26 research outputs found

    Highly-multiplexed SNP genotyping for genetic mapping and germplasm diversity studies in pea

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    Background: Single Nucleotide Polymorphisms (SNPs) can be used as genetic markers for applications such as genetic diversity studies or genetic mapping. New technologies now allow genotyping hundreds to thousands of SNPs in a single reaction. In order to evaluate the potential of these technologies in pea, we selected a custom 384-SNP set using SNPs discovered in Pisum through the resequencing of gene fragments in different genotypes and by compiling genomic sequence data present in databases. We then designed an Illumina GoldenGate assay to genotype both a Pisum germplasm collection and a genetic mapping population with the SNP set. Results: We obtained clear allelic data for more than 92% of the SNPs (356 out of 384). Interestingly, the technique was successful for all the genotypes present in the germplasm collection, including those from species or subspecies different from the P. sativum ssp sativum used to generate sequences. By genotyping the mapping population with the SNP set, we obtained a genetic map and map positions for 37 new gene markers. Conclusion: Our results show that the Illumina GoldenGate assay can be used successfully for high-throughput SNP genotyping of diverse germplasm in pea. This genotyping approach will simplify genotyping procedures for association mapping or diversity studies purposes and open new perspectives in legume genomics

    Féverole : des outils génétiques d'aide à la sélection

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    National audienceLa fĂ©verole est une lĂ©gumineuse, protĂ©agineuse, partiellement allogame. Pour soutenir cette culture, les partenaires de la filiĂšre (organismes de recherche publique, instituts techniques, interprofession et sĂ©lectionneurs privĂ©s) se fixent les objectifs suivants : (1) AmĂ©liorer la qualitĂ© nutritionnelle de la graine Des variĂ©tĂ©s FEVITAÂź, sans tanin et Ă  faible teneur en vicine-convicine, sont disponibles. Cette composition amĂ©liorĂ©e de la graine assure une valorisation optimale des nutriments par les animaux monogastriques et une rĂ©duction du favisme, chez l’Homme. Des outils de diagnostic pour la teneur en vicine-convicine sont disponibles : la mĂ©thode quantitative ‘HPLC’ ou la mĂ©thode rapide qualitative ‘spectromĂ©trie de masse’ ; les marqueurs molĂ©culaires. (2) Stabiliser les rendements a) AmĂ©liorer la tolĂ©rance aux bruches La bruche affecte la qualitĂ© visuelle et sanitaire des graines, ce qui impacte le dĂ©bouchĂ© vers le marchĂ© de l’alimentation humaine (≀ 3% de graines bruchĂ©es). Et les matiĂšres actives sont inefficaces ! ‱ Pour Ă©tudier le dĂ©terminisme gĂ©nĂ©tique de la tolĂ©rance aux bruches, 2 gĂ©niteurs sont utilisĂ©s pour construire des populations de lignĂ©es recombinantes. - Les dĂ©gĂąts sur les graines sont Ă©valuĂ©s par tomographie. Cette mĂ©thode haut-dĂ©bit de phĂ©notypage permet de quantifier le volume des galeries rĂ©alisĂ©es par les bruches, - Un gĂ©notypage et une dĂ©tection de QTL sont rĂ©alisĂ©s, - Des Ă©tudes transcriptomiques et protĂ©omiques sont rĂ©alisĂ©es dans les conditions de prĂ©sence versus quasi-absence de bruches, - Les ComposĂ©s Organiques Volatiles sont analysĂ©s et comparĂ©s Ă  deux stades de dĂ©veloppement des plantes. ‱ Pour aborder la gĂ©nĂ©tique d’association sur gĂ©nome entier (GWAS), le phĂ©notypage de la tolĂ©rance aux bruches et un sĂ©quençage d’exomes sont rĂ©alisĂ©s sur une Collection de RĂ©fĂ©rence de 248 accessions. b) AmĂ©liorer la rĂ©sistance au froid Les politiques actuelles encouragent la culture des protĂ©agineux, mais la fĂ©verole est confrontĂ©e Ă  la rigueur climatique de l’hiver dans les rĂ©gions du centre et du Nord-Est de la France. ‱ Pour Ă©tudier le dĂ©terminisme gĂ©nĂ©tique de la rĂ©sistance au froid et dĂ©tecter des QTL : - Un gĂ©niteur (-20°C) est utilisĂ© pour construire des populations de lignĂ©es recombinantes. Les RILs sont phĂ©notypĂ©es (Ă©chelle de notation visuelle des dĂ©gĂąts de froid) et gĂ©notypĂ©es. - La Collection de RĂ©fĂ©rence est utilisĂ©e pour la GWAS. ‱ Pour fournir des gĂ©niteurs de rĂ©sistance au froid, un programme de sĂ©lection phĂ©notypique de populations et de lignĂ©es est en cours, via un travail d’évaluation multilocal

