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    Public Employment, Collective Bargaining and the Conventional Wisdom : Canada and U.S.A.

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    En gĂ©nĂ©ral, les employĂ©s civils aux Etats-Unis et au Canada n'ont pas pu nĂ©gocier collectivement avec leurs employeurs. Les gouvernements ont dĂ©terminĂ© unilatĂ©ralement les termes et conditions d'emploi. Cette pratique Ă©tait en accord avec les vues largement acceptĂ©es sur le statut spĂ©cial des gouvernements en tant qu'employeurs. On peut appeler ces vues la sagesse populaire. Selon celle-ci, la nĂ©gociation collective dans la fonction publique n'Ă©tait pas nĂ©cessaire, pratique ni lĂ©gale. Des Ă©vĂ©nements ont contredit cette sagesse au point qu'elle devient dĂ©suĂšte.Aux niveaux du fĂ©dĂ©ral, des Ă©tats et des provinces, des organisations d'employĂ©s civils existent depuis plusieurs annĂ©es. Il y a eu libertĂ© d'association mais, Ă  l'exception de la Saskatchewan, on n'a pas connu avant les annĂ©es 1960 de systĂšme Ă©laborĂ© de nĂ©gociation collective pour la plupart des employĂ©s civils. Aux niveaux municipaux, et particuliĂšrement au Canada, la nĂ©gociation collective a Ă©tĂ© plus rĂ©pandue.Plusieurs facteurs ont diminuĂ© l'influence de la sagesse populaire :1. Des exceptions heureuses Ă  la pratique gĂ©nĂ©rale (v.g. en Saskatchewan et Ă  la Tennessee Valley Authority) ont dĂ©montrĂ© que la nĂ©gociation n'Ă©tait pas nĂ©cessairement illĂ©gale ni impraticable.2. Une lĂ©gislation favorable a stimulĂ© la croissance de la nĂ©gociation dans le secteur privĂ© et amplifiĂ© la diffĂ©rence du statut des employĂ©s des secteurs public et privĂ©. On a accusĂ© les gouvernements de refuser Ă  leurs propres employĂ©s des droits qu'ils forçaient les autres employeurs d'accorder.3. Dans des sujets Ă©trangers aux relations de travail, les gouvernements se sont souvent engagĂ©s par contrats, et se sont soumis Ă  l'arbitrage des griefs.4. La substitution de la propriĂ©tĂ© privĂ©e Ă  la propriĂ©tĂ© publique a souvent opposĂ© les gouvernements Ă  des syndicats Ă©tablis qu'ils ne pouvaient pas ignorer.Des changements rĂ©cents dans les deux pays, indiquent une tendance vers la nĂ©gociation collective dans la fonction publique. En 1965 les provinces du QuĂ©bec et du Manitoba ont amendĂ© leur loi de la Fonction publique afin de permettre la nĂ©gociation collective. D'autres provinces envisagent des changements similaires. LeRapport Heeney a recommandĂ© un systĂšme de nĂ©gociation pour les employĂ©s civils fĂ©dĂ©raux. Aux Etats-Unis, l'arrĂȘtĂ©-en-conseil 10988 (janvier 1962) du prĂ©sident Kennedy introduisit la possibilitĂ© pour les employĂ©s civils de nĂ©gocier collectivement. Au niveau des Ă©tats, il y eut moins de changements significatifs vers un systĂšme de nĂ©gociation. On peut s'attendre, toutefois, que plusieurs Ă©tats suivront les sentiers dĂ©jĂ  tracĂ©s par Washington.Est-il possible de transporter dans le secteur public les procĂ©dures et pratiques qui se sont dĂ©veloppĂ©es dans le secteur privĂ©? L'emploi dans le secteur public diffĂšre de celui dans le secteur privĂ© en raison du statut particulier et des responsabilitĂ©s spĂ©ciales de