673 research outputs found

    Differential Toxicity of DNA Adducts of Mitomycin C

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    The clinically used antitumor agent mitomycin C (MC) alkylates DNA upon reductive activation, forming six covalent DNA adducts in this process. This review focuses on differential biological effects of individual adducts in various mammalian cell cultures, observed in the authors' laboratories. Evidence is reviewed that various adducts are capable of inducing different cell death pathways in cancer cells.This evidence is derived from a parallel study of MC and its derivatives 2,7-diaminomitosene (2,7-DAM) which is the main metabolite of MC and forms two mono-adducts with DNA, and decarbamoyl mitomycin C (DMC), which alkylates and cross-links DNA, predominantly with a chirality opposite to that of the DNA adducts of MC. 2,7-DAM is not cytotoxic and does not activate the p53 pathway while MC and DMC are cytotoxic and able to activate the p53 pathway. DMC is more cytotoxic than MC and can also kill p53-deficient cells by inducing degradation of Checkpoint 1 protein, which is not seen with MC treatment of the p53-deficient cells. This difference in the cell death pathways activated by the MC and DMC is attributed to differential signaling by the DNA adducts of DMC. We hypothesize that the different chirality of the adduct-to-DNA linkage has a modulating influence on the choice of pathway

    Effects of grain sampling procedures on fusarium mycotoxin assays in wheat grains

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    International audienceFusarium mycotoxins are increasingly studied agronomically, chemically, and pathologically in the context of food safety, as a means of preventing new major health crises. Reliable mycotoxin techniques and sampling procedures are required for assessment of the effects of different sources of variation on grain mycotoxin content in agronomic experiments. Analyses were performed with the aim of formulating guidelines for grain sampling to increase the reliability of grain mycotoxin measurement in agronomic experiments. Two toxins in wheat samples, deoxynivalenol and nivalenol, were targeted. With a nested linear mixed model, it was estimated that the uncertainty of nivalenol determination was low (+/-15 microg/kg), whereas that for deoxynivalenol determination was higher (+/-38 microg/kg). It was also found that grinding of the grain decreased the variability of the results. Moreover, despite the heterogeneity in grain mycotoxin content across a given field, it was shown that heads can be harvested manually for agronomic experiments provided that sampling is representative (evenly distributed over the entire plot area). Finally, delaying the assay until after harvest was found to affect the results obtained and should therefore be avoided

    Fusarium head blight: epidemiological origin of the effects of cultural practices on head blight attacks and the production of mycotoxins by Fusarium in wheat grains

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    International audienceFusarium head blight is an ancient disease and is very common throughout the world. In this article, we review current knowledge concerning the effects of cultural practices on the development of head blight and the production of toxins in the field. The qualitative effects of these practices on the severity of the disease and/or the production of toxins are in the process of being elucidated but, in many cases, detailed studies have not yet been carried out or conflicting results have been obtained. However, it should be noted that these effects have not yet been quantified. Three different cultural practices are today considered to be of prime importance for combating this disease and the production of mycotoxins: deep tillage, the choice of the preceding crop in the rotation and the choice of appropriate cultivar, as varietal effects exist

    Propos d’ouverture

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    En grande partie par l’extrĂȘme mĂ©diatisation de quelques cas emblĂ©matiques (chacun pensera Ă  Edgar Snowden ou Ă  Julian Assange), la rĂ©fĂ©rence aux lanceurs d’alerte est en quelques mois devenue en France commune, presque Ă  la mode. Pour autant l’expression est rĂ©cente dans notre vocabulaire en comparaison avec l’usage du terme whistleblower, considĂ©rĂ© comme son Ă©quivalent anglais. On doit sa diffusion Ă  la fin des annĂ©es 1990 dans le champ juridique essentiellement Ă  quelques spĂ©cialistes de d..

    Le Conseil constitutionnel, protecteur des droits et libertés ?

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    Le Conseil constitutionnel français n’a pas Ă©tĂ© crĂ©Ă© pour protĂ©ger les droits et libertĂ©s. Il a avant tout Ă©tĂ© conçu comme un instrument de rationalisation du parlementarisme destinĂ© Ă  remĂ©dier aux excĂšs des rĂ©publiques antĂ©rieures. Durant les travaux prĂ©paratoires de 1958, certains avaient mĂȘme niĂ© la valeur juridique du prĂ©ambule de la Constitution. Pire, souffrant d’une mĂ©fiance endĂ©mique Ă  l’égard du contrĂŽle de constitutionnalitĂ© perçu comme une mise en cause de la souverainetĂ© parlement..

    La teorĂ­a general de los derechos fundamentales de Gregorio Peces-Barba

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    La TeorĂ­a general de los derechos fundamentales de Gregorio Peces-Barba no tiene mucha resonancia en Francia. Este artĂ­culo trata de explicarlo. Una pri­mera razĂłn parece residir en el hecho que su proposiciĂłn teĂłrica no corresponde ni a las preocupaciones de la dogmĂĄtica jurĂ­dica que centra su trabajo esencial­mente en el estudio tĂ©cnico del derecho positivo, ni a las preocupaciones de los teĂłricos o filĂłsofos del derecho franceses que, de todos modos, no son numero­sos. Una segunda razĂłn puede ser que el concepto de “derechos fundamentales” construido y defendido por Peces-Barba es bastante diferente del que finalmente se ha extendido en Francia y que, en cualquier caso, no es objeto de una teoriza­ciĂłn significativa, ni de una comprensiĂłn unificada

