8 research outputs found

    Potential of Anti-CMV Immunoglobulin Cytotect CP<sup>®</sup> In Vitro and Ex Vivo in a First-Trimester Placenta Model

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    Background: Congenital CMV infection is the leading cause of neonatal neurological deficit. We herein studied in vitro and ex vivo the potential of the hyperimmune globulin Cytotect CP® (Biotest, Germany) for congenital infection prevention and treatment. Methods: In vitro neutralization assays were conducted in fibroblasts and retinal epithelial cells on the CMV strains TB40/E and VHL/E to determine the 50% and 90% neutralizing doses (ND50 and ND90). The toxicity was assessed by measuring LDH release. Ex vivo assays were conducted in first-trimester villi explants with the TB40/E strain, namely, neutralization assays, the prevention of villi infection, and the inhibition of viral replication in infected villi. Viability was assessed by β-HCG quantification in supernatants. Results: The in vitro neutralization tests showed that Cytotect CP®® inhibits the development of infection foci (DN50: 0.011–0.014 U/mL for VHL/E and 0.032–0.033 U/mL for TB40E) without any toxicity. In the ex vivo neutralization assays, the DN50 were 0.011 U/mL on day 7 and 0.093 U/mL on day 14. For the prevention of villi infection, the EC50 was 0.024 U/mL on day 7. Cytotect-CP® did not inhibit viral growth in infected villi. No impact on villi viability was observed. Conclusions: These results sustained that Cytotect CP® has the potential to prevent CMV congenital infection

    Potential of Anti-CMV Immunoglobulin Cytotect CP&reg; In Vitro and Ex Vivo in a First-Trimester Placenta Model

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    Background: Congenital CMV infection is the leading cause of neonatal neurological deficit. We herein studied in vitro and ex vivo the potential of the hyperimmune globulin Cytotect CP&reg; (Biotest, Germany) for congenital infection prevention and treatment. Methods: In vitro neutralization assays were conducted in fibroblasts and retinal epithelial cells on the CMV strains TB40/E and VHL/E to determine the 50% and 90% neutralizing doses (ND50 and ND90). The toxicity was assessed by measuring LDH release. Ex vivo assays were conducted in first-trimester villi explants with the TB40/E strain, namely, neutralization assays, the prevention of villi infection, and the inhibition of viral replication in infected villi. Viability was assessed by &beta;-HCG quantification in supernatants. Results: The in vitro neutralization tests showed that Cytotect CP&reg;&reg; inhibits the development of infection foci (DN50: 0.011&ndash;0.014 U/mL for VHL/E and 0.032&ndash;0.033 U/mL for TB40E) without any toxicity. In the ex vivo neutralization assays, the DN50 were 0.011 U/mL on day 7 and 0.093 U/mL on day 14. For the prevention of villi infection, the EC50 was 0.024 U/mL on day 7. Cytotect-CP&reg; did not inhibit viral growth in infected villi. No impact on villi viability was observed. Conclusions: These results sustained that Cytotect CP&reg; has the potential to prevent CMV congenital infection

    Consommation alimentaire de sodium (Na) et de potassium (K) en population urbaine et rurale au Bénin

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    International audienceIntroductionUne consommation élevée de sodium et la faible consommation de potassium sont associées à la survenue de l’hypertension artérielle et des maladies cardiovasculaires. Limiter la consommation de sel et encourager celle de « plus de fruits et légumes » sont des interventions importantes pour réduire l’incidence de ces maladies. Au Bénin, pays de l’Afrique de l’Ouest, il n’existe pas de données épidémiologiques de grande envergure sur le niveau de consommation en sodium et en potassium des populations. L’objectif de cette étude était de déterminer la consommation alimentaire en sodium et en potassium en zones urbaine (Bohicon) et rurale (Tanvè) au Bénin.MéthodesAu total, 402 sujets âgés de 25 à 64 ans, sex-ratio = 1, ont été sélectionnés par un sondage en grappes avec probabilité proportionnelle à la taille (PPT). L’échantillon était stratifié en quatre tranches d’âges : 25–34 ans, 35–44 ans, 45–54 ans, 55–64 ans. Un recueil d’urine de 24 heures était collecté chez chaque participant ayant consenti librement et respectant les conditions de l’étude. Des échantillons d’urine de 2 ml étaient prélevés pour chaque participant et étaient dosés par potentiométrie (méthode de Jaffé). La créatinine était également dosée pour valider les valeurs du sodium et du potassium.RésultatsAu total, 354 résultats ont été analysés ; 48 résultats de participants ont été éliminés pour les raisons suivantes : valeurs de créatinine faible (n = 30), usage de diurétique (n = 1), glucosurie positive (n = 7), rejet par le laboratoire (n = 10). Les consommations moyennes de sodium et de potassium au sein de la population d’étude étaient respectivement de 10,2 ± 4,9 g et 2,9 ± 1,4 g. La consommation de sodium était significativement plus élevée en zone urbaine qu’en zone rurale 11,0 ± 5,3 g contre 9,5 ± 4,5 g, p = 0,01. Il en était de même au niveau des tranches d’âge [25–34] et [35–44], respectivement 10,9 ± 4,9 g et 11,16 ± 5,4 g, p = 0,005. La consommation de potassium était significativement plus élevée chez les hommes par comparaison aux femmes, respectivement 3,1 ± 1,6 g et 2,7 ± 1,3 g, p = 0,034.ConclusionL’étude montrait que la consommation de sodium était élevée et celle de potassium faible au sein de la population béninoise au regard des recommandations de l’OMS. Ces résultats peuvent servir de base à l’élaboration de politiques de réduction du sodium (sel alimentaire) et de promotion d’une consommation suffisante de fruits et légumes afin de prévenir les maladies cardiovasculaires

