482 research outputs found

    Between order and disorder: a 'weak law' on recent electoral behavior among urban voters?

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    A new viewpoint on electoral involvement is proposed from the study of the statistics of the proportions of abstentionists, blank and null, and votes according to list of choices, in a large number of national elections in different countries. Considering 11 countries without compulsory voting (Austria, Canada, Czech Republic, France, Germany, Italy, Mexico, Poland, Romania, Spain and Switzerland), a stylized fact emerges for the most populated cities when one computes the entropy associated to the three ratios, which we call the entropy of civic involvement of the electorate. The distribution of this entropy (over all elections and countries) appears to be sharply peaked near a common value. This almost common value is typically shared since the 1970's by electorates of the most populated municipalities, and this despite the wide disparities between voting systems and types of elections. Performing different statistical analyses, we notably show that this stylized fact reveals particular correlations between the blank/null votes and abstentionists ratios. We suggest that the existence of this hidden regularity, which we propose to coin as a `weak law on recent electoral behavior among urban voters', reveals an emerging collective behavioral norm characteristic of urban citizen voting behavior in modern democracies. Analyzing exceptions to the rule provide insights into the conditions under which this normative behavior can be expected to occur.Comment: Version 1: main text 19 pages, 13 figures, 2 tables; Supporting Information: 19 pages. Version 2: minor correction

    Paris, le combat de dames

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    Paris fait partie des villes où les élections municipales se dérouleront dans un jeu politique ouvert par le retrait de son maire sortant Bertrand Delanoë au terme de deux mandats. Dans cette situation d’ouverture, les profils politiques très différents des deux principaux concurrents qui s’affrontent dans « un combat de dames » prennent tout leur intérêt. D’un côté, Anne Hidalgo, candidate PS au fauteuil de maire de Paris, est à la tête des listes de rassemblement PS-PC-PRG, pimentées par la présence de quelques conseillers sortants du MoDem. Elle peut faire état d’une expérience de cabinets ministériels qui se conjugue avec une carrière d’élue locale comme 1 ère adjointe de l’équipe du maire sortant depuis 2001 puis de conseillère régionale d’Île-de-France depuis 2004. Elle est enfin soutenue par Bertrand Delanoë. De l’autre côté, Nathalie Kosciusko-Morizet, candidate UMP à la tête des listes de rassemblement UMP-MoDem-UDI cumule des expériences politiques d’envergure nationale – députée de l’Essonne depuis 2002, plusieurs fois ministre sous la présidence Sarkozy – avec une expérience locale de maire de Longjumeau (Essonne) depuis 2008. Toutes deux ont été adoubées par leurs partis pour présenter leur candidature au fauteuil de maire de Paris au terme d’élections primaires. Dans ces conditions, la reconduction de la gauche sera-t-elle plus ou moins aisée que la reconquête de Paris par la droite ?Note publiée sur le site du Cevipof "Elections 2014" In "Le recueil des notes du Cevipof - Les enjeux

    L'image des candidats dans la décision électorale

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    Les images ont un pouvoir explicatif considérable sur les intentions de vote. Cette capacité doit être mesurée non dans l’absolu, mais en comparaison aux deux fondamentaux : la position sur l’échelle gauche-droite et la proximité politique. Les résultats démontrent pour l’essentiel que, mis en concurrence avec ces facteurs, le pouvoir explicatif des images est du même ordre de grandeur que ces attributs classiques, et parfois même supérieur. Cette supériorité tient pour partie au fait que quasiment tout le monde peut exprimer des « sentiments » à l’égard d’une personnalité, alors que le placement sur une dimension gauche droite ou la proximité partisane sont parfois plus difficiles à investir.The images have a considerable explanatory power on the vote’s intentions. This capacity must be not theoretically measured, but in comparison to both fundamental facts : the position on the left-right scale and the political nearness. The results demonstrate for the main part that, put in competition with these factors, the explanatory power of the images is the same order of height as these classic attributes, and even sometimes superior. This superiority holds partly the fact that everybody or about can express « feelings » towards a personality while the setting on a left-right dimension or the partisan nearness are sometimes more difficult to achieve