    La bruche, Ă©tat des lieux en France : biologie de l’insecte, solutions actuelles limitĂ©es, pistes de recherche

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    La vente des graines de fĂ©veroles, en alimentation humaine est le plus rĂ©munĂ©rateur mais exige un bon niveau de qualitĂ© visuelle avec un taux maximum de 3% de graines bruchĂ©es. Les dĂ©gĂąts de bruches sont des taches et des cavitĂ©s circulaires sur les graines matures. Rappel du cycle de vie et des diffĂ©rents stades de dĂ©veloppements de l’insecte, de sa rĂ©partition gĂ©ographique en France. La forte pression bruche et les difficultĂ©s de maĂźtrise du ravageur prĂ©sentent un frein Ă  la culture de fĂ©verole en France. La bruche de la fĂ©verole est prĂ©sente sur tout le territoire, tandis que la bruche du pois Ă©tant, Ă  l’heure actuelle surtout prĂ©sente dans le sud de la France, mais prĂ©sence sur le territoire s’agrandit, et remonte vers le nord, annĂ©e aprĂšs annĂ©e. La lutte chimique en culture et lors du stockage est la seule solution actuelle contre la bruche. Les matiĂšres actives disponibles pour les producteurs de pois et de fĂ©veroles sont limitĂ©es, peu efficaces et la loi abeille engendre des limites rĂ©glementaires Ă  l’utilisation des insecticides en culture. Pour lors, il n’y a pas de variĂ©tĂ©s commercialisĂ©es de fĂ©veroles ni de pois tolĂ©rantes aux bruches. Vers des recherches de solutions Ă  moyen terme: La sĂ©lection et la recherche se tournent vers de nouvelles pistes pour lutter contre les bruches. L’étude de nouveaux gĂ©notypes de fĂ©verole tolĂ©rants aux bruches, l’intĂ©gration de ces gĂ©notypes d’intĂ©rĂȘt dans des programmes de crĂ©ation variĂ©tale, la recherche de gĂšnes impliquĂ©s dans les mĂ©canismes de tolĂ©rance aux bruches, utilisation de la sĂ©lection assistĂ©e par marqueurs pour complĂ©ter la sĂ©lection variĂ©tale classique. Enfin une derniĂšre piste prometteuse est la mise au point d’un attractif de synthĂšse pour piĂ©ger les bruches de la fĂ©verole. En effet les bruches sont attirĂ©es par l’odeur Ă©mise par les plantes Ă  la floraison, les composĂ©s organiques volatiles pourraient donc devenir de vrais outils de lutte contre ces ravageurs (voir prĂ©sentation EnĂ© Leppik INRA)

    DNA Analysis of Herbarium Specimens of the Grass Weed <em>Alopecurus myosuroides</em> Reveals Herbicide Resistance Pre-Dated Herbicides

