70 research outputs found

    Station de travail de Bafoulabe : rapport trimestriel (avril-mai-juin)

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    Evaluation des performances agromorphologiques de neuf varietes ameliorees de riz de bas-fond (05 nerica et 04 sativa) au sud-ouest de la Cote d’Ivoire (Departement de Gagnoa, region de goh)

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    Le riz est la première cĂ©rĂ©ale consommĂ©e en CĂ´te d’Ivoire. La production nationale, estimĂ©e Ă  683 671 tonnes de riz blanchi en 2008, ne couvre que  la moitiĂ© des besoins de consommation. Pour combler ce dĂ©ficit, de nombreuses variĂ©tĂ©s de riz plus performantes ont Ă©tĂ© crĂ©Ă©es ou sĂ©lectionnĂ©es.Les travaux d’expĂ©rimentation ont portĂ© sur l’évaluation de 09 variĂ©tĂ©s amĂ©liorĂ©es de riz. Ils se sont dĂ©roulĂ©s sur la station de recherche du CNRA Ă  Gagnoa. Le dispositif utilisĂ© est de type split-split plot, comportant 4 niveaux d’azote (0, 30, 60, et 120 kg N ha-1), trois niveaux de phosphore (0, 13, et 26 kg P ha-1) et 10 variĂ©tĂ©s de riz de bas-fond (5 variĂ©tĂ©s de Nerica, 4 variĂ©tĂ©s de Sativa amĂ©liorĂ©es et une variĂ©tĂ© traditionnelle Djoukèmin). Les variĂ©tĂ©s testĂ©es ont des cycles culturaux variables et compris entre 112 Jours Après Semis (JAS) Nerica L19 et Nerica L41) et 147 JAS (Djoukèmin). Les variĂ©tĂ©s Nerica L60 et Nerica L20, avec une moyenne respective de 170 et 160 talles/m² ont prĂ©sentĂ© un bon tallage. Les variĂ©tĂ©s Nerica L60, Nerica L41 et Sativa FKR19 ont eu un rendement de grains de plus de 3,3 t/ha sans apport d’engrais. Mots-clĂ©s : Riziculture irriguĂ©e, rendement, Sativa, Nerica, CĂ´te d’Ivoire English title: Evaluation of agro-morphological performance improved varieties of lowland rice Rice is the first cereal consumed in CĂ´te d’Ivoire. National production, estimated at 683,671 tonnes of milled rice in 2008, covers only half of  consumption needs. To fill this gap, in addition to the development of irrigated rice production, many rice varieties with good characteristics have been created or selected. Thus, experimental work on the evaluation of 09 improved rice varieties were carried out at the CNRA research station in Gagnoa. The device used is a split-split plot type, with 4 nitrogen levels (0, 30, 60, and 120 kg N ha-1), three phosphorus levels (0, 13, and 26 kg P  ha-1) and 10 lowland rice varieties (5 varieties of Nerica, 4 improved Sativa varieties and a traditional Djoukèmin variety). The varieties tested have variable crop cycles and range from 112 days after sowing (JAS) (Nerica L19 and Nerica L41) to 147 JAS (Djoukèmin). The varieties Nerica L60 and Nerica L20, with an average of 170 and 160 tillers per square met with good tillering respectively. The varieties Nerica L60, Nerica L41 and Sativa FKR19 had a grain yield of more than 3.3 t/ha without fertilizer. Keywords: Irrigated rice cultivation, yield, Sativa, Nerica, CĂ´te d’Ivoir

    Les hybridations interspecifiques dans le genre Phaseolus : selection des genotypes compatibles et caracterisation des hybrides interspecifiques