    Concordance entre les mesures d’un spot urinaire et celle des urines de 24 heures pour la détermination des apports en sodium et potassium au Bénin

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    International audienceIntroductionL’estimation des apports alimentaires en sodium (Na) et potassium (K) repose sur plusieurs méthodes : études de portions témoins, enquêtes alimentaires et prélèvements urinaires. Le dosage sur les urines de 24 heures est considéré comme le « mètre-étalon », étant donné que 85 à 90 % du sodium ingéré est excrété dans les urines. Du fait de la contrainte majeure de cette méthode qu’est le recueil complet de toutes les urines émises pendant 24 heures, le spot urinaire est parfois utilisé dans les enquêtes épidémiologiques. L’objectif de cette étude était de déterminer la concordance entre les mesures d’un spot urinaire et celles des urines de 24 heures pour estimer la consommation alimentaire de sodium et de potassium.MéthodesEn zones rurale (Tanvé) et urbaine (Bohicon) au Bénin, 402 sujets, âgés de 25 à 64 ans, sex-ratio = 1, ont été sélectionnés par un sondage en grappes avec probabilité proportionnelle à la taille (PPT). Un spot urinaire était prélevé lors de la deuxième urine de la matinée chez chaque participant ayant consenti librement et respectant les conditions de l’étude. Un second recueil d’urines de 24 heures était collecté dans des contenants plastiques maintenus fermés. Les heures de début et de fin de collecte étaient soigneusement marquées. Des échantillons d’urine de 2 mL étaient prélevés puis conservés immédiatement à −20° jusqu’à leur acheminement au laboratoire de biochimie et de génétique moléculaire du CHU de Limoges. Ils étaient dosés par potentiométrie (méthode de Jaffé). La créatinine était également dosée pour valider les valeurs de sodium et potassium. La consommation prévisionnelle du sodium et du potassium à partir du spot urinaire est calculée par la formule :Na prévisionnel (g) = [Na spot (g) × Créatinine 24 h (mg)]/Créatinine spot (mg)K prévisionnel (g) = [K spot (g) × Créatinine 24 h (mg)]/Créatinine spot (mg)La concordance entre les mesures du spot urinaire et celles des urines de 24 heures est effectuée par le graphique de Bland-Altman.RésultatsAu total, 354 résultats ont été analysés ; 48 résultats de sodium et potassium ont été éliminés pour les raisons suivantes : valeurs de créatinine faible (n = 30), usage de diurétique (n = 1), glucosurie positive (n = 7), rejet par le laboratoire d’analyse (n = 10). Les consommations moyennes de sodium et de potassium au sein de la population générale étaient respectivement de 10,2 ± 4,9 g et 2,9 ± 1,4 g. Les consommations prévisionnelles moyennes de sodium et de potassium calculées à partir du spot étaient respectivement de 10,7 ± 7 g et 3,9 ± 2,1 g. La concordance entre les mesures du spot urinaire et celle des urines de 24 heures était globalement bonne pour le sodium et le potassium. Les coefficients de concordance étaient respectivement de 0,61 avec d = −0,5, (d ± 2 sdd = −11 et 10,1) pour le sodium et de 0,61 avec d = −1, (d ± 2 sdd = −3,8 et 1,8).ConclusionL’étude montrait que la concordance par le graphe de Bland-Altman pour les mesures du spot urinaire et celles des urines de 24 heures était bonne pour le sodium et le potassium. Cependant le spot urinaire surévaluait les valeurs du sodium

    Machine learning analysis of pregnancy data enables early identification of a subpopulation of newborns with ASD

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    International audienceTo identify newborns at risk of developing ASD and to detect ASD biomarkers early after birth, we compared retrospectively ultrasound and biological measurements of babies diagnosed later with ASD or neurotypical (NT) that are collected routinely during pregnancy and birth. We used a supervised machine learning algorithm with a cross-validation technique to classify NT and ASD babies and performed various statistical tests. With a minimization of the false positive rate, 96% of NT and 41% of ASD babies were identified with a positive predictive value of 77%. We identified the following biomarkers related to ASD: sex, maternal familial history of auto-immune diseases, maternal immunization to CMV, IgG CMV level, timing of fetal rotation on head, femur length in the 3rd trimester, white blood cell count in the 3rd trimester, fetal heart rate during labor, newborn feeding and temperature difference between birth and one day after. Furthermore, statistical models revealed that a subpopulation of 38% of babies at risk of ASD had significantly larger fetal head circumference than age-matched NT ones, suggesting an in utero origin of the reported bigger brains of toddlers with ASD. Our results suggest that pregnancy follow-up measurements might provide an early prognosis of ASD enabling pre-symptomatic behavioral interventions to attenuate efficiently ASD developmental sequels
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