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    International audienceAcetyl-CoA carboxylase (ACCase) alleles carrying one point mutation that confers resistance to herbicides have been identified in arable grass weed populations where resistance has evolved under the selective pressure of herbicides. In an effort to determine whether herbicide resistance evolves from newly arisen mutations or from standing genetic variation in weed populations, we used herbarium specimens of the grass weed Alopecurus myosuroides to seek mutant ACCase alleles carrying an isoleucine-to-leucine substitution at codon 1781 that endows herbicide resistance. These specimens had been collected between 1788 and 1975, i.e., prior to the commercial release of herbicides inhibiting ACCase. Among the 734 specimens investigated, 685 yielded DNA suitable for PCR. Genotyping the ACCase locus using the derived Cleaved Amplified Polymorphic Sequence (dCAPS) technique identified one heterozygous mutant specimen that had been collected in 1888. Occurrence of a mutant codon encoding a leucine residue at codon 1781 at the heterozygous state was confirmed in this specimen by sequencing, clearly demonstrating that resistance to herbicides can pre-date herbicides in weeds. We conclude that point mutations endowing resistance to herbicides without having associated deleterious pleiotropic effects can be present in weed populations as part of their standing genetic variation, in frequencies higher than the mutation frequency, thereby facilitating their subsequent selection by herbicide applications

    Les herbicides ne fabriquent pas la rĂ©sistance : la preuve par les collections d’herbiers

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    National audienceCan herbicide resistance genes be present in weed populations that have never been sprayed with herbicides? In order to answer this question, the presence of a mutation endowing herbicide resistance has been investigated in black-grass (Alopecurus myosuroides) herbarium specimens collected between 1788 and 1975. Among the 734 specimens investigated, one that had been collected in 1888 contained a mutation at ACCase codon 1781 that confers resistance to ACCase-inhibiting herbicides (APPs, CHDs and DEN). This clearly demonstrates that herbicides do not fabricate resistance. Resistance is naturally present in weed populations the fields prior to herbicide use. Herbicides only reveal pre-existing resistance by favouring the reproduction of resistant weed individuals. Resistance is thus a hazard: the more treated plants, the higher the risk to encounter a resistant one.Des gĂšnes de rĂ©sistance aux herbicides peuvent-ils prĂ©exister dans des populations de mauvaises herbes n’ayant jamais Ă©tĂ© traitĂ©es avec des herbicides ? Pour en savoir plus, une mutation confĂ©rant une rĂ©sistance Ă  des herbicides a Ă©tĂ© recherchĂ©e dans des parts d’herbiers contenant des spĂ©cimens de vulpin (Alopecurus myosuroides) collectĂ©s entre 1788 et 1975. Un spĂ©cimen sur les 734 analysĂ©s, collectĂ© en 1888, s'est avĂ©rĂ© contenir une mutation au codon 1781 de l’ACCase qui confĂšre une rĂ©sistance Ă  des inhibiteurs de l’ACCase (« fops », « dims », « den »). Ceci dĂ©montre clairement, si besoin en Ă©tait encore, que les herbicides ne fabriquent pas la rĂ©sistance. La rĂ©sistance est naturellement prĂ©sente dans les parcelles avant mĂȘme l'arrivĂ©e des herbicides, et ceux-ci ne font que la rendre visible en favorisant la reproduction des plantes rĂ©sistantes. La rĂ©sistance est un phĂ©nomĂšne statistique : plus on traite de plantes, plus on risque de tomber sur une plante rĂ©sistante

    <i>A</i>. <i>myosuroides</i> herbarium specimen.

