11 research outputs found

    George Buchanan, lecteur et traducteur de l’Anthologie grecque

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    During the years in which he taught in France, George Buchanan, along with many of his humanist colleagues and friends, contributed to collected editions of translations of the Greek Anthology, thus participating in the spread of the study of ancient languages. This paper aims to define Buchanan’s conception of translation (translation ? paraphrase ? commentary ?) by comparing various humanists’ translations of Greek epigrams to those done by the Scotsman. It also demonstrates how, within and through his translations, Buchanan refined and honed his poetic skills, as well as his gift for composing lively epigrams

    L’icône et l’idole. Les représentations de Marie Stuart dans l’œuvre de George Buchanan

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    In 1561, George Buchanan definitely left France to live in Scotland where he became court poet of the Catholic Queen Mary Stewart, even if he publicly became Protestant. At the beginning, the humanist composed a few epigrams in which the queen is depicted as a good sovereign who restores the Golden Age in Scotland. A few years later, Buchanan depicted Mary Queen of Scots as a tyrant in his Rerum Scoticarum Historia, published in 1582. This article will provide a comparison between Buchanan’s different works (poetical works, tragedies and political and historical works) and show that the aesthetic choices and the references and quo- tations of ancient writers are based on Buchanan’s political thought about the Good King and the Tyrant, as we can read in the De jure regni apud Scotos dialogus, published in 1579

    Pierre Laurens, L’Abeille dans l’ambre. Célébration de l’épigramme de l’époque alexandrine à la fin de la Renaissance, 2ème édition revue et corrigée, Les Belles Lettres/ essais, 2012

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    Catellani-Dufrêne Nathalie. Pierre Laurens, L’Abeille dans l’ambre. Célébration de l’épigramme de l’époque alexandrine à la fin de la Renaissance, 2ème édition revue et corrigée, Les Belles Lettres/ essais, 2012. In: Bulletin de l'Association Guillaume Budé, n°2,2012. pp. 179-181

    L’icône et l’idole. Les représentations de Marie Stuart dans l’oeuvre de George Buchanan

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    In 1561, George Buchanan definitely left France to live in Scotland where he became court poet of the Catholic Queen Mary Stewart, even if he publicly became Protestant. At the beginning, the humanist composed a few epigrams in which the queen is depicted as a good sovereign who restores the Golden Age in Scotland. A few years later, Buchanan depicted Mary Queen of Scots as a tyrant in his Rerum Scoticarum Historia, published in 1582. This article will provide a comparison between Buchanan’s different works (poetical works, tragedies and political and historical works) and show that the aesthetic choices and the references and quo- tations of ancient writers are based on Buchanan’s political thought about the Good King and the Tyrant, as we can read in the De jure regni apud Scotos dialogus, published in 1579

    Giovanni Pontano, Églogues, Eclogae, étude introductive, traduction et notes d’Hélène Casanova-Robin [Les Classiques de l’Humanisme], 2011

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    Catellani-Dufrêne Nathalie. Giovanni Pontano, Églogues, Eclogae, étude introductive, traduction et notes d’Hélène Casanova-Robin [Les Classiques de l’Humanisme], 2011. In: Bulletin de l'Association Guillaume Budé, n°1,2012. pp. 248-250

    « Buchanan polygraphe. In Memoriam Ian D. McFarlane ». Introduction

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    La lyre et la pourpre : Poésie latine et politique de l'Antiquité Tardive

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    La lyre et la pourpre se propose de considérer les variations, aussi bien locales que chronologiques, des rapports sans cesse variables, de la poésie et de la politique. De l'empereur chrétien (de l'Antiquité Tardive et des temps carolingiens) aux princes et aux rois ensuite, combien de nuances possibles ? De plus, le cadre intellectuel varie aussi à travers la permanence des relectures de l'Antiquité : au ve siècle jusqu'au ixe siècle, c'est encore l'Empire romain qui prédomine, puis vient le Moyen Âge proprement dit, et enfin le monde humaniste qui est aussi celui des guerres de religion. La pourpre évoquée est celle du pouvoir et celle du sang qui coule : l'éloquence a été inventée pour servir d'arme (qu'on se rappelle les conceptions de Calliclès contre Socrate dans le Gorgias platonicien). D'une mise en scène littéraire des guerres et de leurs héros, on glisse vers l'actualité, dans laquelle la poésie est instrumentalisée par la main des politiques et la plume des poètes. Et donc cette poésie reflète les événements d'un temps sans lequel elle serait largement incompréhensible. En cela, elle est inséparable de l'histoire, qui peut être publique ou privée, ou même autobiographique dans certains cas. Et à ce titre, elle est aussi un matériau vivant de l'histoire, y compris dans sa langue, langue de culture sans doute, et non moins celle des pouvoirs civils et religieux

    Rhétorique, poétique et stylistique

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    L’intérêt pour la rhétorique a bénéficié au xxe siècle de l’impulsion donnée par l’épanouissement des sciences du langage. Libérée de la réputation sinon suspecte, du moins poussiéreuse qui avait longtemps été la sienne, la rhétorique a été reconsidérée à nouveaux frais dans les dernières décennies comme un objet protéiforme, à la fois art et science, un métalangage aux potentialités multiples. Si l’étude de la rhétorique antique, en Grèce et à Rome, est bien connue des chercheurs, son héritage au Moyen Âge et à la Renaissance méritait qu’un examen plus approfondi lui fût consacré. Le retour en grâce de la rhétorique a en effet largement profité à l’étude des textes de l’Antiquité et de l’âge classique, mais les époques médiévale et humaniste sont quelque peu restées en retrait. Durant ces périodes, la rhétorique a pourtant été un ferment vivifiant pour toute la tradition stylistique et poétique latine, et cela est sensible tant à travers les réflexions théoriques qu’à la lumière de la pratique même des écrivains. Il importait de faire le point sur le sujet : telle est l’ambition de cet ouvrage
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