l'Etat. Celui-ci possĂšde le pouvoir lĂ©gal ultime. Et surtout, l'Etat dĂ©mocratique a la responsabilitĂ© de mettre de l'ordre dans les affaires sociales en vue de protĂ©ger et de promouvoir le bien-ĂȘtre et la libertĂ© des individus. L'Etat en tant qu'employeur diffĂšre donc essentiellement de tous les autres employeurs.Ceci comporte des implications directes sur un systĂšme de nĂ©gociation collective dans la fonction publique.L'Etat doit utiliser son pouvoir souverain lorsque quelque chose menace son existence ou l'empĂȘche sĂ©rieusement d'atteindre ses objectifs gĂ©nĂ©raux. Il ne s'en suit pas qu'on doive rendre illĂ©gales les grĂšves des employĂ©s civils, ou qu'on doive supprimer toutes les grĂšves du genre en vertu du pouvoir de l'Etat. La question de la grĂšve est la plus dramatique, mais on peut facilement lui donner une importance exagĂ©rĂ©e.Il n'est probablement pas sage qu'un gouvernement souverain soumette des conflits d'intĂ©rĂȘt Ă  un arbitrage Ă  sentence exĂ©cutoire. Le plus qu'il doive faire est de s'en remettre Ă  une procĂ©dure d'arbitrage obligatoire conduisant Ă  des recommandations. En pratique, ces derniĂšres exerceraient une forte influence.En principe, selon toute apparence, il n'existe aucun sujet qu'un gouvernement, Ă  cause de son statut particulier, doive exclure du champ des nĂ©gociations. En pratique, compte tenu du systĂšme de notation du personnel utilisĂ© dans les nominations, une entente d'atelier fermĂ© ne conviendrait pas. La prĂ©sence d'un atelier syndical se dĂ©fend moins bien dans le secteur public que dans le secteur privĂ©.Quand la nĂ©gociation collective se dĂ©veloppera davantage dans le secteur public, il surgira probablement des problĂšmes d'affiliations politiques et d'activitĂ©s des organisations d'employĂ©s civils. Un problĂšme semblable apparaĂźtrait Ă  l'avĂšnement (improbable) d'un leadership et d'un contrĂŽle de type subversif d'un tel syndicat. On peut se demander si un gouvernement devrait suivre le principe courant Ă  savoir que les affaires internes d'un syndicat ne regarde pas l'employeur.L'influence traditionnelle des Etats-Unis sur les relations de travail au Canada n'a pas Ă©tĂ© importante dans l'Ă©laboration de la nĂ©gociation collective par les gouvernements. En gĂ©nĂ©ral les changements au Canada sont apparus plus tĂŽt, et ont introduit des droits de nĂ©gociation plus significatifs, que ceux survenus aux Etats-Unis.The author states that the conventional wisdom has viewed collective bargaining in the public service as unnecessary, impractical and illegal. And he adds that, in general, and until recently, the prevailing practices in the United States and Canada have been in close harmony with the conventional wisdom. But the restless change of events threatens the existing state of affairs, described by the conventional wisdom, with progressive obsolescence. And the author answers the two following questions: Can the industrial relations system of the private sector be applied to public employment? To what extent does the nature of government employment raise unique problems?The enemy of the conventional wisdom is not ideas but the march of events.J.K. GALBRAITH,« The Affluent Society 