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    <p>Specimen collected in May 1876 in a vineyard in Russin (Switzerland), and kept at the conservatory and botanical gardens of Geneva (Switzerland). This specimen is denominated <i>Alopecurus </i><i>agrestis</i>, a former synonym for <i>A</i>. <i>myosuroides</i>. Reprinted with permission of the copyright holder: Conservatory and Botanical Gardens of Geneva (Switzerland), 2013.</p

    Herbicides : la rĂ©sistance existait avant eux... La preuve - L’analyse par PCR de spĂ©cimens de vulpin conservĂ©s dans des collections d’herbiers le prouve : une mutation Ă  l’origine d’une rĂ©sistance Ă  des herbicides lancĂ©s en 1978 existait dĂ©jĂ  en... 1888

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    National audience➧ QUESTION - Des gĂšnes de rĂ©sistance aux herbicides peuvent-ils dĂ©jĂ  exister dans des populations de mauvaises herbes n'ayant jamais Ă©tĂ© traitĂ©es avec des herbicides ? Pour le savoir, une mutation confĂ©rant une rĂ©sistance Ă  des herbicides a Ă©tĂ© recherchĂ©e dans des parts d'herbiers contenant des spĂ©cimens de vulpin ( Alopecurus myosu roides ) collectĂ©s entre 1788 et 1975. ➧ RÉPONSE - Un spĂ©cimen sur les 734 analysĂ©s, collectĂ© en 1888, s'est rĂ©vĂ©lĂ© contenir une mutation au codon 1781 de l'AC-Case qui confĂšre une rĂ©sistance Ă  des inhibiteurs de l'ACCase (« fops », « dims », « den »). Ceci dĂ©montre clairement, si besoin en Ă©tait encore, que la rĂ©sistance n'a pas besoin d'herbicides pour exister et Ă©voluer. Elle est naturellement prĂ©sente en trĂšs faibles frĂ©quences dans les parcelles avant mĂȘme l'arrivĂ©e des herbicides. Ceux-ci ne font que la rĂ©vĂ©ler en Ă©liminant les plantes sensibles. La rĂ©sistance est donc un phĂ©nomĂšne statistique: plus on traite de plantes, plus on risque de tomber sur une plante rĂ©sistante. ➧ IMPLICATIONS - Nos rĂ©sultats, une premiĂšre en matiĂšre de rĂ©sistance Ă  des herbicides, sont similaires Ă  ceux obtenus dans d'autres domaines (antibiotiques, insecticides). Des explications Ă  notre observation sont proposĂ©es. Une suggestion est faite: utiliser l'analyse d'herbiers anciens comme outils de prĂ©vision des risques de rĂ©sistance

    Comparative Genetic Diversity of the narG, nosZ, and 16S rRNA Genes in Fluorescent Pseudomonads

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    The diversity of the membrane-bound nitrate reductase (narG) and nitrous oxide reductase (nosZ) genes in fluorescent pseudomonads isolated from soil and rhizosphere environments was characterized together with that of the 16S rRNA gene by a PCR-restriction fragment length polymorphism assay. Fragments of 1,008 bp and 1,433 bp were amplified via PCR with primers specific for the narG and nosZ genes, respectively. The presence of the narG and nosZ genes in the bacterial strains was confirmed by hybridization of the genomic DNA and the PCR products with the corresponding probes. The ability of the strains to either reduce nitrate or totally dissimilate nitrogen was assessed. Overall, there was a good correspondence between the reductase activities and the presence of the corresponding genes. Distribution in the different ribotypes of strains harboring both the narG and nosZ genes and of strains missing both genes suggests that these two groups of strains had different evolutionary histories. Both dissimilatory genes showed high polymorphism, with similarity indexes (Jaccard) of between 0.04 and 0.8, whereas those of the 16S rRNA gene only varied from 0.77 to 0.99. No correlation between the similarity indexes of 16S rRNA and dissimilatory genes was seen, suggesting that the evolution rates of ribosomal and functional genes differ. Pairwise comparison of similarity indexes of the narG and nosZ genes led to the delineation of two types of strains. Within the first type, the similarity indexes of both genes varied in the same range, suggesting that these two genes have followed a similar evolution. Within the second type of strain, the range of variations was higher for the nosZ than for the narG gene, suggesting that these genes have had a different evolutionary rate
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