28 research outputs found

    La situation des PME en 2009 : leur structure financière résiste à la crise.

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    La crise a davantage affecté les résultats des PME en 2009 que leur structure financière. Les disparités entre PME restent fortes, avec un nombre croissant de PME défaillantes. Le décrochage de l’investissement, déjà faible avant la crise, obère les capacités de rebond à moyen terme.PME, activité, rentabilité, endettement, investissement, défaillances.

    En 2010, les PME bénéficient de la reprise mais diffèrent leurs investissements.

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    En 2010, la reprise de l’activité permet aux PME d’améliorer leur rentabilité et de consolider leurs capitaux propres, même si de fortes disparités demeurent. Le renforcement de la trésorerie et la faiblesse de l’investissement demeurent caractéristiques d’un comportement attentiste.PME, activité, rentabilité, endettement, investissement.

    Les PME de l’industrie manufacturière en France un positionnement intermédiaire par rapport à huit autres pays européens.

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    Les PME de l’industrie manufacturière en France disposent d’un bon niveau de fonds propres, et sont faiblement endettées. Les délais de paiement pèsent davantage que dans les PMI allemandes et leur rentabilité est en retrait.PMI, fonds propres, endettement, délais de paiement, rentabilité, comparaisons européennes, BACH.

    Dix années de dynamique financière des PME en France.

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    En 10 ans les PME en France ont renforcé leur structure de financement. En revanche, l’investissement apparaît faible sur les dernières années. L’image est plus favorable pour les PME adossées à un groupe, environ une sur deux désormais, qui sont en moyenne plus dynamiques que les PME indépendantes.PME, PMI, groupe d’entreprises, structure financière, comptes sociaux, financement, taux d’endettement, investissement.

    Les PME-ETI cotées en bourse : la crise accentue les disparités et souligne les différences de réactivité.

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    Les PME-ETI cotées en bourse sont plus hétérogènes que leurs homologues non cotées en termes de dynamisme et de performance. En 2009, les plus rentables montrent une capacité de rebond supérieure.PME, ETI, bourse, taux de marge, endettement, fonds propres.

    L’impact des normes IFRS sur les données comptables des groupes français cotés.

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    Les normes IFRS n’ont eu qu’un impact limité sur les données comptables des groupes français et sur les ratios d’analyse financière calculés par la Banque de France. La pertinence du diagnostic financier suppose néanmoins que les analystes fassent évoluer leur démarche.impacts des IFRS, transition aux IFRS, agrégats comptables, ratios financiers, juste valeur, analyse financière, groupes non financiers cotés.

    La situation financière des grands groupes français demeure solide au premier semestre 2011.

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    Les grands groupes confirment leurs bonnes performances au cours du premier semestre 2011 à tous les niveaux : résultats, investissements, structure financière, trésorerie. Des éléments d’incertitude apparaissent : la conjoncture, la volatilité de certaines composantes des fonds propres et du résultat (goodwill, écarts de conversion…).comptes consolidés IFRS, résultats, grandes entreprises industrielles et commerciales, grands groupes français, other comprehensive income (OCI), entreprises cotées au compartiment A d’Euronext.

    La situation financière des sociétés non financières en France 1995-2006. Baisse du taux d’épargne et recours accru à l’endettement.

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    Comme le montrent les statistiques de comptabilité nationale et les comptes d’entreprise, le taux de marge et la rentabilité économique des entreprises ayant stagné, la hausse des dividendes et des impôts pèse sur le taux d’épargne. L’investissement, spécialement dynamique dans le secteur immobilier, est donc financé par un surcroît d’endettement.Comptabilité nationale, comptabilité d’entreprise, endettement, épargne, rentabilité.

    Consumption of fruits, vegetables and fruit juices and differentiated thyroid carcinoma risk in the European Prospective Investigation into Cancer and Nutrition (EPIC) study.

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    Fruit and vegetable (F&V) intake is considered as probably protective against overall cancer risk, but results in previous studies are not consistent for thyroid cancer (TC). The purpose of this study is to examine the association between the consumption of fruits, vegetables, fruit juices and differentiated thyroid cancer risk within the European Prospective Investigation into Cancer and Nutrition (EPIC) study. The EPIC study is a cohort including over half a million participants, recruited between 1991 and 2000. During a mean follow-up of 14 years, 748 incident first primary differentiated TC cases were identified. F&V and fruit juice intakes were assessed through validated country-specific dietary questionnaires. Hazard ratios (HRs) and 95% confidence intervals (CIs) were estimated using Cox regression models adjusted for potential confounding factors. Comparing the highest versus lowest quartile of intake, differentiated TC risk was not associated with intakes of total F&V (HR: 0.89; 95% CI: 0.68-1.15; p-trend = 0.44), vegetables (HR: 0.89; 95% CI: 0.69-1.14; p-trend = 0.56), or fruit (HR: 1.00; 95% CI: 0.79-1.26; p-trend = 0.64). No significant association was observed with any individual type of vegetable or fruit. However, there was a positive borderline trend with fruit juice intake (HR: 1.23; 95% CI: 0.98-1.53; p-trend = 0.06). This study did not find any significant association between F&V intakes and differentiated TC risk; however a positive trend with fruit juice intake was observed, possibly related to its high sugar content
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