    Abstention et blancs et nuls au référendum du 24 septembre 2000

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    Le référendum du 24 septembre sur la réduction du mandat présidentiel fort peu mobilisé les électeurs : 69,8% entre eux se sont abstenus et 4,9% ont déposé un bulletin blanc ou nul (tableau 1). Les raisons de ce taux historique d'abstention sont connues : désintérêt pour une modification constitutionnelle que la plupart des Français semblaient prêts accepter mais qui, du coup, paraissait acquise d'avance, polarisation vers autres enjeux politiques ou sociaux, qui rendait secondaire le vote au référendum. [premier paragraphe

    L’image des candidats dans la décision électorale

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    Rapport réalisé dans le cadre du Panel électoral français 2007 (vague 1-panel 1, 29 mars-21 avril 2007

    L'image des candidats dans la décision électorale

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    Les images ont un pouvoir explicatif considérable sur les intentions de vote. Cette capacité doit être mesurée non dans l’absolu, mais en comparaison aux deux fondamentaux : la position sur l’échelle gauche-droite et la proximité politique. Les résultats démontrent pour l’essentiel que, mis en concurrence avec ces facteurs, le pouvoir explicatif des images est du même ordre de grandeur que ces attributs classiques, et parfois même supérieur. Cette supériorité tient pour partie au fait que quasiment tout le monde peut exprimer des « sentiments » à l’égard d’une personnalité, alors que le placement sur une dimension gauche droite ou la proximité partisane sont parfois plus difficiles à investir.The images have a considerable explanatory power on the vote’s intentions. This capacity must be not theoretically measured, but in comparison to both fundamental facts : the position on the left-right scale and the political nearness. The results demonstrate for the main part that, put in competition with these factors, the explanatory power of the images is the same order of height as these classic attributes, and even sometimes superior. This superiority holds partly the fact that everybody or about can express « feelings » towards a personality while the setting on a left-right dimension or the partisan nearness are sometimes more difficult to achieve

    L'image du président Macron et des principaux leaders politiques:Baromètre de la confiance politique - vague 9

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    Le Baromètre de la confiance politique du CEVIPOF est la référence pour mesurer la valeur cardinale de la démocratie : la confiance. Depuis 2009, il dévoile les niveaux de confiance accordée aux acteurs politiques, sociaux et économiques par les Français. Il révèle les degrés de confiance personnelle et interpersonnelle. Il divulgue enfin les perceptions de l'avenir articulées entre optimisme personnel et pessimisme collectif

    Des images aux votes

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    Rapport réalisé dans le cadre du Baromètre politique français 2006-2007 (vague 4, 5-19 février 2007

    L’image des candidats est-elle la clé de l’élection ?

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    Rapport réalisé dans le cadre du Baromètre politique français 2006-2007 (vague 3, 4-14 décembre 2006

    Les connaissances politiques

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    Au cœur du débat sur la démocratie, la question du type de citoyen qu’elle requiert a été tout particulièrement discutée. Dans la théorie classique, le modèle démocratique exige un citoyen vertueux, doté des qualités civiques qui le porteraient naturellement vers le bien commun et l’intérêt général. Mais encore faut-il que cette vertu cardinale du bon citoyen – la recherche du bien commun – puisse s’exercer à partir d’opinions informées (Delli Carpini, Keeter, 1996). La démocratie représentative, fondée sur le principe de désignation des représentants par l’élection impose, pour sa part, deux critères de validité à cette procédure : le choix doit concerner le plus grand nombre et suppose donc un seuil minimum de participation ; il doit être également fait « en connaissance de cause », autrement dit par des citoyens informés qui mettent en œuvre un jugement fondé en raison (Berelson, Lazarsfeld, Mac Phee, 1954 ; Almond et Verba, 1963). Dès l’origine, les théories élitistes ont critiqué l’illusion d’une telle exigence et, par la suite, la recherche électorale a fourni les preuves empiriques de la rareté de ce modèle de citoyen intéressé, informé et rationnel. [Premières lignes du chapitre
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