62 research outputs found

    Association between altered placental human chorionic gonadotrophin (hCG) production and the occurrence of cryptorchidism: a retrospective study

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    BACKGROUND: An increase in cryptorchidism has been reported in many countries. One mechanism could be low fetal testosterone production possibly secondary to altered placental human chorionic gonadotrophin (hCG) release. Our Objective was to compare hCG values from maternal blood between boys with cryptorchidism and normal boys. METHODS: Total hCG and α-fetoprotein (AFP) values [12–16 weeks of gestation; from the double test for Down syndrome screening) were compared between cases of cryptorchidism and normal control boys who were matched for maternal age, maternal smoking, gestational age at time of hCG measurement (±1 day), birth weight and birth term. Measurements were performed in a single laboratory; values were expressed as absolute values (KU/L) and multiples of the median (MoM). Boys whose mothers had had a complicated pregnancy were excluded. Groups were compared using the Student’s t test. Log transformation was used to normalize hCG, MoM hCG, AFP and MoM AFP distribution, and values were expressed as geometric means (-1, + 1 tolerance factor). RESULTS: Total hCG and MoM hCG levels were significantly lower in the 51 boys with cryptorchidism compared to 306 controls (21.4 (12.3; 37) KU/L vs 27.7 (15.9; 47.9) KU/L and 0.8 (0.5; 1.2) MoM vs 1.0 (0.6; 1.6) MoM, respectively, p < 0.01). By contrast, AFP and MoM AFP levels were similar between groups. CONCLUSION: This study showed a link between low maternal serum hCG levels and cryptorchidism in boys from uncomplicated pregnancy, while normal AFP levels indicated a normal fetoplacental unit. Whether these abnormalities were due to endogenous or exogenous factors remains to be determined

    Supplementary material to: Long-term efficacy of T3 analogue Triac in children and adults with MCT8 deficiency: a real-life retrospective cohort study

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    Variation du taux d'IGF1 et réponse staturale au traitement par hormone de croissance

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    Objectif: la réponse staturale au traitement par hormone de croissance est très variable chez l'enfant. La réponse de l'IGF1 circulant pourrait expliquer une part significative de la variabilité individuelle de la réponse staturale. Le but de notre étude était d'étudier le lien entre la variation du taux de l'IGF1 et la réponse staturale au traitement par hormone de croissance. Population et méthode: étude rétrospective monocentrique portant sur 182 enfants traités par hormone de croissance suivis pendant 2 ans. Les enfants étaient divisés en 2 groupes: le groupe GHDi, dont 42 étaient nés petits pour l'âge gestationnel: n=137, âge moyen=10.83.3 ans, 55% garçons, 66% impubères, taille initiale -2.54 0.75 DS, IGF1=-1.380.55 DS et le groupe SGA, dont 42 avaient un déficit idiopathique en GH: n=87, âge moyen=94.3 ans, 52% garçons, 72% impubères, taille initiale-2.940.83 DS, IGF1=-1.280.61 DS. Les variables influençant le gain statural entre 0 et 1 an et entre 0 et 2 ans ont été étudiées en régression multiple pas à pas descendante. Résultats: dans le groupe GHDi comme dans le groupe SGA, la posologie d'hormone de croissance n'influençait pas le gain de taille entre 0 et 1 an ou entre 0 et 2 ans, en cm comme en DS. Dans le groupe GHDi, une augmentation du delta d'IGF1 de 1 DS entre 0 et 1 an était associée à une augmentation du gain de taille entre 0 et 1 an de +0.1 DS. une augmentation du delta d'IGF1 de 1 DS entre 0 et 2 ans était associée à une augmentation du gain de taille entre 0 et 2 ans de +0.09 DS. Dans le groupe SGA, une augmentation du delta d'IGF1 de 1 DS entre 0 et 1 an était associée à une augmentation du gain de taille entre 0 et 1 an de +0.05 DS. Une augmentation du delta d'IGF1 de 1 DS entre 0 et 2 ans était associée à une augmentation du gain de taille entre 0 et 2 ans de +0.1 DS. Conclusion: il existe une corrélation positive entre le gain du taux d'IGF1 à 1 et 2 ans de traitement et la réponse staturale, ce qui nous amène à nous poser la question d'une titration individuelle de l'hormone de croissance. Cependant des études de suivi à long terme seront nécessaires pour savoir si la stratégie d'adaptation sur l'IGF1 aura un impact important sur la taille finale et si la sécurité de l'emploi à long terme est assurée.Objective: growth response to treatment is variable. The IGF1 response to treatment could explain in part the individual responsiveness. The aim of the study was to evaluate the relationship between IGF1 response to recombinant human Growth Hormone. Population and methods: retrospective monocentric study including 182 children treated with rhGH for two years. Two groups of children were studied: idiopathic growth hormone deficiency (including 42 SGA children): n=137, age=10.83.3 years, 55% males, 66% prepubertal, height -2.540.75 SD, IGF1 concentration=-1.380.55 SD and children born small for gestational age (including 42 children with GHDi): n=87, age=94.3 years, 52% males, 72% prepubertal, height: -2.940.83 SD, IGF1 level=-1.280.61 SD. The variable influencing the growth response to treatment were studied using multiple backward stepwise regression analyses. Result: the growth hormone dose did not influence the one year and two years growth response to treatment. In the GHDi group, an increase of delta IGF1 of 1 SD between 0 and 1 year was associated with an increase in height gain of 0.1 SD. An increase of delta IGF1 of 1 SD between 0 and 2 years was associated with an increase in height gain of 0.09 SD. In the SGA group, an increase of delta IGF1 of 1 SD between 0 and 1 year was associated with an increase in height gain of 0.05 SD . An increase of delta IGF1 of 1 SD between 0 and 2 years was associated with an increase in height gain of 0.1 SD. Conclusion: there was a positive relationship between the gain of IGF1 concentration after 1 and 2 years and growth response to rhGH. This could suggest that individual adaptation of rhGH dose according to the IGF1 response may be more appropriate than a fixed rhGH dose to increase height. However long term studies will be needed to determine the final growth response and the safety of the treatmentRENNES1-BU Santé (352382103) / SudocSudocFranceF

    Intérêt de la mesure de l'inhibine B et de l'hormone anti-Müllérienne dans l'évaluation des pathologies gonadiques et gonadotropes de l'enfant

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    ANGERS-BU MĂ©decine-Pharmacie (490072105) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Etude de l'influence du poids de naissance, de la croissance postnatale précoce et de l'indice de masse corporelle actuel sur la répartition de la masse grasse, la sensibilité à l'insuline et les facteurs de risque cardiovasculaire chez 97 enfants obèses

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    L'obésité infantile et le retard de croissance intra-utérin (RCIU) constituent des facteurs de risque cardiovasculaire à l'âge adulte, pour lesquels l'insulinorésistance joue un rôle physiopathologique central. Le but de l'étude était d'évaluer, chez des enfants obèses, si la croissance fœtale (les coordonnées de naissance) et l'indice de masse corporelle (IMC) mesuré lors de l'évaluation influençaient la répartition corporelle de la masse grasse (MG), l'insulinosensibilité des tissus hépatiques, musculaire et adipeux et l'existence de facteurs de risque cardiovasculaire. Nous avons mesuré la composition corporelle par absorptiométrie de rayons X, calculé à partir d'une hyperglycémie provoquée par voie orale (HGPO) plusieurs index d'insulinosensibilité validés et recherché des facteurs de risque cardiovasculaire chez 97 enfants obèses. L'index d'insulinosensibilité était différent chez les sujets nés RCIU (poids ou taille de naissance 4 kg) : 4.65 +- 2.07 ; 4.35 +- 2.72 et 7.44 +- 3.3 respectivement (p < 0.05). Pour un pourcentage de MG identique, les sujets nés RCIU avaient une répartition tronculaire préférentielle de la MG, comparativement aux sujets nés eutrophiques ou macrosomes (ratio MG androïde/MG gynoïde : 1.19 +- 0.19 ; 1.04 +- 0.28 et 0.91 +- 0.23 respectivement ; p < 0.05). Le RCIU et un IMC actuel élevé favorisaient de manière indépendante l'accumulation tronculaire de la MG et l'insulinorésistance. Ainsi, les enfants obèses ne seraient pas tous égaux face au risque de développer un diabète de type 2 et/ou des maladies cardiovasculaires à l'âge adulte. Outre l'IMC actuel, la prise en compte des coordonnées de naissance, de la croissance pondérale avant 2 ans permettrait, dans la population d'enfants obèses vue en consultation, de mieux identifier les sujets à risque, afin de leur proposer une prise en charge thérapeutique adaptée.PARIS7-Xavier Bichat (751182101) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    Dépistage des dilatations aortiques dans le syndrome de Turner (intérêt de l'IRM)

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    ANGERS-BU MĂ©decine-Pharmacie (490072105) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF

    CORRELATIONS RADIO-CLINIQUES DANS LES DEFICITS SOMATOTROPES NON TUMORAUX DE L'ENFANT (DES PEDIATRIE)

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    ANGERS-BU MĂ©decine-Pharmacie (490072105) / SudocPARIS-BIUM (751062103) / SudocSudocFranceF
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