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    Engraissement de taurillons de race française frisonne pie noire en Guadeloupe. Utilisation comparée d'aliments à base de son et de céréales

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    En Guadeloupe, 2 groupes de 12 et 9 taurillons frisons ont reçu entre le sevrage et l'abattage à 15 mois de l'herbe hachée (Pangola) en quantité limitée et un aliment concentré ad libitum, soit hautement énergétique (66 p. 100 céréales, 10 p.100 tourteau d'arachide, 21 p. 100 luzerne déshydratée), soit moins énergétique (85 p. 100 son de blé, 10 p. 100 mélasse de canne à sucre, 1,5 p. 100 urée). Les gains moyens journaliers (888 et 854 g) et les consommations journalières d'aliment concentré (6,2 et 6,0 kg) n'ont pas été significativement différentes. Le régime moins énergétique a donc été utilisé plus efficacement. Les consommations et croissances obtenues avec le régime riche en énergie sont inférieures à celles qui ont été enregistrées avec ce même régime sur le même génotype en milieu tempér

    Carbon Markets – An Opportunity for the World’s Forests?

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    Forests cover 30% of the land surface and contain more than half of the carbon stored in terrestrial ecosystems. Carbon credits can be used to compensate the environmental service provided by forests. The sale of carbon credits could be a lever to steer investment. Demand for credits in the forestry sector remains relatively small. However, negotiations directed at a post-Kyoto agreement may create a context that is more favourable to forestry projects by reinstating the question of including forests at the core of the global fight against climate change.Les forêts couvrent 30 % de la surface émergée, et renferment plus de la moitié du carbone accumulé par les écosystèmes terrestres. Les crédits carbone peuvent rémunérer ce service environnemental que fournissent les forêts : la vente de crédits carbone pourrait constituer un levier à l’investissement. La demande en crédits forestiers reste toutefois relativement restreinte. Cependant, les négociations en vue d’un accord post- Kyoto pourraient rendre le contexte plus favorable aux projets forestiers en réintégrant la question de l’inclusion des forêts au coeur du dispositif global de lutte contre le changement climatique

    L'INDICE DE FIBROSITÉ DES FOINS : MESURE ET RELATIONS AVEC LA VALEUR ALIMENTAIRE

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    La valeur alimentaire de quatre graminées et d'une légumineuse tropicales et ses facteurs de variation

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    Les résultats complets relatifs à quatre graminées et, à titre de comparaison, les résultats incomplets relatifs à une légumineuse sont présentés dans cet article. Le dispositif des essais, les animaux utilisés, les mesures et analyses effectuées, le calcul de la valeur énergétique nette, exprimée en U.F. (1.650 calories pour l'engraissement), l'élaboration de tableaux ainsi que les limites d'utilisation des résultats sont décrits. Si aucune différence significative n'a été observée dans les variations de la digestibilité des graminées suivant les saisons, on a noté, en revanche, d'importantes variations saisonnières pour les quantités de matière sèche ingérées. Celles-ci ont été maximales pendant les mois de février, mars et août et minimales pendant les mois d'août, septembre et octobre. Les variations de la valeur alimentaire avec l'âge de la plante font l'objet des tableaux, d'où il ressort que Vigna sinensis a une valeur alimentaire plus élevée que celle des graminées et une concentration énergétique presque voisine de celle du Pangola et du Transvala, en début de repousse. La valeur alimentaire des graminées étudiées dépend des espèces. Les Digitaria (Pengola et Transvala) sont supérieures à l'Herbe de Guinée et au Marker. Calculées cycle par cycle, les diminutions moyennes de digestibilité ont été respectivement de 0,21, 0,22, 0,26 et 0,39 point par jour de végétation pour le Transvala, le Pangola, le Marker et l'Herbe de Guinée. L'influence de la fertilisation est nette chez le Pangola puisqu'un apport de 500 kg d'azote par ha et par an a permis de gagner 5.2 points en moyenne, avec des repousses coupées tous les cinquante jours. Les liaisons entre la valeur alimentaire et les caractéristiques de la plante sont également présentées dans cette étude

    Les cannes de maïs dans l'alimentation des ruminants : Utilisation des cannes traitées à l'ammoniac et à l'urée par des bovins à besoins modérés

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    Les cannes de maïs récoltées en balles rondes derrière la moissonneuse-batteuse et conservées par injection de 3 kg d’ammoniac pour 100 kg de matière sèche de canne peuvent constituer l’essentiel (80 %) de la ration hivernale de génisses laitières à viande en croissance modérée et de vaches à viande en gestation-lactation. Distribuées à volonté en l’état (elles sont déjà grossièrement hachées à la récolte), les quantités qui en sont ingérées, toutefois moins élevées que les spathes traitées (UEB de 1,60 contre 1,30), permettent : - à des génisses laitières et à viande, recevant 1,5 kg de céréales et 100 g de CMV (15-15) soufré par jour, de réaliser des croîts de l’ordre de 400 g/j lorsqu’elles ont 2 ans et de 500 à 600 g/j lorsqu’elles ont un an. Si l’objectif de croissance est plus élevé, il conviendra d’ajouter une source d’azote peu fermentescible (300 à 500 g/j de tourteau de soja) ; - à des vaches à viande en fin de gestation - début lactation recevant 1,5 puis 2 kg de céréales à partir du vêlage et 180 g du même CMV de limiter leur perte de poids entre le vêlage et la mise à l’herbe à 30 kg, perte tout à fait acceptable dans le cas de vêlages précoces. Les performances de reproduction enregistrées sur 3 années d’observation, les conditions de vêlage, le poids des veaux à la naissance et leur vitalité ne sont pas affectés.Maize stovers, round baled after grain harvesting and preserved by the injection of 3 kg ammonia per 100 kg stovers, can contribute to the major part (80 %) of the diet of wintering dairy and beef heifers and gestating-lactating beef cows. Fed ad-libitum as such (they are already coarsely chopped at harvest) their intake, which is slightly lower than that of husks (1.60 vs 1.30 UEB), enables: - dairy and beef heifers, fed with 1.5 kg cereals and 100 g sulfur-supplemented minerals (15- 15) per day, to achieve liveweight gains of 400 g/d when two years-old and of 500 to 600 g/d when one year-old. When the growth target is higher it is advised to resort to a slow fermentable protein source (e.g. 300 to 500 g/d soybean meal), - beef cows around calving, fed with 1.5 kg - then 2.0 kg after calving - and 180 g/d of the same mineral mixture, to limit their body weight loss to 30 kg between calving and pasturing. Such losses are entirely acceptable in the case of early calving. The reproductive performances, recorded over a three year observation period, as well as the calving conditions, the body weight of calves at birth and their vitality are not affected
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