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    Fetal death in utero: epidemiological aspects, management and maternal prognosis in the obstetrics and gynecology department of the community medical centre of Ratoma

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    Background: Fetal death in utero (FDIU) often represents a tragedy badly lived, sometimes incomprehensible. It is considered as a failure of pregnancy's progress and monitoring. It is a frequent problem in obstetrical practice. Objective of study was to contribute to the study of FDIU in the maternity ward of the Ratoma municipal medical center.Methods: This was a prospective study of analytical type conducted over a period of 6 months from 1 January to 30 June 2017.Results: During this study period, we recorded 54 cases of FDIU out of a total of 1256 deliveries, or a frequency of 4.3%. The average age of our patients was 28.5 years with extremes of 16 to 39 years, the most represented age group was 25 to 34 years, with a frequency of 44.4%. The absence of active fetal movement was the main reason for consultation, with a frequency of 51.9%, and housewives were the most affected, with a frequency of 61.1%. The 70.4% of our patients gave birth by vaginal delivery and oxytocin was the most commonly used drug for induction of labor, i.e., 77.8%. The immediate maternal prognosis was 100% favorable and no case of maternal death was recordedConclusions: In-utero fetal death is a frequent obstetrical pathology, the awareness of women for the realization of ANC as well as the early management of risk factors detected during ANC constitutes an element of great importance. Therefore, a regular follow-up of all pregnant women even in the absence of risk factors proves necessary

    L'imparfaite transmission des prix mondiaux aux marchés agricoles d'Afrique Subsaharienne

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    La flambée des prix internationaux des céréales en 2007-2008 et les mouvements sociaux concomitants dans les capitales du Sud ont remis sur le devant de la scène la question de la dépendance alimentaire et de l'interdépendance entre les marchés alimentaires domestiques des pays connaissant des déficits alimentaires récurrents, dont les pays de l'Afrique Sub-saharienne (ASS) en particulier, et le marché international des produits agricoles. C'est dans ce contexte qu'en 2008 la fondation avait demandé au CIRAD de conduire une étude intitulée " La transmission de la hausse des prix internationaux des produits agricoles dans les pays africains ". Les résultats de cette étude soulignaient la diversité des niveaux de transmission en fonction des produits considérés, du degré de substitution ou de complémentarité entre aliments propres aux régimes alimentaires, et en fonction du degré d'extraversion des systèmes alimentaires des pays retenus. La réalisation de cette étude " à chaud ", à partir de séries de prix qui s'arrêtaient par nécessité à la moitié de l'année 2008 constituait une difficulté méthodologique qui n'avait pas permis pas de trancher de façon plus définitive sur la nature des relations entre la dynamique des prix au niveau international et au niveau des marchés domestiques. Afin de renforcer la validité et la portée des résultats obtenus par cette première étude, la fondation FARM a demandé au CIRAD de reprendre l'analyse des processus de transmission des prix sur la base de séries de prix plus longues couvrant l'ensemble du processus depuis la hausse des prix jusqu'à la baisse relative enregistrée depuis la fin de l'année 2008. Cette mise à jour de l'étude de la transmission des prix sur des séries de prix plus longues permet en autres d'analyser avec plus de rigueur les interactions entre prix internationaux et prix domestiques à court terme sur les vingt-quatre derniers mois.(Résumé d'auteur
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