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Development of an indicator of economic, environmental and societal development (an IDEES) for SMEs: case study in the hotel and restaurant sector
To produce an indicator of sustainable development applicable to the world of business enterprise is not a straight forward matter. It appears difficult to find a clear consensus on the relevance or not of particular indicators. The three dimensional aspect of Corporate Social Responsibility (CSR) and Organizational Social Responsibility (OSR) adds to the difficulty of bringing different types of data together to produce a final composite indicator (taking into account economics, societal issues and environmental considerations). The current thesis is based around the work of Boutaud (2002) and suggests the use of an indicator based on GRI principles. It also promotes the idea of comparing the economic and societal performance of a company with an environmental indicator calculated using the carbon footprinting system known as the Bilan Carbone®
Le tourisme solidaire, ça n'existe pas ! Préférons-lui les expéditions pour un partage citoyen
Nous assistons, ces dernières années, à l’émergence d’autres formes de tourismes qualifiés d’alternatifs. Ces néo-tourismes s’inscrivent comme une réponse aux aspects négatifs reprochés au tourisme (biodiversité ou écosystèmes menacés, fausses altérités, leurre des retombées économiques…). Toutes ces formes de tourismes peuvent se rassembler sous le qualificatif de responsables en ce sens qu’ils ont « un but commun : le respect de l’humanité, que ce soit par le biais de l’environnement, le social, le développement, l’humanitaire ou le bénévolat » (Auzias et Labourdette, 2006). Citons, avec toute la prudence sémantique nécessaire, l’écotourisme, les tourismes équitable, communautaire, volontaire, alternatif, social… Le tourisme solidaire fait partie de ce tout (Babou et Callot, 2012, p. 61). Pour autant, que signifie l’expression tourisme solidaire ? Ces deux termes sont-ils vraiment compatibles ? N’y a-t-il pas comme une certaine incongruité à parler de tourisme solidaire quand on sait que le tourisme est égocentré alors que la solidarité symbolise l’entraide, la fraternité
Les nouveaux design du voyage
La voyage précède l\u27acte touristique ; il pose la question de le relation au temps, du regard sur soi, du but du voyage. Le slowtourism est un élément contribuant à un autre regard, une autre façon d\u27aborder le voyage
Le tourisme facteur de nuisances et de risques
Si le tourisme est source d\u27enrichissement il est également facteur de nuisances et de risques. Dans une perspective de DD quels sont les paramètres à prendre en compte afin d\u27optimiser l\u27un en réduisant l\u27autre des deux apports
Tourisme ou solidarité : il faut choisir !
La dernière édition de la journée mondiale pour un tourisme responsable était cette année consacrée à l’avenir du tourisme social et au tourisme solidaire (3 juin 2014, 8ème édition). Pour ce deuxième thème, la question de la précision sémantique était posée. Ces deux termes sont-ils compatibles
La difficile appropriation du concept de RSE par les TPE : le cas de la viticulture
De nombreux travaux ont mis en évidence les spécificités des TPE par rapport aux grandes entreprises. Dans un contexte de responsabilités élargies, de performances globales, la RSE, présentée comme la traduction managériale du développement durable (Berger-Douce, 2009), demeure, pour ces TPE, un concept flou, ambigu, peu explicite. Cette complexité s’amplifie lorsque nous considérons la variable sectorielle, ici la production de vins. L’étude de cas abordée ici montre que la RSE dans les TPE reste informelle, intuitive, faite de bon sens. Ni passives, ni proactives, si les TPE s’adaptent pas-à -pas aux normes et/ou obligations légales, la RSE n’apporte pas de réponse à la contrainte climatique spécifique à ce secteur
Le Revenue management sous l'influence du on-demand marketing ? Réalités et analyses : le cas Disneyland Paris
Le "Revenue management" (RM) est bien adapté aux activités de services disposant de capacités fixes. Le RM « conduit à vendre des services périssables au mix de consommateurs les plus profitables afin d’optimiser le revenu » (Cross, 1997). Le digital marketing participe à cet impératif et nous prépare à une nouvelle étape : celle d’un marketing à la demande (on-demand marketing). Boosté par le digital marketing, ce marketing ouvre de nouvelles voies aux chercheurs et aux praticiens afin de personnaliser la nature de la prestation offerte et l’optimisation du revenu. Nous introduisons le concept de Value per on-demand marketing/customer (VALUE-PODEMAC)
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