62 research outputs found

    Fascismo literario y novela democrática en contexto europeo

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    Estarán, imagino, pletóricos los embajadores de Patrick Modiano en España, que llevan años elogiando sus libros: José Carlos Llop, Juan Manuel Bonet, Justo Navarro o Andrés Trapiello.Malcolm Barral, «Sutilezas de Modiano». Con motivo de la atribución del Premio Nobel a Patrick Modiano en octubre de 2014, se publicaron en España numerosos homenajes dirigidos al recién galardonado, que proyectaron, más allá del reconocimiento de la influencia del escritor francés en España, un llamativo «meta-h..

    Peuple et anti-peuple. "La gente" comme sujet politique en Espagne,des mouvements du 15 M à l’hypothèse populistede Podemos (2011-2017)

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    International audienceA raíz del movimiento ciudadano del 15 M 2011, el partido Podemos propuso « construirel pueblo », para renovar la representación política de un sujeto de identificación colectiva.Desde su fundación en 2014, Podemos utilizó el término « gente » y el presente estudioanaliza la genealogía y la reformulación de las propuestas políticas inspiradas en el 15 M, enel marco de la llamada « hipótesis populista » del partido Podemos. ¿Qué pueblo, para quétipo de populismo? fue la pregunta a la que se enfrentó el partido tanto en su práxis como ensu teorización políticas durante las elecciones generales de 2015 y 2016.La gente comme sujet politique en Espagne, des mouvements du 15 M à l'hypothèse populiste de Podemos (2011-2017) Agnès Delage Aix-Marseille Univ, CAER/TELEMME Le parti Podemos revendique de « construire le peuple », c'est-à-dire de constituer la représentation politique d'un nouveau « nous le peuple » démocratique, issu du mouvement des Indignés du 15 M 2011. Défendant depuis 2014 une conception du peuple comme « gente » – les gens – dans la lignée inclusive du 15 M, le parti Podemos s'est trouvé depuis 2016 traversé par de profonds débats portant sur la nature même de son projet politique. Notre analyse part donc de la mise en usage du terme gente dans le contexte du 15 M 2011, pour étudier la représentation du peuple dans la formulation proposée par Podemos d'une « hypothèse populiste ». Quel peuple pour quel populisme ? est en effet la question à laquelle se trouvent actuellement confrontés le parti Podemos et, plus largement, les mouvements populistes à l'échelle européenne. Mots-clés : peuple, démocratie, 15 M, mouvement des Indignés, Podemos, populisme, Pablo Iglesias, Íñigo Errejón. A raíz del movimiento ciudadano del 15 M 2011, el partido Podemos propuso « construir el pueblo », para renovar la representación política de un sujeto de identificación colectiva. Desde su fundación en 2014, Podemos utilizó el término « gente » y el presente estudio analiza la genealogía y la reformulación de las propuestas políticas inspiradas en el 15 M, en el marco de la llamada « hipótesis populista » del partido Podemos. ¿Qué pueblo, para qué tipo de populismo? fue la pregunta a la que se enfrentó el partido tanto en su práxis como en su teorización políticas durante las elecciones generales de 2015 y 2016

    Histoires de ville, histoires de vies. Identité urbaine de Madrid et récits biographiques au XVIIe siècle chez Gil Gonzalez Dávila et Jerónimo de Quintana

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    Cette analyse propose une étude comparatiste des deux premières histoires de la ville de Madrid, publiées en 1623 et 1627, au début du règne de Philippe IV. La capitale de la monarchie espagnole est célébrée par ses chroniqueurs, Gil González Dávila et Jerónimo de Quintana qui, dans leurs œuvres respectives, utilisent le récit biographique pour exalter la grandeur des « enfants illustres » de la cité madrilène. Notre approche vise à comprendre comment ces histoires de vies permettent de configurer de manière particulièrement complexe l’identité urbaine de Madrid, mais aussi les aspirations politiques et sociales parfois contradictoires de l’oligarchie madrilène

    L'intimité collective : appropriations mémorielles dans l'oeuvre de Carmen Calvo (1970-2010)

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    International audienceCarmen Calvo, who has emerged as a major figure in contemporary art in Spain and on the international stage since the late 1980s, has carried out an exploration of the limits of the intimate which testifies to the radical renewal of perception and representation of intimacy. Born in Valencia in 1950, Carmen Calvo has carried out an artistic work that, beyond her individual trajectory, allows us to understand the mutations of the intimate life of a whole generation of women artists between 1970 and 2000. The analysis of the way Carmen Calvo reuses family's photography aims to show the paradoxical construction of a collective intimacy, associating a use of the family intimate archives and a memory appropriation to refer the Spanish society as a whole to its capacity for forgetting the victims of Francoism and the occultation of the historical trauma since the end of the dictatorship.Carmen Calvo, qui s'est imposée comme une figure majeure de l'art contemporain en Espagne et sur la scène internationale depuis la fin des années 80, a mené une exploration des frontières de l'intime qui témoigne du renouveau radical de la perception et la représentation de l'intimité. Née en 1950 à Valence, Carmen Calvo a réalisé un parcours artistique qui, au-­delà de sa trajectoire individuelle, permet d'appréhender les mutations de l'intime chez toute une génération de plasticiens, entre 1970 et les années 2000. L'analyse des dispositifs photographiques fondés sur la récupération de photos de familles vise à montrer la construction paradoxale d'une intimité collective chez Carmen Calvo, qui mobilise une utilisation des archives intimes familiales et une appropriation mémorielle pour renvoyer la société espagnole dans son ensemble à sa capacité d’oubli des victimes du franquisme et d'occultation du trauma historique depuis la fin de la dictature

    Histoires de ville, histoires de vies. Identité urbaine de Madrid et récits biographiques au XVIIe siècle chez Gil Gonzalez Dávila et Jerónimo de Quintana

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    Cette analyse propose une étude comparatiste des deux premières histoires de la ville de Madrid, publiées en 1623 et 1627, au début du règne de Philippe IV. La capitale de la monarchie espagnole est célébrée par ses chroniqueurs, Gil González Dávila et Jerónimo de Quintana qui, dans leurs œuvres respectives, utilisent le récit biographique pour exalter la grandeur des « enfants illustres » de la cité madrilène. Notre approche vise à comprendre comment ces histoires de vies permettent de configurer de manière particulièrement complexe l’identité urbaine de Madrid, mais aussi les aspirations politiques et sociales parfois contradictoires de l’oligarchie madrilène.El presente análisis propone un estudio comparativo de las dos primeras historias dedicadas a la ciudad de Madrid, publicadas en 1623 y 1627, en los albores del reino de Felipe IV. Gil González Dávila y Jerónimo de Quintana celebran en sus respectivas obras la capitalidad de la monarquía española exaltando las grandezas de los “hijos ilustres” madrileños. Nuestro trabajo indaga cómo la utilización del género biográfico configura de manera compleja la identidad urbana de la “villa y corte” así como las aspiraciones políticas y sociales a veces contradictorias de la oligarquía madrileña

    Peuple et anti-peuple. "La gente" comme sujet politique en Espagne,des mouvements du 15 M à l’hypothèse populistede Podemos (2011-2017)

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    International audienceA raíz del movimiento ciudadano del 15 M 2011, el partido Podemos propuso « construirel pueblo », para renovar la representación política de un sujeto de identificación colectiva.Desde su fundación en 2014, Podemos utilizó el término « gente » y el presente estudioanaliza la genealogía y la reformulación de las propuestas políticas inspiradas en el 15 M, enel marco de la llamada « hipótesis populista » del partido Podemos. ¿Qué pueblo, para quétipo de populismo? fue la pregunta a la que se enfrentó el partido tanto en su práxis como ensu teorización políticas durante las elecciones generales de 2015 y 2016.La gente comme sujet politique en Espagne, des mouvements du 15 M à l'hypothèse populiste de Podemos (2011-2017) Agnès Delage Aix-Marseille Univ, CAER/TELEMME Le parti Podemos revendique de « construire le peuple », c'est-à-dire de constituer la représentation politique d'un nouveau « nous le peuple » démocratique, issu du mouvement des Indignés du 15 M 2011. Défendant depuis 2014 une conception du peuple comme « gente » – les gens – dans la lignée inclusive du 15 M, le parti Podemos s'est trouvé depuis 2016 traversé par de profonds débats portant sur la nature même de son projet politique. Notre analyse part donc de la mise en usage du terme gente dans le contexte du 15 M 2011, pour étudier la représentation du peuple dans la formulation proposée par Podemos d'une « hypothèse populiste ». Quel peuple pour quel populisme ? est en effet la question à laquelle se trouvent actuellement confrontés le parti Podemos et, plus largement, les mouvements populistes à l'échelle européenne. Mots-clés : peuple, démocratie, 15 M, mouvement des Indignés, Podemos, populisme, Pablo Iglesias, Íñigo Errejón. A raíz del movimiento ciudadano del 15 M 2011, el partido Podemos propuso « construir el pueblo », para renovar la representación política de un sujeto de identificación colectiva. Desde su fundación en 2014, Podemos utilizó el término « gente » y el presente estudio analiza la genealogía y la reformulación de las propuestas políticas inspiradas en el 15 M, en el marco de la llamada « hipótesis populista » del partido Podemos. ¿Qué pueblo, para qué tipo de populismo? fue la pregunta a la que se enfrentó el partido tanto en su práxis como en su teorización políticas durante las elecciones generales de 2015 y 2016

    Les mots du secret

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    Cet article analyse les reconfigurations sémantiques du lexique et des mots du secret en usage dans l’Europe du Sud entre le Moyen Âge et l’époque moderne. En partant des approches récentes du secret et de la dissimulation dans un contexte contemporain de revendication d’un « droit au secret », nous analysons comment l’historiographie actuelle des XVIe et XVIIe siècles aborde une histoire longue des régimes de positivité du secret en Europe. En partant de l’époque pré-moderne, nous étudions les mots qui désignent un usage légitime et bénéfique du secret au Moyen Âge et la formulation d’une normativité du secret, entendue comme une technique de don et de mise en partage de l’information et de l’intimité. Cette économie du don est profondément remaniée à l’époque moderne et nous analysons comment le sémantisme politique des arcana imperii surdétermine désormais le lexique du secret, tout en ouvrant un nouveau régime de positivité, dans lequel le secret devient un espace de protection nécessaire des droits des individus et de l’autonomie critique de la pensée

    Résister dans l´extrême conformité: l´oeuvre du plasticien Santiago Sierra (Espagne- Amérique latine, 1990-2008)

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    L'intimité collective : appropriations mémorielles dans l'oeuvre de Carmen Calvo (1970-2010)

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    International audienceCarmen Calvo, who has emerged as a major figure in contemporary art in Spain and on the international stage since the late 1980s, has carried out an exploration of the limits of the intimate which testifies to the radical renewal of perception and representation of intimacy. Born in Valencia in 1950, Carmen Calvo has carried out an artistic work that, beyond her individual trajectory, allows us to understand the mutations of the intimate life of a whole generation of women artists between 1970 and 2000. The analysis of the way Carmen Calvo reuses family's photography aims to show the paradoxical construction of a collective intimacy, associating a use of the family intimate archives and a memory appropriation to refer the Spanish society as a whole to its capacity for forgetting the victims of Francoism and the occultation of the historical trauma since the end of the dictatorship.Carmen Calvo, qui s'est imposée comme une figure majeure de l'art contemporain en Espagne et sur la scène internationale depuis la fin des années 80, a mené une exploration des frontières de l'intime qui témoigne du renouveau radical de la perception et la représentation de l'intimité. Née en 1950 à Valence, Carmen Calvo a réalisé un parcours artistique qui, au-­delà de sa trajectoire individuelle, permet d'appréhender les mutations de l'intime chez toute une génération de plasticiens, entre 1970 et les années 2000. L'analyse des dispositifs photographiques fondés sur la récupération de photos de familles vise à montrer la construction paradoxale d'une intimité collective chez Carmen Calvo, qui mobilise une utilisation des archives intimes familiales et une appropriation mémorielle pour renvoyer la société espagnole dans son ensemble à sa capacité d’oubli des victimes du franquisme et d'occultation du trauma historique depuis la fin de la dictature

    El estereotipo político de “las dos Españas” en El corazón helado de Almudena Grandes (2007)

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    International audienceCon "El corazón helado", publicada en 2007, Almudena Grande firma una imponente saga novelesca donde los estereotipos políticos configuran un sistema complejo de combinatoria en el que simultáneamente se agudizan y se dislocan las polaridades opuestas del tópico de las " dos Españas " que emblematiza la violencia política nacional en la convulsa historia de España del siglo XX. Retomando los famosísimos versos de Antonio Machado " Españolito/una de las dos Españas ha de helarte el corazón ", como epígrafe y como origen del título de la novela, Almudena Grandes enmarca su relato en una referencia intertextual considerada como un verdadero emblema de la mitología nacional española del siglo XX, para proyectarlo en una dimensión de la post-memoria intra-familiar a principios del siglo XXI. Analizamos en la escritura de A. Grandes, la resignificación novelesca del estereotipo de las dos Españas y su funcionalidad narrativa en la ficción contemporánea desde "Soldados de Salamina" (2001)
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