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    La réussite de l’introgression de caractères utiles chez le haricot commun P. vulgaris à partir des deux espèces P. coccineus et P. polyanthus dépend en partie des génotypes utilisés. Ce travail vise à identifier des génotypes de Phaseolus compatibles lors des hybridations interspécifiques et à identifier les hybrides issus des croisements entre P. vulgaris utilisé comme parent mâle et les deux autres espèces utilisées comme parents femelles. Dans les croisements P. coccineus x P. vulgaris, le taux de gousses avortées audelà de 8 JAP est d’environ 12 %. Quatre gousses supposées hybrides ont été obtenues. Pour les hybridations P. polyanthus x P. vulgaris, le taux de gousses avortés au-delà de 8 JAP est d’environ 18 % et une seule gousse supposée hybride a été produite. Les hybrides issus des deux combinaisons interspécifiques ont été mis en évidence au moyen de caractères morphologiques et grâce à un marqueur moléculaire microsatellite. Les génotypes retenus pour leur bonne aptitude à la combinaison, en tenant compte des taux d’avortement au-delà de 8 JAP, sont les suivants : NI637 et G21245 pour P. vulgaris, NI889 et NI16 pour P. coccineus, NI1015 et G35348 pour P. polyanthus. Mots clés : Phaseolus, hybridations interspécifiques, caractères morphologiques, marqueur microsatellite (SSR).INTERSPECIFIC HYBRIDIZATIONSWITHIN THE GENUS PhaseolusSuccessful introgression of useful traits in common bean P. vulgaris from the two species P. coccineus and P. polyanthus depends in part to genotypes used. This work aims to identify genotypes of Phaseolus compatible during interspecific crosses and to identify hybrids from crosses between P. vulgaris used as male parent and the other two species used as female parents. In crosses P. coccineus x P. vulgaris, the rate of pod abortion 8 days after pollination (DAP) is around 12 %. Four putative hybrid pods were obtained. For hybridizations P. polyanthus x P. vulgaris, the rate of pod abortion 8 DAP is around 18 % and one putative hybrid pod was produced. The hybrid nature of one plant from each interspecific combination was confirmed using morphological characters and one microsatellite molecular marker. Genotypes selected for good combining abilities, considering pod abortion rates 8 DAP are NI637 and G21245 for P. vulgaris, NI889 and NI16 for P. coccineus, NI1015 and G35348 for P. polyanthus.Keywords : Phaseolus, interspecific hybridizations, morphological characters, microsatellite marker (SSR)

    Caractérisation et évaluation des vivriers dans un système d’exploitation agricole à base de coton dans le département de Sinématiali – Côte d’Ivoire

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    La présente étude visait à caractériser les systèmes d’exploitation agricoles à base de coton, puis d’évaluer l’importance des vivriers dans ces  systèmes. Elle a été conduite sur un échantillon de 40 exploitants agricoles répartis dans 8 villages de Sinématiali. Les résultats ont indiqué que les systèmes dominants sont le maïs (3,675 ha) et le coton (3,14 ha). Ensuite viennent, l’arachide (1,125 ha), le riz (0,906 ha) le haricot (0,306 ha), le mil (0,297 ha) et l’igname (0,194 ha). Par ailleurs, le compte  d’exploitation révèle que les vivriers ont les marges nettes à l’hectare les plus élevés avec respectivement 245 727,5 FCFA, pour le riz ; 58 004,7 FCFA pour le maïs ; 209 738,4 FCFA pour l’arachide et 239 472 FCFA pour le mil contre 5 085,1 FCFA pour le coton. L’analyse du ratio de la marge brute sur le coût variable totale montre que 1 FCFA investi sur les parcelles de vivriers rapporte respectivement 4,09 F ; 1,54 F ; 7,44 F et 12,09 FCFA pour le riz, le maïs, l’arachide et le mil contre 0,36 FCFA pour le coton. Aussi, cette étude indique que les vivriers contribuent à hauteur de 98%, au revenu annuel du paysan contre 2% pour le coton. Malgré cette faible contribution du coton dans les revenus du paysan, sa culture permet aux exploitants d’accéder aux intrants et aux matériels agricoles modernes pour accroître les superficies et les rendements agricoles.Mots clés : Systèmes de culture, coton, vivriers, marge brute, Côte d’Ivoire

    HYDROGEOBAT : Impacts géologiques et géotechniques des mouvements de nappes phréatiques sur le bâti: analyse, mesure, simulation, prévention. Rapport final

