677 research outputs found

    Un herbier pour quoi faire ?

    Get PDF
    International audienceBeaucoup de botanistes amateurs récoltent les plantes qu'ils rencontrent et, après les avoir déterminées, les font sécher et les conservent en herbier. C'est un hobby qui en vaut un autre. Mais un herbier n'est pas seulement le résultat d'un violon d'Ingres ; certains d'entre eux sont des instruments scientifiques. Cela surprend bien des gens qui imaginent le botaniste comme un vieillard en blouse blanche avec des lorgnons, une barbiche et une calotte noire, enfoui au milieu de liasses poussiéreuses d'échantillons divers, la loupe à la main. Ou alors, en tenue de Tartarin, avec sa loupe et une boîte cylindrique au dos, affrontant le soleil pour trouver une petite plante blottie entre deux rochers et « nouvelle pour le département ».Bien entendu, il y a eu jadis des personnages correspondant à cet archétype d'autrefois, disons avant la guerre de 1914. Depuis, en botanique comme dans les autres sciences, les choses ont bien changé et il n'y a plus un botaniste sans un ordinateur à portée de main.Alors où se place l'herbier dans la science moderne ?Trop de personnes, même de scientifiques, ne le sachant pas en viennent à lui dénier toute utilité ! (Misery, 1998). Comme s'ils pensaient ceci : « Si un herbier était utile, moi qui suis un scientifique intelligent,je saurais m'en servir, or je ne sais pas, donc c'est inutile », ou pire encore, « Du moment qu'il n'y a pas de flacon, de bêcher, de boîte de Pétri, de boutons rouges ou verts qui clignotent, ça ne peut être un appareil scientifique ».Et, de toutes manières, la science se renouvelant complètement tous les dix ans, comment des systèmes mis en place il y a parfois deux siècles peuvent-ils être des instruments scientifiques ? (Jacquemoud, 1999). Des éléments du patrimoine peut-être, mais alors ça ne concerne pas la recherche scientifique (Misery, 1998).Nous voulons tenter de montrer qu'elle était, qu'elle est et qu'elle sera encore très concernée (Bytebier et Pearce, 2000)

    La peche dans le fleuve Niger

    Get PDF
    The fish production of the River Niger can best be estimated from a country by country evaluation of the tonnage exported and that consumed locally. All exported and some locally consumed fish are preserved by smoking or sun drying, a process which entails a loss of weight. Coefficients to correct for this of between 2.6 to 4 have been calculated depending on the type of product. A further loss occurs due to handling and to insect attack, which may account for up to 40% of the production. Taking the above factors into account the productions estimated for the various countries of the Niger River basin are as follows: Guinea (3,600 t), Mali (90,000 t), Upper Volta and Ivory Coast (negligible), Niger (5,200 t), Dahomey (1,200 t), Nigeria (25,000 t), Cameroon (3,000 t). A total production of 128,000 t is, therefore, obtained for the basin as a whole, excluding the Kainji Reservoir. At this level of production, there have been no intimations of overfishing from any part of the basin, and there is unanimity that fishing could be intensified. On the basis of the estimates of existing production and local estimates of potential production it is possible that up to 200,000 t of fish could be produced annually from the basin as a whole

    Poissons nouveaux de Côte d'Ivoire

    Get PDF

    Le genre Hemistichodus (poissons, characiformes)

    Get PDF
    corecore