestérolémie, 37,5% d'hypertfigJycéfidémie. 42,9% des patients sont en surpoids et 45,7% sont obèses. En fonction des critères NCEP ou IDF, la prévalence de l'obésité abdominale est de 84 et 920/a chez les femmes et de 65 et 94% chez les hommes. Selon les mêmes critères, 40 à 68% des femmes et 43,5 à 72,9% des hommes ont un syndrome métabolique. La ferritinémie est plus importante et l'insulinorésistance plus fréquente chez ces patients. Un index HOMA>2 est retrouvé chez 46% des femmes et 59% des hommes. a ferritinémie semble plus élevée dans ce sous groupe mais la significativité est limite (p=0,0693). L'index HOMA est corrélé au tour de taille, à PIMC et inversement corréfé au HDL cholestérol. 20% de nos patients sont hétérozygotes pour la mutation C282Y du gène HFE, 37% pour la mutation H63D et aucun pour la mutation S65C. Les mutations étudiées n'influent pas sur l'existence d'une insulinorésistance, ni sur la ferritinémie. Mais la prévalence de l'hétérozygotie C282Y est plus importante chez nos patients compar à une population témoin non hyperferritinémique (2D,5% versus 7%; p= 0003_ occis ratio= 3,42). Cette différence de prévalence n'est pas clairement é blie pour, les hétérozygotes H63D (37% versus 27,5%; p=0,0584). Conclusion : Nos patients hyperferritinémiques ont un morphotype commun surpoids et obésité abdominale. Les douleurs articulaires et l'asthénie ont une prévalence élevée. La moitié de la population est insulinorésistante avec des facteurs de risque associés (HTA, dyslipidémie) sans pathologie cardiovasculaire avérée. L'hyperferritinémie est associée au syndrome métabolique et à l'hétérozygôfie C282Y. L'association avec l'insulinorésistance mérite une consolidation des résultàtà,~ La ferritine acteur au témoin de l'insulinorésistance, deviendra certainement dans l'avenir un facteur prédictif du risque cardiovasculaire globalAMIENS-BU Santé (800212102) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

La maladie de still de l'adulte (étude rétrospective à partir de 11 cas)

A partir d'un étude de 11 cas, nous avons essayé d'établir des facteurs diagnostics, pronostics et évolutifs de la maladie de Still de l'adulte. Auncun facteur n'a pu être individualisé. Même si la triade Hyperthermie, Arthralgies et Eruption cutanée est évocatrice, nous avons encore besoin de recourir à des classifications comme celle de Yamaguchi pour faire ce difficile diagnostic. La ferritine totale ainsi que la ferritine glycosylée semblent être des éléments évocateurs de MSA. De futures études devraient en faire un marqueur biologique utile.AMIENS-BU Santé (800212102) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

Infections respiratoires opportunistes survenues sous anti-TNFa au centre hospitalier universitaire de Limoges 2001-2004

LIMOGES-BU Médecine pharmacie (870852108) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

MALADIE DE HORTON REVELEE PAR UNE ARTERITE DU MEMBRE SUPERIEUR (A PROPOS DE TROIS OBSERVATIONS)

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Evolution de l'autonomie chez les personnes âgées un an après une endocardite infectieuse (à propos de 81 cas)

L'endocardite infectieuse reste de nos jours une pathologie grave avec une mortalité encore très élevée. Dans les années 50 le pic d'incidence de cette pathologie se situait à 30ans ; à 50 ans dans les années 80, et aujourd'hui il se situe plutôt à 60 ans. Hors, les patients de cet âge, voire plus, ont le plus souvent d'autres pathologies associées (diabète, HTA, etc.?). C'est pourquoi il nous a semblé intéressant d'étudier le retentissement sur l'autonomie de cette maladie de plus en plus fréquente chez les personnes de 60 ans et plus, après une période de 1 an. Cette étude est rétrospective et prend en compte 81 patients de plus de 60 ans qui ont présenté une endocardite du cœur droit et gauche de 1995 à 2000, suivis au CHU d'Amiens dans le service de cardiologie. Tout d'abord, l'on peut constater une mortalité très importante (36.5%), et essentiellement dans les 2 premiers mois suivant l'endocardite. Pour les patients ayant passé ce cap difficile, nous ne remarquons pas de détérioration franche de l'autonomie selon les critères que nous avons retenus (le lieu de vie et le besoin d'aide pour effectuer les gestes du quotidien). Afin de préciser ces résultats, il serait utile de réaliser une étude prospective randomisée.AMIENS-BU Santé (800212102) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

L'épidémie de choléra à Amiens en 1832

En 1832 survient la deuxième pandémie de choléra, née des confins du Bengale, la première d'une grande violence et qui fera plus de 100000 morts en France cette année là. Amiens ne fut pas épargné, loin de là, et l'épidémie y fit plus de 900 morts. La mobilisation fut intense et le courage acharné des médecins amiénois fut exemplaire. Cependant, malgré des descriptions cliniques et anatomo-pathologiques très détaillées, l'agent pathogène du choléra n'était pas encore identifié et les traitements proposés furent le fruit du bon sens ou d'un charlatanisme archaïque. Le corps médical cherchait la clé sans la trouver mais ce fléau fut le point de départ d'une mobilisation scientifique intense à laquelle les médecins amiénois sont intimement liés et qui amènera progressivement les hommes à la révolution pasteurienne et aux débuts de la santé publiqueAMIENS-BU Santé (800212102) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF