2,364 research outputs found

    Searches for New Physics in Lepton Final States

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    Final states containing charged leptons could provide some of the most distinctive signatures for observing physics beyond the Standard Model. We present searches for new physics using 0.32-0.45 /fb of data accumulated at the Tevatron. No significant evidence of a signal is found, and in most cases the tightest constraints to date are set on the exotic processes investigated.Comment: 8 pages, Contribution to Proceedings of XLth Rencontres de Moriond 2006, Electroweak Interactions and Unified Theories, La Thuile, Italy, 11-18 March 200

    Top Quark Properties

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    In this document we present several recent (July 2008) results from studies of the top quark properties at the CDF and D0 experiments at the Tevatron. Measurements of several top quark properties, as well as tests of new physics in the top quark production and decay sectors are presented. In the latter case, no significant evidence for physics beyond the Standard Model is uncovered, and the tightest constraints to date are placed on most of the new physics scenarios investigated.Comment: HCP 2008 proceedings on behalf of the CDF and D0 Collaborations. Added/corrected references for Sec. 3.

    Weinberg Energy-Momentum Complex for a Stringy Black Hole Solution

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    In our paper we compute the energy distribution of a magnetic stringy black hole solution in the Weinberg prescription. The metric under consideration describes the dual solution in the string frame that is known as the magnetic stringy black hole solution. The metric is obtained by multiplying the electric metric in the Einstein frame by a factor . The energy distribution depends on the mass M and charge Q. Also, we make a discussion of the results and we compare our result with those obtained in the Einstein and Landau and Lifshitz prescriptions and investigate the connections between the expressions of the energy obtained in these prescriptions.Comment: 9 pages, LaTe

    Strain induced stabilization of stepped Si and Ge surfaces near (001)

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    We report on calculations of the formation energies of several [100] and [110] oriented step structures on biaxially stressed Si and Ge (001) surfaces. It is shown that a novel rebonded [100] oriented single-height step is strongly stabilized by compressive strain compared to most well-known step structures. We propose that the side walls of ``hut''-shaped quantum dots observed in recent experiments on SiGe/Si films are made up of these steps. Our calculations provide an explanation for the nucleationless growth of shallow mounds, with steps along the [100] and [110] directions in low- and high-misfit films, respectively, and for the stability of the (105) facets under compressive strain.Comment: to appear in Appl. Phys. Lett.; v2=minor corrections,figs resize

    L’iconographie de l’Hymne Acathiste dans les fresques de l’église St.Onuphre du monastère Lavrov et dans la peinture extérieure moldave au temps du premier règne de Petru Rares

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    L’église St. Onuphre du monastère Lavrov (Ukraine occidentale, près de Staryi Sambir) conserve des peintures murales qu’on a datées de la fin du XVe ou du début du XVIe siècle. Le but de la présente étude est de préciser les affinités d’ordre iconographique existentes entre les versions de l’«Hymne Acathiste» de Lavrov et des églises moldaves à peinture extérieure du temp du premier règne de Petru Rareş. Grâce à la rédaction de l’image de l’«Acathiste» de Probota, où le début du texte de la 17e strophe de l’«Hymne» est bien conservé, on peut constater qu’à Lavrov, dans l’image similaire, il ne s’agit pas de la 24e strophe de l’«Hymne» comme le croyait A. I. Rogov, maïs de la 17e strophe. Donc, on peut supposer, qu’à Lavrov il n’y avait pas de lacune dans la présentation des strophes 19–23 de l’«Hymne Acathiste»

    L’interaction mutuelle entre le texte et l’image dans la peinture roumaine du XVIe siècle : une approche sémiologique

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    Cet article porte sur le rapport entre le texte et l’image dans la peinture roumaine du XVIe siècle. L’auteur souligne que l’icône ou la peinture murale orthodoxe ne sont pas des «compositions» dans le sens traditionnel du verbe « composer ». Le peintre médiéval ne compose pas l’image, il la transpose sur la surface de l’icône, du mur, de la feuille dessinée ou d’un autre support (en langue slavonne de l’église cette transposition s’appelle « perevod » ce qui veut dire «traduction» par rapport à un original, appelé « podlinnik »). L’image médiévale orthodoxe est une sorte d’idéogramme complexe qui exige un tout autre genre de « lecture » que la peinture moderne. Il est extrêmement intéressant de constater que les lois de cette « lecture » (et, par conséquent, de cette « écriture ») sont plus proches des lois de la lecture des textes littéraires que des lois de la contemplation et de la compréhension des images «purement visuelles». L’image médiévale a une «grammaire» si stricte et si détaillée, que rien – ou presque rien – n’est laissé au hasard. Grâce à la rigueur et à la prévisibilité de cette « grammaire », l’irréductibilité de la peinture (et des beaux-arts en général) à la langue parlée ou écrite est franchie en grande partie. Pas seulement la structure compositionnelle, l’emplacement des objets, les paysages, les architectures d’arrière plan, les gestes des figures, mais même le modelé des formes peintes, la carnation des visages et des mains, les accents de lumière et d’ombre sont strictement réglementés. Mais, comment s’articulent et quelles sont les structures et les typologies du texte et de l’image dans la peinture roumaine du XVIe siècle ? L’auteur de l’étude rappelle que, contrairement à l’espace physique newtonien qui est homogène et isotrope, l’espace de l’inscription, l’espace de la peinture monumentale ou de l’icône ont une « topologie » beaucoup plus complexe. Cette « topologie » suppose un espace profondément non homogène et anisotrope. Les « directions », la « gauche » et la « droite », le « haut » et le « bas », le « centre » et la « périphérie » ne sont pas ici de simples coordonnées neutres, comme dans l’espace euclidien. Ils ont leur dimension symbolique, dogmatique, axiologique. La production et l’interprétation des textes dépendent de l’existence des codes ou des conventions établis pour la communication. Le sens d’un signe dépend du code, au sein duquel il a été conçu, et les codes fournissent un cadre dans lequel les signes obtiennent leurs significations. Les programmes iconographiques des églises orthodoxes sont également des codes : différentes parties de leur architecture (murs, dômes, voûtes, pendentifs, tambours des coupoles, absides, conques, arcs de triomphe, piliers, colonnes, embrasures de portes, montants de fenêtres, contreforts etc.) sont codés par des thèmes et par des sujets iconographiques (en d’autres termes – par des types iconographiques). Parmi les autres questions soulevées dans cet article, nous devons mentionner la classification « par genres » pour les types iconographiques orthodoxes, la sémantique du geste, la typologie des erreurs dans les textes anciens, le rôle des inscriptions simulées et des écritures spéculaires, le problème du rapport entre le sens et la référence

    Performance of the straw tube readout based on PADI chip

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