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Extensive recombination events and horizontal gene transfer shaped the Legionella pneumophila genomes
<p>Abstract</p> <p>Background</p> <p><it>Legionella pneumophila </it>is an intracellular pathogen of environmental protozoa. When humans inhale contaminated aerosols this bacterium may cause a severe pneumonia called Legionnaires' disease. Despite the abundance of dozens of <it>Legionella </it>species in aquatic reservoirs, the vast majority of human disease is caused by a single serogroup (Sg) of a single species, namely <it>L. pneumophila </it>Sg1. To get further insights into genome dynamics and evolution of Sg1 strains, we sequenced strains Lorraine and HL 0604 1035 (Sg1) and compared them to the available sequences of Sg1 strains Paris, Lens, Corby and Philadelphia, resulting in a comprehensive multigenome analysis.</p> <p>Results</p> <p>We show that <it>L. pneumophila </it>Sg1 has a highly conserved and syntenic core genome that comprises the many eukaryotic like proteins and a conserved repertoire of over 200 Dot/Icm type IV secreted substrates. However, recombination events and horizontal gene transfer are frequent. In particular the analyses of the distribution of nucleotide polymorphisms suggests that large chromosomal fragments of over 200 kbs are exchanged between <it>L. pneumophila </it>strains and contribute to the genome dynamics in the natural population. The many secretion systems present might be implicated in exchange of these fragments by conjugal transfer. Plasmids also play a role in genome diversification and are exchanged among strains and circulate between different <it>Legionella </it>species.</p> <p>Conclusion</p> <p>Horizontal gene transfer among bacteria and from eukaryotes to <it>L. pneumophila </it>as well as recombination between strains allows different clones to evolve into predominant disease clones and others to replace them subsequently within relatively short periods of time.</p
Description des communautés bactériennes pulmonaires associées à la présence de Pseudomonas Aeruginosa chez des patiens atteints de mucoviscidose
LYON1-BU Santé (693882101) / SudocSudocFranceF
Chlamydia trachomatis et infertilité tubaire (étude des données 2011-2012 du service de la reproduction de l'Hôpital femme-mère-enfant (HFME) de Lyon)
Chlamydia trachomatis est une bactérie intracellulaire obligatoire responsable de multiples infections notamment localisées au niveau du système génital. Elle représente la première cause d'infections sexuellement transmissibles dans le monde. Ces infections souvent asymptomatiques ne sont pas pour autant inoffensives. En effet, de multiples complications peuvent apparaître dans les années suivant la contamination. Une des complications les plus préoccupantes à ce jour est représentée par l'infertilité tubaire chez la femme. En effet, la bactérie entraîne de graves lésions des trompes de Fallope pouvant aboutir à cette infertilité. Le diagnostic de cette bactérie est désormais facilité par les techniques de biologie moléculaire avec amplification apparues ces dernières années. Les autorités telles que l'ANAES ou l'OMS par exemple, énoncent l'intérêt qu'aurait un dépistage systématique de cette bactérie sur le portage, la contamination et donc les complications. Plusieurs techniques d'Assistance Médicale à la Procréation peuvent être utilisées afin de permettre aux femmes atteintes par ces troubles de devenir mère. Dans ce contexte, l'objectif de ce travail est d'estimer la proportion de femmes prises en charge par le service de la reproduction de l'hôpital Femme-Mère-Enfant de Lyon en 2011 et 2012 dans le cadre d'une infertilité tubaire due à Chlamydia trachomatis. Ainsi, après avoir rappelé les différents examens utilisés lors d'un bilan d'infertilité et les différentes techniques d'Assistance Médicale à la Procréation utilisées lors d'infertilités tubaires, les dossiers des femmes ayant subi une FIV/FIV-ICSI (Fécondation In Vitro/Fécondation In Vitro - Intra-Cytoplasmic Sperm Injection) ont été étudiés un à un afin d'identifier une possible imputabilité de Chlamydia trachomatis. Cette étude a mis en évidence un nombre faible mais non négligeable de femmes atteintes de complications imputables à Chlamydia trachomatis au vu des moyens de diagnostic et des traitements disponibles pour lutter contre cette infectionLYON1-BU Santé (693882101) / SudocSudocFranceF
Création du site internet du Laboratoire de Microbiologie de la Faculté de Pharmacie de Lyon 1 et développement de fiches pratiques destinées aux étudiants
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Analyse d'anticorps monoclonaux anti-pseudomonas aeruginosa (mise au point d'un modèle expérimental)
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Mise au point et évaluation d'un modèle dynamique de formation de biofilms à Staphylococcus epidermidis sur des implants intra-oculaires
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Prise en charge des plaies superficielles, brûlures, piqûres et morsures à l'officine
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