    Conciliation : The End of Compulsory Boards

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    « Nous recommandons de retenir, au second stade d'intervention, la formule de la commission de conciliation, Ă  condition toutefois que cette commission ne soit nommĂ©e qu'Ă  la requĂȘte des deux parties. Nous recommandons en outre que; la commission de conciliation ait le pouvoir discrĂ©tionnaire de faire dans son rapport des recommandations sur les questions de fond en litige ». 1Durant les annĂ©es '60, le recours obligatoire aux comitĂ©s de conciliation fut lĂ©galement aboli au QuĂ©bec, en Nouvelle-Ecosse (1964) et en Colombie Britannique. D'autres ont changĂ© leurs pratiques administratives : au Nouveau-Brunswick (1962), en Ontario (1962) et au Manitoba, l'exercice de la discrĂ©tion administrative rend la crĂ©ation de commissions de conciliation beaucoup moins frĂ©quentes que prĂ©cĂ©demment.Deux questions se posent sur les effets de cette diminution du recours obligatoire traditionnel aux commissions de conciliation :1 ) Quel effet ce processus a-t-il eu sur le nombre de diffĂ©rends rĂ©solus par les officiers de conciliation ?2) Quel effet a-t-il eu sur le nombre, sur la durĂ©e et sur l'amplitude des grĂšves ?Des rĂ©ponses Ă  ces questions ne sont jamais pleinement satisfaisantes et requiĂšrent un jugement personnel qui demeure contestable. Une faiblesse de coordination dans la compilation des statistiques de grĂšves et des rĂ©sultats de conciliation rend particuliĂšrement difficile une rĂ©ponse Ă  la deuxiĂšme question. Voyons les rĂ©sultats en Nouvelle-Ecosse, au Nouveau-Brunswick, et en Ontario.Nouvelle-Ecosse.Le nombre de rĂšglements par des officiers de conciliation passe de 65.2% Ă  83.8% aprĂšs 1964. Ceci confirme le dire des critiques des commissions de conciliation : la disponibilitĂ© des commissions rĂ©duisait la probabilitĂ© des rĂšglements de conflits par les officiers ou par les parties eux-mĂȘmes. D'autre part le changement dans la loi ne produit pas une hausse dans les activitĂ©s de grĂšve.Nouveau-Brunswick.À partir du milieu de 1962, le Nouveau-Brunswick laisse Ă  la discrĂ©tion du Ministre la dĂ©cision d'accorder ou non l'assistance d'une commission de conciliation. Le changement n'a pas produit un nombre de grĂšves (lĂ©gales) plus Ă©levĂ©, et il n'y a pas de raisona priori de croire qu'elle a contribuĂ© Ă  une hausse d'arrĂȘts de travail illĂ©gaux. Le pourcentage des rĂšglements de diffĂ©rends ne dĂ©passant pas la premiĂšre Ă©tape de conciliation passa de 65.9% Ă  80.2%.Ontario.Depuis le mois d'octobre 1962, des comitĂ©s ne sont nommĂ©s que si la demande est faite par les deux parties. L'Ontario a connu un pourcentage moins Ă©levĂ© d'arrĂȘts de travail en 1966 et en 1967 que l'ensemble du Canada. À quel point la nouvelle politique concernant les commissions de conciliation est responsable de ce pourcentage moindre demeure discutable. Ce que l'on peut affirmer cependant, c'est que leschiffres n'indiquent aucune hausse relative dans le nombre et le degrĂ© d'arrĂȘts de travail dans les deux ans suivant la dĂ©cision du Ministre de rĂ©duire fortement le nombre de diffĂ©rends qui seraient rĂ©fĂ©rĂ©s aux commissions de conciliation.Dans le domaine de la construction en Ontario, la proportion du rĂšglement direct des diffĂ©rends par des conciliateurs passa de 45% - 55% avant 1963, Ă  32% en 1963 et 1964. Le taux remonta ensuite aux premiers pourcentages en 1965. Il semble qu'aprĂšs un rajustement de deux ans, les rĂšglements reprirent leur allure normale, ce qui nous permet d'affirmer que l'abolition du recours obligatoire n'a pas eu d'effets nĂ©fastes quant au rĂšglement des diffĂ©rends.Les tableaux indiquent premiĂšrement que l'abolition des commissions de conciliation n'a pas amenĂ© une hausse dans le nombre ou l'amplitude des grĂšves dans l'industrie de la construction pendant les deux annĂ©es suivant le changement. La hausse accusĂ©e en 1963 est plutĂŽt due Ă  la concentration de nĂ©gociations dans des secteurs majeurs.DeuxiĂšmement, les parties eux-mĂȘmes arrivaient Ă  une plus grande proportion d'ententes une fois que leurs officiers avaient fait leur effort de conciliation. Cette conclusion suit nĂ©cessairement puisque le nombre d'arrĂȘts de travail n'a pas augmentĂ© mĂȘme si le taux de rĂšglement provenant directement des commissions de conciliation avait diminuĂ© sensiblement. Mais la proportion de rĂšglements directement nĂ©gociĂ©s par les conciliateurs accusa une baisse pendant les deux annĂ©es suivant l'Ă©limination des commissions obligatoires.Ces deux points rĂ©sument l'expĂ©rience qu'Ă  connu les autres industries aprĂšs 1966, en ajoutant que la forte rĂ©duction des diffĂ©rends rĂ©fĂ©rĂ©s aux commissions de conciliation n'a pas augmentĂ© la proportion des rĂšglements directs des conciliateurs. Il faut cependant attendre les rĂ©sultats d'une plus longue expĂ©rience avant de tirer des conclusions totalement fiables. Ces rapports n'expliquent que deux ans d'analyse aprĂšs le changement affectant toutes les industries.En somme les provinces qui en font l'expĂ©rience sont satisfaites : la rĂ©duction des recours obligatoires bĂ©nĂ©ficie Ă  la nĂ©gociation collective, et n'augmentent pas l'incidence ou l'ampleur des grĂšves.La recommandation de l'Équipe spĂ©cialisĂ©e citĂ©e au dĂ©but de l'article, si elle est acceptĂ©e par le gouvernement fĂ©dĂ©ral, emmĂšnera une autre rĂ©duction substantielle du nombre de commissions obligatoires.(1) Équipe spĂ©cialisĂ©e en relations du travail.Les relations du travail au Canada, Ottawa. Imprimeur de la Reine, 1969, page 186.The Woods' Report has recommended the abolition of compulsory conciliation boards. The recent de-emphasis on compulsory conciliation boards in the provinces of Nova Scotia, New Brunswick and Ontario by legislative changes and administrative practices has led to certain conclusions. Experience has shown that the benefits to collective bar-gaining hĂąve been dĂ©sirable, and that the incidence and/or magnitude of strikes hĂąve not increased