    REVUE DES DROITS DE L’HOMME : Fondation par le CREDOF d’une revue juridique en ligne dĂ©diĂ©e aux droits et libertĂ©s

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         Depuis plusieurs annĂ©es, le Centre de Recherches et d’Études sur les Droits Fondamentaux (CREDOF) de l’UniversitĂ© de Paris Ouest Nanterre La DĂ©fense a dĂ©ployĂ© dans l’espace numĂ©rique diverses activitĂ©s universitaires, au premier rang desquelles figure la Lettre « ActualitĂ©s Droits-LibertĂ©s » (ADL) qui a rĂ©cemment franchi la barre symbolique des 3 000 abonnĂ©s. DĂ©sireux de valoriser, pĂ©renniser et surtout dĂ©velopper ces activitĂ©s numĂ©riques, le CREDOF a dĂ©cidĂ© de fonder une « Revue des Dro..

    Le principe constitutionnel de fraternité : entretien avec Patrice Spinosi et Nicolas Hervieu

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    1. Le 6 juillet 2018, le Conseil constitutionnel Ă©levait le principe de fraternitĂ© au rang de principe Ă  valeur constitutionnelle. La consĂ©cration de ce principe avait Ă©tĂ© sollicitĂ©e dans une QPC que vous avez prĂ©sentĂ©e devant la Cour de cassation au soutien des pourvois formĂ©s contre les condamnations de CĂ©dric Herrou et de Pierre-Alain Mannoni pour aide au sĂ©jour, Ă  la circulation et Ă  l’entrĂ©e irrĂ©guliers. Comment vous est venue cette idĂ©e ? Pourquoi cette voie audacieuse vous a-t-elle sem..

    Et si l’exigence de qualification nationale pour accĂ©der aux corps des enseignants-chercheurs Ă©tait un principe fondamental reconnu par les lois de la RĂ©publique ?

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    Comme au moment du projet de suppression du Conseil national des universitĂ©s en 2009, la suppression, adoptĂ©e par voie d’amendement au SĂ©nat le 30 octobre 2020, de l’exigence de qualification nationale pour l’accĂšs au corps des professeurs des universitĂ©s, d’une part, et l’expĂ©rimentation de sa dispense, faite Ă  la demande des Ă©tablissements d’enseignement supĂ©rieur, pour l’accĂšs au corps des maĂźtres de confĂ©rences, Ă  l’exception des disciplines de santĂ© et de celles permettant l’accĂšs au corps des professeurs des universitĂ©s par un concours national de l’agrĂ©gation, d’autre part, provoque une forte rĂ©action des universitaires. Outre l’exaspĂ©ration que peut susciter la mĂ©thode – adoption d’un amendement tardif court-circuitant tout dĂ©bat Ă  la hauteur des enjeux -, le procĂ©dĂ© irrite par la mĂ©connaissance du rĂŽle que joue la qualification nationale dans l’histoire de la construction de l’universitĂ© depuis la IIIĂšme RĂ©publique et la garantie essentielle qu’elle apporte Ă  l’exercice des libertĂ©s acadĂ©miques, en particulier du principe constitutionnel d’indĂ©pendance des enseignants-chercheurs. Et si, comme ce dernier, l’exigence de qualification nationale pour accĂ©der aux corps des enseignants-chercheurs Ă©tait un principe fondamental reconnu par les lois de la RĂ©publique 

    Le Conseil constitutionnel face Ă  lui-mĂȘme.

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    Au titre des premiĂšres mesures lĂ©gislatives d’urgence destinĂ©es Ă  rĂ©pondre Ă  l’épidĂ©mie de Covid-19, le gouvernement a proposĂ© de suspendre les dĂ©lais de QPC : tant le dĂ©lai de transmission par le Conseil d’État et la Cour de cassation au Conseil constitutionnel que le dĂ©lai de jugement par ce dernier. L’idĂ©e Ă©tait d’anticiper d’éventuelles difficultĂ©s de fonctionnement des juridictions liĂ©es aux circonstances actuelles rendant impossible le respect les dĂ©lais de procĂ©dure. Mais la solution choisie est loin d’ĂȘtre anodine. En Ă©cartant la rĂšgle de transmission automatique des QPC passĂ© le dĂ©lai de 3 mois, plutĂŽt qu’un Conseil constitutionnel saisi automatiquement de tout, le lĂ©gislateur a choisi Ă  l’invitation du gouvernement, un Conseil qui ne soit saisi de rien
 ou, plus exactement, qu’il advienne, ce qui pourra. L’enjeu est d’importance. En effet, derriĂšre une question en apparence technique (celle des dĂ©lais), c’est la question des exigences prioritaires de l’État de droit en pĂ©riode exceptionnelle qui est posĂ©e : État de droit contre État de droit, en quelque sorte. Or les lois organiques Ă©tant automatiquement soumises au contrĂŽle du Conseil constitutionnel, le principal intĂ©ressĂ© par cet amĂ©nagement des dĂ©lais a Ă©tĂ© amenĂ© Ă  se prononcer sur sa constitutionnalitĂ© et le risque consĂ©cutif de priver d’effet utile tous les recours qui lui parviendraient tardivement contre les dispositions lĂ©gislatives relatives Ă  l’urgence sanitaire. C’est cette dĂ©cision rendue le 26 mars dernier que cette lettre propose d’analyser. Sans grande surprise quant Ă  sa solution, elle n’en est pas moins riche d’enseignements : en pĂ©riode "particuliĂšre", la raison politique prime plus jamais sur la raison juridique
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