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    285 p.En contexte de plaine alluviale, l'hydrodynamique des nappes d'eau souterraines joue un rôle important dans le processus d'inondation. De plus, dans un environnement urbain, les conditions d'occupation du sous-sol : parkings souterrains, galeries diverses, etc. modifient considérablement les conditions d'écoulement, constituant généralement des obstacles. Le principal objectif du projet HYDROGEOBAT a été l'analyse des divers impacts géotechniques sur les constructions (fondations de bâtiments et ouvrages souterrains) qui résultent de fluctuations des niveaux piézométriques, spécialement en contexte d'inondation. Les applications réalisées concernent la ville de Paris. La méthodologie mise en oeuvre, de caractère transdisciplinaire, peut être décrite en cinq étapes. Dans une première étape, une synthèse portant sur les différents processus impliqués dans les interactions entre eaux souterraines et ouvrages a été réalisée. Les processus sont, par exemple, les impacts des fluctuations de niveaux piézométriques sur les caractéristiques physico-chimiques, hydro-mécaniques et géotechniques des sols, la modification de la stabilité interne de matériaux granulaires soumis aux forces d'écoulement, le gonflement ou le retrait de sols argileux, la réactivation de fontis, etc. Dans une deuxième étape, on a choisi un ensemble de situations types dans Paris, avec des contextes variés sur le plan géologique et hydrogéologique, et sur le type de structures souterraines, leurs positions par rapport à la Seine et leurs interactions avec les eaux souterraines. Puis, dans une troisième étape, des simulations numériques hydrogéologiques variées, prenant en compte diverses conditions hydrauliques aux limites, différents scénarios de crue, différentes positions de structures souterraines, ont été réalisées grâce à plusieurs types d'outils de modélisation. L'objectif a été d'analyser les réponses de systèmes hydrogéologiques (incluant les modifications anthropiques des aquifères, telles que des obstacles représentés par des structures linéaires : galeries et tunnels) à différentes sollicitations hydrauliques associées à des contextes de crue. Des analyses paramétriques ont permis de souligner le rôle des conditions aux limites, l'influence des aménagements souterrains, les interactions entre le contexte géologique originel et les modifications apportées par l'homme. Les résultats des approches hydrogéologiques ont été utilisés pour les simulations géomécaniques dans une quatrième étape. Ces simulations numériques ont permis d'illustrer les conséquences sur le plan mécanique des fluctuations de niveaux piézométriques dans un environnement urbain, en contexte de crue. Puis, dans une cinquième étape, les analyses et mesures d'impacts passés sur les constructions, en rapport avec des situations de crue, ont été étudiés grâce aux techniques interférométriques radar. Les faibles déplacements de surface ont été mesurés par l'interférométrie différentielle radar satellitaire DinSar et l'interférométrie PSI (Persistent Scatterer Interferometry). Pour cette application, des images SAR d'archive sélectionnées pour différentes dates depuis 1992 ont été utilisées, mais la technique PSI est apparue la plus intéressante compte tenu de la présence de nombreux réflecteurs radar en milieu urbain. Les données hydrogéologiques fournies par IGC-Ville-de-Paris ont été utilisées pour l'analyse des différents résultats obtenus soit par les simulations numériques, soit par les techniques interférométriques. Finalement, le projet HYDROGEOBAT a permis d'étudier plusieurs facettes du sujet, très ouvert, concernant les impacts des mouvements de nappes phréatiques sur le bâti. Les rôles et les limites de la modélisation ont été précisés au travers de différentes approches. Le champ d'application des techniques interférométriques (méthode PSI) pour les mesures des faibles déplacements a été cerné. Quelques difficultés qu'il convient de surmonter doivent être soulignées : 1) un réseau piézométrique de qualité, renforcé par rapport à l'actuel, est nécessaire à Paris et en banlieue ; 2) une base de données relative aux éléments naturels et artificiels constituant le sous-sol de Paris doit être élaborée sous SIG ; 3) un modèle hydrogéologique de Paris et sa banlieue, plus élaboré, est nécessaire ; 4) de nouveaux instruments satellitaires bientôt disponibles devraient permettre d'améliorer notre analyse des faibles déplacements au sol, en rapport spécialement avec les mouvements de nappe phréatique. Ainsi, le projet HYDROGEOBAT a permis d'apporter une contribution aux objectifs annoncés et d'améliorer de ce fait nos techniques de prévention concernant le risque d'inondation. L'approche pluridisciplinaire a permis de renforcer le savoir-faire des équipes concernées qui prévoient de poursuivre cette coopération
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