    An investigation of wing buffeting response at subsonic and transonic speeds: Phase 1: F-111A flight data analysis. Volume 1: Summary of technical approach, results and conclusions

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    The structural response to aerodynamic buffet during moderate to high-g maneuvers at subsonic and transonic speeds was investigated. The investigation is reported in three volumes. This volume presents a summary of the investigation with a complete description of the technical approach, description of the aircraft, its instrumentation, the data reduction procedures, results and conclusion

    An investigation of wing buffeting response at subsonic and transonic speeds. Phase 1: F-111A flight data analysis. Volume 2: Plotted power spectra

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    Volume 2 of this three volume report is presented. This volume presents plotted variations of power spectral density data with frequency for each structural response item for each data sampled and analyzed during the course of the investigation. Some of the information contained in Volume 1 are repeated to allow the reader to identify the specific conditions appropriate to each plot presented and to interpret the data

    System remotely inspects, measures, and records internal irregularities in piping

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    Video electromechanical probe visually inspects and measures internal offset and peaking of welds in relatively large piping. Irregularity dimensions are recorded on peripheral equipment consisting of video tape and X-Y plotter. The probe is used for inspection of vacuum-jacketed liquid lines that cannot be inspected externally

    An investigation of wing buffeting response at subsonic and transonic speeds. Phase 2: F-111A flight data analysis. Volume 1: Summary of technical approach, results and conclusions

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    A detailed investigation of the flight buffeting response of the F-111A was performed in two phases. In Phase 1 stochastic analysis techniques were applied to wing and fuselage responses for maneuvers flown at subsonic speeds and wing leading edge sweep of 26 degrees. Power spectra and rms values were obtained. This report gives results of Phase 2 where the analyses were extended to include maneuvers flown at wing leading edge sweep values of 50 and 75.5 degrees at subsonic and supersonic speeds and the responses examined were expanded to include vertical shear, bending moment, and hingeline torque of the left and right horizontal tails. Power spectra, response time histories, variations of rms response with angle of attack and effects of wing sweep and Mach number are presented and discussed. Some Phase 1 results are given for comparison purposes

    Subsonic aerodynamic and flutter characteristics of several wings calculated by the SOUSSA P1.1 panel method

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    The SOUSSA (steady, oscillatory, and unsteady subsonic and supersonic aerodynamics) program is the computational implementation of a general potential flow analysis (by the Green's function method) that can generate pressure distributions on complete aircraft having arbitrary shapes, motions and deformations. Some applications of the initial release version of this program to several wings in steady and oscillatory motion, including flutter are presented. The results are validated by comparisons with other calculations and experiments. Experiences in using the program as well as some recent improvements are described

    Mitoxantrone is superior to doxorubicin in a multiagent weekly regimen for patients older than 60 with high-grade lymphoma: results of a BNLI randomized trial of PAdriaCEBO versus PMitCEBO

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    A prospective, multicenter, randomized trial was undertaken to compare the efficacy and toxicity of adriamycin with mitoxantrone within a 6-drug combination chemotherapy regimen for elderly patients (older than 60 years) with high-grade non-Hodgkin lymphoma (HGL) given for a minimum of 8 weeks. A total of 516 previously untreated patients aged older than 60 years were randomized to receive 1 of 2 anthracycline-containing regimens: adriamycin, 35 mg/m2 intravenously (IV) on day 1 (n = 259), or mitoxantrone, 7 mg/m2 IV on day 1 (n = 257); with prednisolone, 50 mg orally on days 1 to 14; cyclophosphamide, 300 mg/m2 IV on day 1; etoposide, 150 mg/m2 IV on day 1; vincristine, 1.4 mg/m2 IV on day 8; and bleomycin, 10 mg/m2 IV on day 8. Each 2-week cycle was administered for a minimum of 8 weeks in the absence of progression. Forty-three patients were ineligible for analysis. The overall and complete remission rates were 78% and 60% for patients receiving PMitCEBO and 69% and 52% for patients receiving PAdriaCEBO (P = .05, P = .12, respectively). Overall survival was significantly better with PMitCEBO than PAdriaCEBO (P = .0067). However, relapse-free survival was not significantly different (P = .16). At 4 years, 28% of PAdriaCEBO patients and 50% of PMitCEBO patients were alive (P = .0001). Ann Arbor stage III/IV, World Health Organization performance status 2-4, and elevated lactate dehydrogenase negatively influenced overall survival from diagnosis. In conclusion, the PMitCEBO 8-week combination chemotherapy regimen offers high response rates, durable remissions, and acceptable toxicity in elderly patients with HGL

    Managing bereavement in the classroom: a conspiracy of silence?

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    The ways in which teachers in British schools manage bereaved children are under-reported. This article reports the impact of students' bereavement and their subsequent management in primary and secondary school classrooms in Southeast London. Thirteen school staff working in inner-city schools took part in in-depth interviews that focused on the impact of bereaved children on the school and how teachers responded to these children. All respondents had previously had contact with a local child bereavement service that aims to provide support, advice, and consultancy to children, their parents, and teachers. Interviews were audiotaped, transcribed verbatim, and analyzed using ATLAS-ti. Three main themes were identified from analysis of interview data. Firstly, British society, culture, local communities, and the family were significant influences in these teachers' involvement with bereaved students. Secondly, school staff managed bereaved students through contact with other adults and using practical classroom measures such as "time out" cards and contact books. Lastly, teachers felt they had to be strong, even when they were distressed. Surprise was expressed at the mature reaction of secondary school students to deaths of others. The article recommends that future research needs to concentrate on finding the most effective way of supporting routinely bereaved children, their families, and teachers
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